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– Je vous suis infiniment reconnaissante, Miss Pruneau, fit-elle d’une voix languissante.

– Raisin. Je m’appelle Agatha Raisin.

– Désolée. Il me semblait bien que c’était un de ces fruits ratatinés.

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Un certain Gerald Devere, ancien inspecteur de Scotland Yard, venait d’emménager au village et, contre toute attente, Mrs Bloxby semblait avoir succombé à son charme. Elle s’était fait teindre les cheveux d’une chaude nuance châtain et avait troqué ses habituels tailleurs informes contre des tenues seyantes.

Gerald affichait une petite cinquantaine d’années. Mince et athlétique, doué d’un visage intelligent et expressif, il avait des yeux gris magnifiques et de curieux sourcils en biais. Agatha était fermement décidée à faire sa conquête. Après tout, elle n’était pas mariée, elle, tandis que Mrs Bloxby était la femme du pasteur. D’ailleurs, c’est un service que je lui rends, se persuadait-elle, elle n’a sûrement pas envie de détruire son mariage.

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Ils se fusillèrent du regard, puis Charles éclata de rire.

« Allez, viens. Allons boire un verre, et après cela, pourquoi ne pas faire un tour du côté de ces fichus potagers ?

– Tu m’as mal parlé, reprocha Agatha d’une toute petite voix.

– J’essayais juste de te mettre un peu de plomb dans le crâne. Allons au pub. J’espère que cet été indien va durer encore un peu – enfin, si on a encore le droit de parler d’été indien… Ou faut-il dire “été des peuples autochtones américains” ?

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Lord Bellington estimait avoir passé une journée exécrable. Comme si les enquiquineurs de Carsely ne suffisaient pas, voilà que son fils Damian avait débarqué avec, plus que jamais, son air de chochotte, ce que son père ne s’était pas privé de lui signaler. Quant à sa fille, Andrea, elle était fagotée comme l’as de pique, il lui avait de plus ordonné de se mettre au régime parce qu’il la trouvait répugnante. Il maudit son ex-femme d’avoir divorcé en lui laissant sur les bras des rejetons aussi lamentables. Et par-dessus le marché, la veille, sa maîtresse, Jenny Coulter, l’avait planté là en le traitant de brute et de butor.

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« Vous aviez raison, lui dit-il. Je viens d’apprendre que lord Bellington a été empoisonné avec de l’antigel. Je dois vous emmener au commissariat pour que vous fassiez une déposition.

– Comment avez-vous découvert ça ?

– Vos propos me tracassaient. J’ai passé quelques coups de fil. Le fils a déclaré que son père était dans le caveau familial, dans un cercueil de pierre, que nous pouvions aller vérifier si nous voulions et il a signé les autorisations nécessaires. La police veut nous interroger, car nous avons tous deux rencontré la victime le jour de sa mort.

– C’est horripilant. Wilkes va encore me traiter comme si j’étais l’assassin et me retenir la moitié de la nuit. »

De fait Wilkes ne décolérait pas. Il ne pouvait comprendre comment Agatha avait pu soupçonner l’empoisonnement à l’antigel sans même avoir vu le corps.

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(...) On parle bien toujours de “maîtresse”, de nos jours ? »

Charles haussa les épaules :

« On utilise plutôt le mot “compagne”, ou l’expression “la personne qui partage la vie de… ». Dans le Times il y avait une lettre très drôle de quelqu’un qui disait qu’en Australie on présente souvent son amant ou sa maîtresse comme Mrs ou Mr de facto. »

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Agatha Raisin, détective privée, aurait dû être une femme comblée. Elle possédait un joli cottage à Carsely, ravissant village des Cotswolds. Son agence était florissante. L’automne était splendide, chose rare en Angleterre. Mais le serpent de la jalousie sifflait à ses oreilles. C’était loin d’être la première fois mais jamais, au grand jamais, elle n’aurait imaginé avoir un jour pour rivale sa meilleure amie, Mrs Bloxby, l’épouse du pasteur.

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