Commentaires de livres faits par Adnap
Extraits de livres par Adnap
Commentaires de livres appréciés par Adnap
Extraits de livres appréciés par Adnap
C'est curieux. C'est mon dernier jour et je suis gênée parce que je suis sale. Si ma petite soeur était là, elle le murmurerait des paroles rassurantes à l'oreille et elle laverait mes mains avec de l'eau chaude.
Je me demande sans cesse si elle va bien. Elle ne m'a pas rendu visite.
J'appuis mon front contre mes paumes. Comment en suis-je arrivée là ?
Je connais la réponse à cette question, bien entendu. Je suis là parce que je suis un assassin.
Pages 13.
- En effet. Je sais que j'ai déjà entendu votre nom quelque part, Votre Altesse, mais pouvez-vous me rafraîchir la mémoire ?
- Avez-vous bien dormi, ma chère ?
Je joue avec le feu, j'en ai conscience.
- Je ne suis pas plus votre "chère" aujourd'hui qu'hier, mais oui, merci. Une fois calmée, j'ai dormi comme un bébé. Mes femmes de chambre ont dû me tirer de force du lit.
Elle me confie cela comme si elle m'avouait un secret.
- Je suis ravi de l'apprendre, ma ch... America.
Pages 68.
Pages 34.
Pages 48.
Nous sommes seuls, libres et heureux. Nous
n'avons pas besoin des autres et c'est très biens ainsi. Aspen tresse des fleurs, il veut m'en faire une couronne...
Pages 35.
Cette chose ou la noyade ? Je me mets à crier tandis que la chose me rejoint puis enroule ses tentacules autour de ma cheville.
Pages 13
Pages 47.
Marchez donc dans mes pas
Battez des ailes aussi
Volons loin du trépas
Notre peuple se meurt
Nous sommes son espoir
Apportons la chaleur
La lumière dans le noir
"Chant des messagers"
Pages 201.
Le secret, c'est l'humilité.
Mettre de côté son ego,
Pour servir ses idéaux,
Tel est le généreux enseignement de Saint-AEgo.
Page 45.
(Devise des Montrose. Librement traduite par :
"Montre ce que tu sais faire").
Page 143.
Page 16.
Comme à chaque nouvelle lune chaude, elle avait accompagné ses parents au palais pour le Symposium. Elle détestait ces interminables réunions durant lesquelles les Robes les plus influentes du royaume dissertaient sur l'avenir des douze cités mais sa mère se montrait inflexible quand à sa présence, et son père, lui donnait toujours raison.
Il affirmait que, là d'où il venait, un endroit qu'il appelait les Terres du Bas, on vous arrache votre nom comme une peau morte à l'instant où vous arrivez, juste pour vous rappeler que vous n'êtes rien ni personne.
Quand il avait prononcé ces mots, elle s'était un peu rapprochée de lui.
Après ce qu'elle l'avait vu faire à Stan, elle aurait dû avoir peur, mais non. Stan méritait son sort, et pire encore.
Une lumière se mit à clignoter en bas de son écran.
Elle l'effleura du bout des doigts, l'esprit ailleurs, et un nouveau message apparut
Il y a une odeur de lessive mélangée à celle du vinaigre. p13
Ses oreilles se bouchèrent comme s'il était réellement sous l'eau.
Et le premier fantôme,brusquement, se matérialisa devant lui, à trente centimètres de son visage.