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Les garçons, c'est comme les bus. Pourquoi te jeter sur le premier quand un deuxième arrive juste derrière.
Afficher en entier- On aurait pas dû.
Son ton sérieux me surprend. Je lui murmure dans l'obscurité :
- Ne dis pas ça.
- Mais ce n'est pas bien.
- Ce n'est pas l'idéal. De là à penser que c'est "mal"...
Je lui prends la main, je l'embrasse, je la pose sur ma joue.
- Je t'aime, Stewart. Et je t'aimerai toujours.
- Moi aussi, je t'aime, Maddie. Tu ne peux pas imaginer à quel point.
Afficher en entier« J’ai compris un truc : on peut changer le cours des choses. On peur réparer ses erreurs. Recommencer se vie s’il le faut.
Et puis il y a l’irrémédiable, ce qu’on perd à tout jamais. Certaines personnes. Des moments hachés parce qu’on les a vécus à une époque où on se blindait contre les émotions, faute de savoir s’y prendre autrement. »
Afficher en entier« - Regarde-toi. T’es qu’un gros blaireau.
- Je ne suis pas un blaireau, je suis un geek, réplique Martin sans hésiter. Les blaireaux sont maladroits, c’est pathologique chez eux. Tandis que les geeks ont développé une connaissance approfondie de systèmes complexes. »
Afficher en entierJe voudrais que chaque seconde dure une éternité.
Afficher en entier« Elle m’écoute et me parle pendant une bonne heure. Même si elle comprend la situation, elle s’inquiète beaucoup pour moi.
- Je sais, Susan. Et pourtant je dois y aller. Il faut que j’essaie de le trouver.
Elle me rappelle le scénario de l’homme qui se noie: tu essaies de sauver quelqu’un de la noyade mais cette personne s’accroche à toi, se cramponne et t’entraîne au fond avec elle.
Et on se retrouve avec deux noyés sur les bras. »
Afficher en entierÇa nous prend une éternité mais le froid ne nous atteint plus. La pluie ne nous dérange pas. C'est comme si on venait d'entrer dans une réalité parallèle où plus rien ne compte, où plus personne n'existe. Nous sommes seuls au monde.
Afficher en entier- Le problème, c'est plutôt que tu ne veux pas voir de film avec moi. Mais j'ai compris que ce n'était pas un rancard. Il n'y a pas d'ambiguïté, ne t'inquiète pas.
- Non. Je n'ai pas envie, c'est tout. Je préférais faire autre chose. Et si on allait patiner ?
- Tu m'as dit que tu détestais patiner.
- J'ai envie d'essayer finalement. Ça a l'air marrant.
Afficher en entier- Tu dois te préparer Maddie, me dit Gina.
- A quoi ?
- Tu sais à quoi.
Je commence à paniquer.
- Il ne va pas mourir ! Je ne l'abandonnerai pas !
- Il fera ce qu'il voudra. Et tu ne peux pas l'en empêcher
Afficher en entierJ'ai compris un truc : on peut changer le cours des choses. On peut réparer ses erreurs. Recommencer sa vie s'il le faut.
Et puis il y a l’irrémédiable, ce qu'on perd à tout jamais. Certaines personnes. Des moments gâchés parce qu'on les a vécus à une époque où on se blindait contre les émotions, faute de savoir s'y prendre autrement.
On ne les voit pas venir, parfois on les ignore quand ils arrivent ; mais plus tard, quand on s'installe dans une certaine monotonie, on réalise à quel point ils étaient importants.
On comprend enfin qui a compté dans nos vies, qui nous a fait tel qu'on est.
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