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Orphelin, Teagan erre depuis son plus jeune âge de foyers en familles d’accueil.
Bad boy écorché par la vie, la justice le rattrape à l’aube de ses 18 ans. La sentence ? Un an de conditionnelle durant lequel il devra se tenir à carreau s’il ne veut pas finir en prison.
Il ne lui reste qu’une chance de se remettre dans le droit chemin et c’est dans une ultime famille d’accueil qu’elle va se jouer. Mais la rencontre avec Elena, la fille aînée de la famille risque de compliquer les choses.
Je vais d'abord commencer par dire que mon avis n'engage que moi, c'est un ressenti personnel et le commentaire qui suit n'a à aucun moment le but d'offenser les lecteurs.rices qui ont apprécié ce roman. Chacun son avis et ses goûts, je ne suis pas là pour juger et je respecte que ce livre ait permis à d'autres que moi de passer un agréable moment de lecture.
Ce qui n'a, vous vous en doutez, pas été mon cas. DU TOUT.
Tout au long de ma lecture, quelque chose m'a dérangée sans que je ne puisse mettre le doigt sur ce dont il s'agissait vraiment. Avec un peu de recul, je sais : en plus d'être complètement clichée, cette histoire est grossophobe, psychophobe et dégradante à la fois pour les femmes mais aussi pour les hommes. Je m'explique plus bas...
Je vais d'abord commencer par souligner quelques bons points, car il y en a : le fait que le personnage principal soit masculin, les prénoms des personnages qui sont communs, les problématiques typiques des quartiers difficiles, du harcèlement qui sont soulevées et même la vocation de l'auteur à parler de viol, maltraitance et traumatismes.
Pour autant, rien de tout cela n'est abordé de la bonne façon, l'auteure tend même parfois à banaliser ces sujets pourtant graves en les rendant "too much" et clichés.
On a Teagan, donc, qui nous vient tout droit de l'orphelinat et d'anciennes familles d'accueil qui ne l'ont pas épargné. Il est donc fort de caractère et ça aurait pu être un personnage tout à fait intéressant car neuroatypique. Seulement voilà, Teagan est dégradant envers ceux qui, comme lui, ont un passé difficile (un exemple : Spoiler(cliquez pour révéler)"Je sais maintenant que la lionne ne fait pas ce truc que font les cinglées pour maigrir.." page 170). Il est le stéréotype du mec qui ne pense qu'à sa "queue" et tous les garçons de l'histoire sont également réduits à ca, sauf le père d'Elena (qui est le personnage que j'apprécie d'ailleurs le plus avec Nathalie) et son petit frère. Je ne suis pas sans savoir qu'à l'adolescence, les hormones sont au plus fort, mais cela n'excuse pas les comparaisons hyper douteuses et machistes du genre "Spoiler(cliquez pour révéler)Coucher avec Elena, c'est comme atteindre le boss final d'un jeu vidéo, il y a des étapes avant et j'ai peur de manquer de vies". TROP C'EST TROP ! Bref, son passé larmoyant aurait pu être touchant s'il n'avait pas été qu'un sale type tout au long de l'histoire. Son "amour" pour Elena est totalement malsain et sa violence envers les autres, et même envers elle, n'est pas une preuve d'amour mais quelque chose de GRAVE.
Elena quant à elle est juste insupportable, son personnage paradoxal ne tient pas la route. Ses sautes d'humeur sont catastrophiques. Son rapport à la nourriture est bien pensé et bien ficelé, mais c'est tout ce qui est intéressant chez elle. Ses "je te prends" et 5 minutes après "je te jette" sont lourds et lassants.
Bref, les personnages sont bancals et se complaisent dans les rôles qu'on leur a attribués. Ils se plaignent sans arrêt, mais ne font aucun effort pour s'en sortir.
Parlons maintenant de la plume de l'auteure. Ce n'est pas de la grande littérature, et ça n'a pas vocation à l'être. Mais un petit effort, quand même quoi ! Les répétitions de "lionne" et "garce" qui reviennent à chaque phrase sont lassantes, sans parler des mots "lapin", "queue", "trique", "bébé" qui revienne également très souvent. De quoi lâcher de nombreux soupirs !
Je ne m'attarderai pas plus et finirai sur ceci : Adopted Love m'a fait l'effet d'une tele-novella très prévisible et clichée, pas très réaliste. Je me suis accrochée jusqu'à la fin, et cette dernière m'a convaincue d'une chose : je ne lirai pas la suite de cette série...
Que dire…. Je suis tombé amoureuse de ce livre! Je n’avais qu’une envie c’est le lire pour s’avoir la suite puis la suite jusqu’à la dernière page! Teagan a beau être violent ou vulgaire il est très attachant et on veut savoir son traumatisme et le consoler.
J’ai eu des éclats de rire, des moments de choc, des rougissements, je suis passé par une palette d’émotion.
Pas du tout le genre de livre que je lis habituellement (quand je lis j’aime m’évader et pas qu’on me montre toute la misère du monde, on en a assez quotidiennement) et bizarrement j’ai apprécié. L’histoire raconte la vie d’un orphelin et des violences qu’il a subi jusqu’à arriver dans une riche famille d’accueil où la jeune fille, Elena, est elle aussi totalement brisée. Ensemble, ils trouvent le soutien qu’il leur faut pour tenter de se reconstruire, mais malgré ça la vie s’acharne sur eux. Au début quand j’ai réalisé que Teagan ne parlait pas, j’ai eu un petit peu peur : si le livre tourne autour des pensées d’un orphelin battu depuis son enfance, je vais vite me tirer une balle (non fermer le livre en fait…). Elena, la riche fille du directeur d’un grand lycée privé est lojn d’être heureuse, elle a beaucoup changé depuis quelques mois et ses parents ne savent plus quoi faire (et on comprend pourquoi…) : encore un sujet malheureusement d’actualité : harcèlement, violence. Le caractère du père m’a beaucoup étonné et le rend vraiment très attachant : il arrive à avoir ce qu’il veut/ou à faire passer ses messages de manière détournée (à part avec sa fille). Solis est un super personnage, elle a toujours tout fait pour que Teagan ait une belle vie, à part l’adopter (ce n’est pas l’envie qui lui manquait) et a fait quelques erreurs à son sujet (mais bon elle ne pouvait malheureusement pas savoir). Le suspense est maintenu tout le long du livre et on en sait sur Teagan petit à petit grâce à ses cauchemars. Un livre très bien écrit que j’ai eu plaisir à lire malgré la violence. Ce livre est dur et je vais faire une petite pause avant d’entamer le 2e tome
J'ai beaucoup entendu parler de ce livre et mon envie première était d'en lire le roman graphique.
Une énorme déception. Entre les répétitions, de mots, de scènes et d'insultes, et les surnoms débiles, on retrouve un protagoniste qui aurait vraiment besoin de séances chez le psy. Entre détruire tout ce qui est bon dans sa vie, ses problèmes de colère et la façon dont il s'adresse à la seule personne qui cherche a l'aider, je n'ai vraiment pas aimé la façon dont les problème de la protagoniste sont limite tournés en ridicule.
L'écriture est crue et déplaisante.
Le seul point positif que je peux y trouver est que le roman est écrit sous le pont de vu du protagoniste, ce qui est un changement rafraichissant.
Pour autant sa vision de la femme, de la famille, de la boulimie et de tout ce qui tourne autours ne va sérieusement pas.
L'autre point que j'ai apprécié ce sont les flash backs qui permettent de comprendre le protagoniste.
Il ne parle pas et c'est l'un des points majeurs de "l'intrigue" qui n'en est pas une, mais ne pas le lire parler et gesticuler dans tous les sens ça m'a gonflé. Tout résoudre par des accès de colère devient compliqué à lire au bout d'un moment.
Bon, c’est une grosse déception. Il y a quelques semaines, j’avais acheté le roman graphique qui m’avait laissé un peu sur ma faim et je voulais donc en apprendre plus sur l’intrigue mais.. c'est un gros loupé pour moi. Je n’ai pas accroché à la plume de l’autrice, ni à l'intrigue ni aux rebondissements. Trop de répétitions et de vulgarités inutiles. Ce n’était simplement pas pour moi...
Teagan est grossophobe en plus d'être le red flag par excellence.
TW : Spoiler(cliquez pour révéler)agression/harcèlement sexuel, viol (détaillé), violence infantile.
Spoiler(cliquez pour révéler)La dernière scène m'a choquée, je ne m'y attendais pas, c'était absolument horrible à lire, une torture. Pourquoi détailler autant ? Quel est l'intérêt narratif ? Quel est l'utilité dans l'histoire ? Surtout que je ne me souviens pas d'être tombée sur des TW avant la lecture, mais peu importe, rien ne justifie qu'une scène de viol soit aussi minutieusement détaillée, c'est malsain à souhait.
Avant de commencer, ce n'est que mon avis, et je peux comprendre qu'Adopted Love ait plu à un certain public, et je sais que j'ai parfois des goûts et des avis particuliers.
Donc j'ai lu ce livre en entier, mais houlà je me suis forcée pour les 200 dernières pages. Bien sûr, il y a du suspens et des rebondissements mais l'histoire n'est pas satisfaisante.
Tout d'abord, l'écriture est plus que médiocre, très vulgaire, et aussi répétitive, avec souvent des scènes qui se ressemblent. Certes, le fait que ce soit écrit du point de vue de Teagan (le protagoniste) est original mais ce n'est pas authentique, et ça donne une image perverse et écœurante des hommes.
Ensuite, les personnages ne sont pas attachants du tout. Le protagoniste est pathétique, obsédé, démesurément violent, insultant, dégradant (Il critique d'une mauvaise manière l'anorexie, la boulimie... et il donne une très mauvaise image de la femme.), et irrespectueux (Pourquoi est-il si méchant avec la personne qui l'aime le plus sur Terre - Nathalie Sollis -, qui a toujours été là pour lui, et qui lui a toujours tout donné alors qu'il a toujours été détestable ?). Et pour la protagoniste, Elena, elle est énervante et incompréhensible, en un mot épuisante.
Enfin pour l'histoire, je trouve l'intrigue sympa, mais un peu trop cliché et habituel. Mais lorsqu'on lit le livre, l'intrigue de la 4ème de couverture est pratiquement laissée de côté : par exemple le père qui est censé être intelligent et une grosse menace pour le futur de Teagan n'est finalement pas le problème, ou plutôt pas un problème du tout. Puis, je trouve que les actions du protagoniste sont des fois limites, au bord du non-consentement (gros Red Flag pour moi, un tout petit peu plus et je fermais le livre sans même finir la phrase).
Donc voilà, je n'ai pas passé un excellent moment, mais ce n'était pas non plus affreux, juste malaisant (on ne va pas parler de la première de couverture) et trop vulgaire à mon goût.
Je n'arrive pas à croire que ce livre a eu plus de 2 millions de lecteurs.
Personne ne voit le problème ?
Les comportements et réflexions problématiques ?
Le type qui sort son attirail toutes les deux pages pour aller aux toilettes (à ce stade faut consulter), en précisant bien qu'il a le zizi dur parce que vous comprenez la fille est tellement bandante. Osekour par pitié.
Y'a rien qui va.
Et quand je lis les avis positifs, je vous jure, je suis la première à dire que chacun peut avoir une lecture différente d'un livre, qu'il faut respecter. Et je respecte. Je suis ok avec ceux qui ont aimé.
Mais je ne peux pas m'empêcher de l'ouvrir.
Parce qu'avoir de la sympathie, pour un type violent, mysogine, grossophobe, j'en passe et des meilleures joyeusetés du genre c'est quannnnd même chaud les marrons hein.
J'en ai lu des livres avec des types bleh *Bad boys de la street* qui finalement sont aussi doux que des chatons mais vous voyez la différence c'est qu'ils avaient un bon fond et qu'on le comprenait très rapidement.
Ici on veut nous faire croire qu'une enfance pourrie et un souci avec le langage rend l'héros incroyable.
C'est faux !!!!
Bref je pourrais continuer longtemps comme ça.
Vous savez quoi je vais peut-être même regretter d'être "virulente" parce que je respecte le travail des auteurs, je sais qu'il y a des heures de taff derrière chaque livre.
Mais pour le bien de l'humanité, les filles, ne tomber pas dans le piège de ce genre de type.
Je suis une trentenaire, mais je pense aux petites ados qui lisent ça et se disent que c'est ok. Ben nan enfaiiiit ça ne l'ai pas.
Y'a rien qui fait rêver.
Et je le répète, je suis la première à avoir lu des livres où les types sont horribles et où j'ai été naïve et je me suis dis oh c'est ok. Vraiment. Je tends le bâton pour me faire battre.
Mais y'a une limite. En tout cas j'ai la mienne, chacun la sienne et là elle est franchie hein mdr.
J'avais un peu peur de cette lecture car j'ai entendu beaucoup d'avis mitigés concernant ce livre. Finalement j'ai vraiment aimé ce livre, c'est presque un coup de cœur. L'histoire est très sympa, très touchante. On a du rebondissement, du love, beaucoup de rire, du dégoût aussi. J'ai beaucoup apprécié l'évolution de Teagan, mais aussi l'évolution des relations intra familiales. Chaque personnage est incroyable. Le seul hic dans ce livre c'est la façon dont Teagan parle du physique des autres. Même si c'est les mots d'un ado de 17 ans et pas ceux de l'autrice, les mots qui sont employés sont assez rudes.
Une bonne lecture, fluide et addictive. Des personnages touchants avec des passés difficiles surtout pour Teagan et les complexes d'Elena avec ses traumatismes Spoiler(cliquez pour révéler)par rapport à son poids et son viol .
La fin assez triste, mais donne envie de connaître la suite, elle nous laisse sur notre faim. Hâte de commencer le tome 2.
Résumé
Orphelin, Teagan erre depuis son plus jeune âge de foyers en familles d’accueil.
Bad boy écorché par la vie, la justice le rattrape à l’aube de ses 18 ans. La sentence ? Un an de conditionnelle durant lequel il devra se tenir à carreau s’il ne veut pas finir en prison.
Il ne lui reste qu’une chance de se remettre dans le droit chemin et c’est dans une ultime famille d’accueil qu’elle va se jouer. Mais la rencontre avec Elena, la fille aînée de la famille risque de compliquer les choses.
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