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-je vais t'embrasser.
Je cessai de respirer.
-Non, tu ne vas pas le faire.
-Essaie de m'en empêcher!
Je me levai d'un bond.
-Jackson...
-Tais-toi, Gia.
Il prit mon visage entre mes mains et s'empara de ma bouche.
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Afficher en entier-J'ai pris la bonne décision quand je suis parti,souffla-t-il contre ma tempe. Ce qui ne veut pas dire que je ne le regrette pas.
Une petite voix me criait de prendre mes jambes à mon cou.
Tu vas me faire mal.
Je vais surtout te rendre folle de plaisir.
Il entoura ma nuque d'une main et cramponna l'autre à ma hanche, pour que je sente son sexe en érection contre mon clitoris.
Afficher en entier-Pourtant tu es ici. Pourquoi devrais-je te voir, Jax?
Donne moi une seule bonne raison...
-Parce que j'ai envie de toi.
-Tu n'iras pas très loin, avec ça!
Il lâcha un soupir désespéré.
-Parce ce que j'ai envie de toi. Parce que j'ai besoin de passer du temps avec toi. Tu me fais me sentir... humain, Gia. Etre avec toi me permet de ne pas me voir comme un fumier de la pire espèce.
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Afficher en entierIl se retourna vers moi avec un sourire renversant.
- Je peux finir de te déballer ?
Déballer ? Une douleur aiguisée comme une lame de rasoir me transperça. " Gia, bébé, tu es un cadeau que je m'offre après une dure et longue journée." C'était, parmi d'autres, l'une des phrases inoubliables qu'il m'avait dites à Las Vegas et qui m'avaient fait tomber amoureuse de lui.
Et s'il était toujours comme ça ? S'il parlait toujours comme ça aux femmes avec lesquelles il sortait ?
(...)
Cette idée me déprima.
- Hé ! fit-il en me faisant relever le menton. Pourquoi cette tête ? Je suis ici, vraiment ici. Avec toi.
- Mais pour combien de temps ? Pour le week-end ?
Je reculai ; mon instinct me criait de fuir tant qu'il était temps.
- Je ne peux pas faire ça. Jax.
Sa mâchoire se crispa.
- Gia...
Je tournai les talons et traversai la chambre en vitesse pour aller récupérer mes vêtements.
- Putain, qu'est-ce qui se passe ? s'écria-t-il en m'arrêtant par le bras sur le seuil du séjour.
- Tu voulais venir.
- C'était une erreur.
(...)
- N'importe quoi ! Pourquoi es-tu venue, alors ? Tu as dit que tu voulais, et tu voulais que je te fasse l'amour.
- Je voulais baiser avec toi, c'est vrai. Je voulais me débarrasser de la tension entre nous pour voir si, enfin, tu montrais ton véritable visage. Mais je ne veux plus de tes foutaises de beau parleur. Rien de tout ça n'est réel. Toi même tu ne l'es pas.
Afficher en entierSon souffle caressa doucement mon oreille.
- Tu vas faire semblant encore longtemps de ne pas me connaître, Gia ?
Je fermai les yeux en entendant ce diminutif que personne d’autre n’avait jamais utilisé.
J’ouvris la porte et entrai dans la pièce sans lâcher la poignée pour bien lui montrer que je ne comptais pas rester. Il s’arrêta devant moi. Même si je portais des talons, il me dépassait d’un peu plus d’une tête.
Les mains dans les poches, le visage penché vers le mien, il envahissait mon espace personnel. Une attitude beaucoup trop familière. Beaucoup trop intime.
- S’il te plaît, reste à ta place, dis-je d’un ton calme.
Il bougea, mais pas de la façon que je souhaitais. Une main sortit de sa poche pour glisser sur mon bras, du coude au poignet. Je sentis son contact à travers la soie de ma veste, heureuse que ma manche dissimule ma chair de poule.
- Tu as beaucoup changé, murmura-t-il.
- C’est sûr. Au point même que tu ne m’as pas reconnue tout à l’heure.
- Allons, Gia. C’est ce que tu as cru ?
Il se détourna, ce qui ne diminua pas tellement l’effet qu’il me faisait. La vue de dos était aussi splendide que celle de face.
- Tu ne pourras jamais te cacher de moi, Gia. Je pourrais te reconnaître les yeux bandés.
Afficher en entier- J'étais frustré à m'en cogner la tête contre les murs. Mais après toi, les autres femmes sont sans saveur, Gia.
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