- Qu'est-ce que tu ressens pour elle ?
Il ricana.
- Quoi ? On va parler de nos sentiments, maintenant ? Tu veux pas que je te mette du vernis sur les ongles aussi ?

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- Tu cherches juste une excuse pour toucher mes fesses.
[...]
- Ai-je besoin d'une excuse ?
je tournai la tête pour le regarder dans les yeux.
- Oui, tu en as besoin. Nous n'en sommes pas encore au stade "je pelote le cul de Becca quand je veux", l'ami, alors bas les pattes !

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- Mon Dieu, Becca. T'es marrante quend t'es énervée.
- Je suis tout le temps marrante. C'est juste que tu ne t'en rends compte que maintenant.
Il rit encore, ce qui n'aidait pas mes tentatives pour avoir l'air en colère.
- Tu vois ? Marrante. Tu as peut-être raison. Tu es peut-être drôle tout le temps, et je ne le savais simplement pas. Donne-moi une chance de le découvrir.
- Pourquoi ? Est-ce tu comprends au moins à quel point tout ça est insultant ? (Je pris un ton moqueur et une voix grave.) Eh, salut, je me suis fait latguer, et tu es mon prix de consolation ... Waouh, Jason, je serais tellement honorée. Ou pas.

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Dans le halo de la lumière du porche, ses yeux n'étaient pas de leur bleu électrique habituel mais de la couleur d'une mer agitée.
- Quoi ? demanda-t-elle.
Il posa les doigts de sa main libre sous le menton de Kara.
- Ça.
Avant qu'elle puisse prononcer un seul mot de protestation, il l'attira dans ses bras.
(...)
Contrairement à cette fameuse soirée du bal de fin d'année, il ne faisait preuve d'aucune douceur.
(...)
Juste au moment où elle craignit qu'ils ne s'embrasent pour de bon, comme ils l'avaient fait tant d'années auparavant, il recula subitement, rompant ainsi le délicieux contact rugueux de son corps contre le sien, la laissant chancelante.
Elle s'appuya contre la voiture, sans le quitter des yeux.
- Pour info, à l'inverse du premier baiser, celui-ci n'a rien à voir avec de la pitié, déclara-t-il rudement.


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Sax et son frère Cole qui doit bientôt de marier
- Cette petite blonde de Take the Cake est aussi appétissante que les cupcakes qu'elle prépare. Tu devrais peut-être tenter ta chance.
- Ouais, ça pourrait le faire. Je me fais la pâtissière, elle s'énerve contre Kelli parce que je suis le beau-frère qui rappelle jamais, et elle empoisonne votre ravissante pièce montée en guise de vengeance. Ou alors elle y met des laxatifs, comme on en avait mis dans le fudge de Mr Kiley.
(...)
- Kiley l'avait bien mérité. Il était carrément sado et aurait mieux fait de naître à une autre époque, parce qu'il aurait été parfait dans les jeunesses hitlériennes.


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- Aujourd’hui, j’ai l’impression d’avoir reçu un cadeau dont je n’osais même pas rêver, poursuivit-il. Pour toi, Joss, j’aurais renoncé à tous mes fantasmes de domination… Et je n’aurais jamais imaginé que ce que tu veux, c’est précisément ce que je peux te donner! Aussi, attention! Maintenant je ne vais plus reculer. Je peux combler tous tes désirs, et même ceux que tu ne connais pas encore: il suffit que tu acceptes de me faire confiance et que tu me dises si tu seras un jour capable de t’attacher à moi autant que je suis attaché à toi.

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lle le considéra, toujours aussi abasourdie,complètement chamboulée par les surprises que lui avaient réservées la journée, la soirée, cet instant… Comment son monde avait-il pu changer aussi considérablement en si peu de temps? Elle secoua la tête, comme si elle voulait nier tout ce qui lui était arrivé, même si une partie d’elle-même, cette part qui avait été frustrée pendant des années, lui criait qu’elle pouvait enfin obtenir ce dont elle rêvait et qu’elle ne devait pas tout gâcher. Ce qui posait un problème, c’était l’homme qui lui proposait de concrétiser ses fantasmes!

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Mais c’était vrai... quelque chose s’agitait en moi dès que je le voyais, dès qu’il me parlait. Mes boyaux se tordaient à son approche. Je l’avouai, mon refus d’avoir des enfants perdait en puissance lorsqu’il était prêt de moi, lorsque nous étions ensemble. Quand nous nous promenions dans le parc, quand nous discutions sur le canapé, j’étais comme transportée par le son de sa voix, par son rire. Étais-je prête à me laisser aller ? À tomber amoureuse de lui ? À cette simple hypothèse, mes joues s’embrasèrent et je baissai la tête.

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— Laissez-moi partir…, murmurai-je d’une voix tremblante.— Non, je ne crois pas.
— Que comptez-vous me faire ? M’enlever ? Comme… comme Perséphone ?
Ces mots étaient sortis tous seuls de ma bouche. Je n’avais plus qu’à espérer qu’il ne le prenne pas mal, sinon...
À mon grand étonnement, il rit. Et me relâcha.
Je l’entendis se relever, et pour la première fois, j’eus le courage d’ouvrir les paupières et de le regarder en face. Il me toisait de haut, un petit sourire aux lèvres. Je notai qu’il avait pris taille humaine, car un dieu mesurait ordinairement entre trois et quatre mètres.
— Tu ne mâches pas tes mots, toi. Pas comme ces larves…, ajouta-t-il d’un ton méprisant en désignant les autres prêtres et les hoplites.

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- Je me suis montrée bien plus impolie que vous en m'effondrant dans votre cuisine, hier. Vous avez été vraiment gentil.
City se frotta la mâchoire d'un air pensif.
- J'apprécierais que vous cessiez d'employer le mot "gentil" pour me décrire, dit-il au bout d'un moment.
City se rapprocha, et le coeur de Mary se remit à battre la chamade.
- Mais vous êtes gentil, répondit-elle d'une toute petite voix.
Elle l'avait l'impression d'être le Petit Chaperon Rouge en face du Grand Méchant Loup, lorsque celui-ci se faisait passer pour la douce grand-mère.
- Non, pas toujours.

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Argh. Au moins, à l'époque où elle assumait son image de mauvaise fille, Mary avait teint ses cheveux en noir de jais pour aller avec ses vêtements, et elle les portait en épis ; du coup, elle pouvait sortir tout l'attirail gothique les jours de gueule de bois - elle accentuait la pâleur naturelle de sa peau, utilisait de l'eye-liner noir à profusion sur ces cernes et soulignait ses lèvres d'un rouge dont la couleur évoquait celle du sang. A présent qu'elle était devenue sage, elle ressemblait juste à la Fée Clochette au sortir d'une beuverie.

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- Dernièrement, j'ai découvert un truc dont je me doutais depuis toujours : le cynisme, c'est surfait et surestimé. C'est un bouclier derrière lequel les gens se cachent en croyant à tort que ça leur donne un air cool, solide, mystérieux. Mais le vrai courage ne consiste pas à suivre le mouvement ou à feindre l'indifférence, non. Le vrai courage, c'est oser croire en soi et rester fidèle à ses convictions, malgré les divergences d'opinion. Le vrai courage consiste à prendre des risques pour les gens qu'on aime, car c'est la meilleure chose à faire.


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La conclusion parle d'elle-même.
Quelque part en moi bouillonnent les ténèbres que l'homme redoute. Et ce sont elles, précisement, qui eclipseront la lumière du monde et provoqueront la chute de Daire.
Cette fille, j'ai juré de la protéger, je serais même prêt à mourir pour elle, mais je suis désormais condamné à l'anéantir.
Le compte à rebours a commencé.
Ce n'est qu'une question de temps avant que ma noirceur ne déferle sur le monde.

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Plus tard, un hurlement réveilla Max. Un son vibrant d'une terreur si absolue que Max sentit la peur serrer son propre cœur. Il se dressa d'un coup et repoussa les draps.
Samantha se débattait sur le lit, sa peau pâle luisant au clair de lune.
(...)
- Ne...ne me remettez p...pas...
Putain, mais c'est quoi ce bordel ?
(...)
- Tout va bien, Samantha.
Elle déglutit, produisant un son trop clairement audible dans la pièce silencieuse.
- Qu'est-ce que j'ai fait ? demanda-t-elle, d'une voix plus assurée.
- Je crois que tu as juste fait un mauvais rêve. On en fait tous.
(...)
- On en a tous, répéta-t-elle d'une voix monocorde.
Max leva la main pour lui envelopper l'épaule.
- Tu veux en parler ?
Il avait un mal fou à conserver un ton calme et léger. Tu veux me raconter pourquoi dans tes rêves, tu suppliais quelqu'un de ne pas te tuer ?
- Je ne me souviens de rien.


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- Tu veux m'utiliser comme un objet sexuel ?
De ses doigts, il la caressa tout doucement, tout près du cœur de son désir. Il la provoquait, la torturait.
Sam ferma les yeux très fort.
- Encore un petit coup rapide, et puis tu t'en vas ? demanda-t-il tout bas.
(...)
- Je pourrais être n'importe qui, pas vrai ?
Il la pénétra à nouveau de ses doigts, profondément. Le plaisir transperça Sam et lui coupa le souffle.
- Qui je suis, tu t'en fiches complètement.
- Qui suis-je, chérie ?
(...)
Le va-et-vient de ses doigts continuait en elle. Max effleura du pouce la source de son désir. Un peu plus, encore un peu... Elle était si proche de l'orgasme qu'elle en tremblait. Encore.
- M... Max, souffla-t-elle.
(...)
La porte grinça en un avertissement d'une seconde à peine.
- Hé, Max ! cria une voix masculine. Je voudrais te présenter quelqu...
Max enfonça profondément ses doigts en elle.
(...)
- Pas maintenant, grogna Max.
- Oh, merde, d...désolé, mec...
La porte se referma en claquant.
Sam lâcha un souffle haletant.
Max leva la tête et la regarda.
- Il ne t'a pas vue.

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Depuis quand étais-je si stupide avec une fille?
Ah oui, depuis elle.


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- J'ai décidé d'accepter l'idée que tu étais pathologiquement irrécupérable et que m'acharner à comprendre notre… relation était absolument inutile.
- Et fatiguant, renchéris-je. Sophia dit que notre amitié est étrange.
- Et que dis-tu, toi?
- Qu'elle est unique, murmurai-je.
- Je prends "unique". Ashley dit qu'elle est "singulière".
- Et que dis-tu, toi? demandai-je, suspendu à sa réponse.
- Je dis que j'ai ce que je veux: une vie moins ordinaire. Avec ou sans toi, ajouta-t-elle dans un chuchotis.
(…)
- Je prends "moins ordinaire", admis-je avec sincérité.
- Tu prends le "avec"?
- Je croyais être irrécupérable?


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Ma gorge se dessécha subitement, mon corps se paralysa tandis que mes yeux dévoraient chaque parcelle de peau découverte.
Et mon inconscient se mit à fredonner Mr Boombastic, impeccablement coordonné avec le mouvement chaloupé de ses hanches. Tout en marchant, il s'étira, allégeant ses bras au-dessus de sa tête, tendant au maximum ses abdominaux. Mon regard se promena sur son corps - mes yeux ne cherchant pas à être discrets - et M. Boombastic m'offrit un sourire à un million de watts, électrisant toutes les parties érogènes de mon corps.
Et même les non-érogènes. Genre le coude.

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Alex a envie de croire son ami. Oui, il le connaît depuis des années et sait son aversion pour la drogue. Aversion d'autant plus surprenante que Sacha n'est pas exempt de toute addiction. Le commandant doit bien fumer deux paquets de cigarettes par jour et, s'il a le coude léger au point d'avoir parfois frôlé le coma éthylique lors de soirées, il est aussi accro au sexe, si on en croit les états de service dont il ne se cache pas. (...)
Non, Sacha est juste un mec malheureux marié avec son boulot, un gars sûrement trop sensible pour supporter le monde qu'il côtoie sans chercher à l'adoucir comme il peut. Pas un vendu. Encore moins un assassin.

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Celui qui a pris la parole a le physique de l'emploi. Quarante-deux ans, quarante-trois ans, petit, des cheveux bruns coupés " à la papa" par un coiffeur de quartier, des lunettes aussi rondes que son visage, l'homme a beau tenter de se donner un look jeune, avec son jean et son blouson de cuir, il ressemble à un gratte-papier. A un petit fonctionnaire sans imagination. L'homme se prénomme Paul Prévert.
- Comme le poète ? demande Sacha
- Exactement, mais nous ne sommes pas parents...
- Je vous vois pourtant un sacré point commun : Prévert me faisait déjà chier à l'école !

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Nous nous léchons, nous suçons, et j'ai tellement soif de lui qu'il pourrait m'embrasser toute la nuit que je serais toujours aussi assoiffée comme si je venais de traverser le désert.

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Remington expliquant à Brooke pourquoi ils ne vont pas plus loin...


- Et pourquoi tu voudrais faire l'amour avec moi? Pour avoir une putain d'aventure?nQu'est ce que j'étais supposé être, ton coup d'une nuit? C'est ce que je représente pour de femmes et il est hors de question que je sois juste ça pour toi. Je veux être ta putain de réalité. Tu comprends ça? Je veux que tu m'appartiennes. Entièrement. Que tu te donnes à moi, pas à Riptide!

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Quand Brooke voit Remington pour la 1ère fois sur le ring:

On dirait qu'il se prend pour une création divine et que chaque femme présente dans cettes allé a été créée juste pour son plaisir. Je suis à la fois excitée et furieuse, dans un état de confusion totale que je n'ai jamais ressenti auparavant.

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- Pourquoi tu dansais avec lui ?
- Il me l'a demandé.
Son corps se raidit.
- C'est tout ? C'est la seule raison ?
- Tu as une idée du temps pendant lequel tu t'es absenté ? J'étais censée t'attendre bêtement? J'ai déjà fait ça une fois ce soir, Ronin. (...) En plus, je suis restée avec Tyler pendant plusieurs années. Ce n'est pas comme si c'était un inconnu qui venait me draguer.
- J'aurais préféré que ce soit le cas.
(...)
- Pourquoi ?
- Un inconnu ne t'as jamais vue toute nue. Ne t'a jamais touchée. Ne t'a jamais baisée. Tyler l'a fait. Nom de Dieu, vous étiez ensemble pendant trois ans ! Il a compris qu'il avait merdé en te laissant partir, c'était écrit sur son visage ce soir.
(...)
- Ça n'a pas d'importance parce que je ne suis pas avec lui. Je suis avec toi.

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- Alors qu'est-ce qui se passe entre toi et maître Black ?
- Rien, répondit-elle honnêtement.
- J'étais vraiment surprise de le voir se pointer ici.
- Moi aussi
- Tu ne l'avais pas invité ? demanda Molly, sceptique.
- Non. Évidemment, il est au-dessus des normes sociales, comme...
- Passer un coup de téléphone et garder le contact pour faire des projets ? prononça Ronin juste derrière elle.
Amery sursauta au son de sa voix et se retourna pour lui faire face.
- Tu pourrais arrêter de faire ça ?
- Non. Tu as besoin d'entendre ce qu'il se passe autour de toi.
- Et toi, tu as besoin d'entendre quand quelqu'un est en rogne contre toi, renvoya-t-elle.
Ronin ne quitta pas Amery des yeux quand il dit à Molly :
- Tu nous excuses une seconde ?
(...)
- Pourquoi est-ce que je n'ai pas eu de nouvelles de toi depuis que tu as quitté mon lit vendredi matin ? Ou pourquoi tu te sens en droit de venir casser l'ambiance d'une fête que j'organise ?
- Les deux.
Silence
- Et alors ? Si tu veux t'expliquer tu ferais mieux de commencer à parler.
- J'aurais dû t'appeler. Mais je te promets que j'ai pensé à toi pendant tout ce foutu week-end.
Amery prit ça en pleine face.
- L'excuse n'est pas suffisante, maître Black. Essaie encore.
- Une vraie dure à cuire, murmura-t-il. J'aime ce côté de ta personnalité.
(...)
- Et j'aime ce côté sans compromis, tu ne laisse pas d'ouverture au jeu entre nous. Tu m'avais dit que tu m'appellerais, je m'attendais à avoir de tes nouvelles. Et ne cherche pas à trouver des excuses minables comme me dire que ton téléphone ne marchait plus ou que tu n'étais as en forme.
(...)
- Je suis désolé.
- Ronin...
- Chut ! Laisse-moi juste te présenter mes excuses de cette façon.
Il l'embrassa avec un mélange de tendresse et de passion, qui lui embrouilla l'esprit.
(...)
- Arrête de me manipuler à ma propre fête. Un dîner auquel tu n'as pas été invité.

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- Tu vas prendre un bain avec moi et on préparera quelque chose à manger ensemble après.
Elle le dévisagea un moment avant de se diriger vers la salle de bain. Elle en avait envie, il le voyait bien. Il l'attrapa et la serra contre lui.
- Toi et moi, dans une baignoire pleine d'eau chaude. Je te laverai le dos. La poitrine. Partout.
Elle trembla doucement quand il lui le lobe de l'oreille avec suffisamment de force pour titiller mais pas assez pour la blesser.
- Que ce soit bien clair entre nous, Sarah. Je vais te faire l'amour. Tant pis si ça me tue. Je vais te prendre. Tu vas dormir dans mes bras, ta peau contre la mienne. Je veux que moi en toi soit la dernière chose que tu sentes avant de t'endormir et la première en te réveillant.

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