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Que James Lacey ne propose pas de l'accompagner, mais se contente d'annoncer, dans un murmure gêné, qu'il allait lire les journaux en l'attendant, le fit dégringoler dans l'estime d'Agatha, toute tourneboulée qu'elle soit. Il était beau, le chevalier errant de ses rêves ! Il allait rester assis là, douillettement, pendant qu'elle affronterait sans aucun doute un patron de pub furibond.

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- Il faut que je trouve des toilettes, vite !

- vous avez la nausée ?

- non, il faut que je fasse pipi. Je suis en train de me remplir de pisse jusqu'aux oreilles !

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Tel un Américain prononçant le serment d'allégeance, lord Pendlebury posa une main sur son cœur, sans nul doute dans le but de protéger son porte- feuille, et déclara :

— J'ai déjà donné pour la recherche contre le cancer.

— Mais là, il s'agit de Save The Children.

— Je n'aime pas les enfants ! Il y en a trop. Allez-vous-en !

Elle s'apprêtait à l'enguirlander vertement, mais James Lacey s'empressa d'intervenir :

— Vous avez de bien belles écuries, monsieur. Ça ne vous dérange pas que nous allions y jeter un coup d'œil ?

— Ça changerait quoi que ça me dérange, hein ? Les propriétaires terriens n'ont plus aucune intimité de nos jours ! Quand c'est pas des fouineurs de votre espèce, c'est ces damnés d'écologistes qui parcourent mes terres avec leur sac sur le dos en mangeant des barres de céréales diététiques et en pétant. Vous savez ce qui détruit la couche d'ozone ? C'est les toqués de la diététique, qui bouffent leurs immondes barres complètes aux noix et qui lâchent leurs pets partout dans la nature. Ils émettent des tas de gaz nocifs. Faudrait les abattre.

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Agatha Raisin débarqua à l' aéroport d' Heathrow, bronzée à l' extérieur et rouge de honte à l' intérieur. Comme elle se sentait stupide en poussant son chariot de valises en direction de la sortie!

Elle était partie deux semaines aux Bahamas à la poursuite de son séduisant voisin, Jamas Lacey, car il avait laisser entendre qu' il allait passait des vacances au Beach Hotel de Nassau, la capitale de l' archipel.

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Pas une dame de Carsely ne manquait au milieu de l’agréable fouillis du salon du presbytère. Rien n’avait changé. Mrs. Mason était toujours présidente, et Miss Simms, en chaussures blanches et robe minuscule à la Minnie Mouse, toujours secrétaire. Pressée de raconter ses vacances par le menu, Agatha vanta le soleil et le sable chaud, tant et si bien qu’elle commença à se persuader qu’elle était réellement contente de son séjour.

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Il était six heures du soir . La plupart des boutiques avaient fermé , la rue était silencieuse . Agatha se rappelait le temps où une telle rue aurait résonné de cris d'enfants : des enfants jouant à la marelle , au ballon , aux cow-boys et aux Indiens . A présent , ils devaient tous être enfermés chez eux à regarder la télévision , des vidéos ou à jouer à l'ordinateur . C'était triste .

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" Devinez-quoi ! demanda-t-elle.

- Un autre meurtre ? annonça l’épouse du pasteur.

- Mieux que ça. Notre nouveau vétérinaire m'invite à diner ce soir."

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Colonel à la retraite, James Lacey méprisait ce qu'il appelait les " commérages de bonnes femmes", et il aurait été stupéfait si on lui avait fait remarquer qu'il était lui aussi, comme tous les êtres humains, une commère.

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Agatha Raisin débarqua à l’aéroport d’Heathrow, bronzée à l’extérieur et rouge de honte à l’intérieur. Comme elle se sentait stupide en poussant son chariot de valises en direction de la sortie ! Elle était partie deux semaines aux Bahamas à la poursuite de son séduisant voisin, James Lacey, car il avait laissé entendre qu’il allait passer des vacances au Beach Hotel de Nassau, la capitale de l’archipel. Lorsqu’il s’agissait de conquérir un homme, Agatha se montrait aussi impitoyable qu’elle l’était autrefois en affaires. Elle avait dépensé beaucoup d’argent dans une garde-robe éblouissante, elle avait maigri avec acharnement de façon à pouvoir exhiber sa silhouette rajeunie de quinquagénaire dans un bikini, mais une fois aux Bahamas, aucune trace de James Lacey. Au volant d’une voiture de location, elle avait fait le tour de tous les hôtels de l’île, en pure perte. Elle s’était même rendue au haut commissariat britannique dans l’espoir qu’on y aurait entendu parler de lui. Quelques jours avant la date prévue de son retour en Angleterre, elle avait passé un appel longue distance pour parler à Mrs. Bloxby, l’épouse du pasteur de Carsely, le village des Cotswolds où elle habitait, et s’était finalement résolue à lui demander où pouvait bien se trouver James Lacey. La communication était mauvaise et elle entendait encore la voix de Mrs. Bloxby, s’amplifiant et s’affaiblissant tour à tour, comme portée par la marée. « Mr. Lacey a changé d’avis à la toute dernière minute. Il a décidé de passer ses vacances chez un ami à lui, au Caire. Il avait annoncé qu’il partait pour les Bahamas, c’est vrai, je m’en souviens. Et Mrs. Mason avait dit : “Quelle surprise ! Exactement comme notre chère Mrs. Raisin.” Et puis du jour au lendemain, nous avons appris que cet ami dont je vous ai parlé l’avait invité en Égypte. » Agatha n’avait plus su où se mettre, et encore aujourd’hui elle aurait voulu rentrer sous terre ! James Lacey avait changé d’avis dans le seul but de l’éviter, cela ne faisait aucun doute. Rétrospectivement, elle s’apercevait que ses manœuvres de séduction avaient été plutôt flagrantes.

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Agatha précéda Freda dans la cuisine, apercevant au passage son reflet dans le miroir de l’entrée : cheveux ébouriffés, visage non maquillé. Sa visiteuse, au contraire, avait l’air aussi fraîche et fragile qu’un personnage d’un tableau de Fragonard. Freda s’assit à la table de la cuisine, posa son chien par terre et croisa ses longues jambes tandis qu’Agatha allait ouvrir la porte de derrière pour faire sortir ses chats dans le jardin.

« Vous n’arrêtez pas de courir partout avec James depuis quelque temps, commença Freda. Il est un peu trop bonne pâte. Vous ne devriez pas abuser de sa générosité.

– Et qu’est-ce que c’est censé vouloir dire, en clair ?

– Il a été harcelé par toutes les vieilles biques du village, vous n’avez pas remarqué ? Je l’ai prévenu que ces épouvantables ménopausées se faisaient souvent des idées. Fichez-lui la paix.

– Écoutez, espèce d’assassin, siffla Agatha, ce n’est pas parce que vous vous êtes laissé tringler par Paul Bladen sur la table d’examen que vous êtes Cléopâtre. En plus, vous avez dû banquer pour obtenir ses faveurs, pas vrai ? Quarante mille livres, pour être exacte. »

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