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– Laissez-moi réfléchir. Je sais ! Si vous n’arrivez pas à les emmener dehors, on guettera pour voir s’ils quittent l’hôtel. S’ils sortent, vous ferez du plat à cette évaporée de réceptionniste et j’en profiterai pour piquer leur clé.

– Ça fait beaucoup de si.

– Il faut essayer. Est-ce que vous savez vraiment reconnaître de vrais diamants ?

– Quand le soleil a éclairé le collier, il a scintillé comme seuls peuvent le faire de vrais diamants.

– Soit, mais il existe de très bonnes imitations. De toute façon, c’est notre seule piste. Ne vous embêtez pas à leur proposer de sortir. Je serai plus tranquille si vous êtes avec moi quand je jetterai un coup d’œil à leur chambre. »

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Elle se réveilla de bonne heure. Le soleil inondait la pièce. Elle se leva afin de voir par la fenêtre si la mer s'était retirée, oubliant que sa nouvelle chambre donnait sur un jardin envahi de mauvaises herbes à l'arrière de l'hôtel.

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Agatha descendit de voiture, puis scruta l’obscurité. Elle finit par distinguer un fourré, alla se cacher derrière, s’accroupit et baissa la fine culotte qu’elle avait mise dans l’espoir d’une soirée torride.

Elle s’apprêtait à la remonter lorsqu’elle aperçut deux yeux verts qui la fixaient. Elle poussa un cri terrifié, essaya de se sauver, mais s’aplatit de tout son long, la culotte enroulée autour des chevilles. Deux policiers surgirent, munis de torches électriques.

« C’était lui ? cria l’un d’eux.

– J’ai vu deux yeux verts qui me fixaient », répondit Agatha, haletante.

À cet instant, un renard passa près d’eux dans la lumière des torches avant de disparaître. « Les voilà, vos yeux verts ! » s’écria un policier.

Il aida Agatha à se relever. Elle se pencha pour remonter sa culotte. Elle en aurait pleuré de honte. Elle qui aimait jouer les détectives endurcies avait accepté un rendez-vous avec un homme qu’elle ne connaissait ni d’Ève ni d’Adam, elle avait failli se faire tuer, et voilà qu’un renard lui avait fichu la peur de sa vie !

Elle entendit distinctement l’un des policiers marmonner en s’éloignant : « Quelle conne ! »

« Je préfère ne pas en parler », avertit-elle en reprenant sa place à côté de Patrick.

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L’inspecteur principal se leva. « Je m’en vais, annonça-t-il. Je reviendrai demain. » Après un regard à l’autre bout de la salle, il ajouta : « Est-ce que ce n’est pas Mr Lacey que je vois là-bas ? L’homme qui était ici avec vous au moment de l’assassinat ?

– Si, répondit sèchement Agatha.

– Qui est la femme qui est avec lui ?

– La putain du village, lâcha-t-elle brutalement.

– Je vois », fit Barret en la regardant, une lueur malicieuse dans les yeux.

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Cyril Hammond se leva pour les accueillir, vêtu d’un blazer bleu marine et d’un pantalon blanc aux plis bien marqués.

« Vous prenez quelque chose ? » demanda-t-il.

Il fit signe à la seule et unique serveuse du bar. Elle vint d’un pas lourd prendre leur commande, avec force soupirs, comme si elle était surmenée, alors qu’ils étaient les seuls clients.

« Je suis désolé pour cet incident, commença Cyril.

– Incident, le mot est faible pour désigner un meurtre, fit remarquer Agatha.

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En surprenant le regard d’Agatha fixé sur eux, la fausse blonde cria à travers la salle : « Hé, vous là-bas ! Occupez-vous de vos oignons, pauv’ conne ! »

James fit mine de se lever, mais Agatha avait déjà bondi de sa chaise et marché jusqu’à la table familiale, prête à en découdre.

« Fermez votre sale gueule et laissez-moi manger tranquille, siffla-t-elle.

– Fous le camp, vieille guenon !

– Va te faire… ! » assena Agatha, avant de rejoindre James d’un pas furieux.

« Tu te rappelles Wyckhadden ? demanda-t-elle à son compagnon. C’était un endroit charmant, comparé à ça.

– Je préférerais oublier Wyckhadden », répondit-il avec froideur.

Le rouge monta aux joues d’Agatha. Elle avait enquêté sur un meurtre dans cette petite station balnéaire, et elle avait oublié que James l’y avait surprise au lit avec Charles.

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Charles ne se sentait pas coupable d'avoir abandonné Agatha. Mais il s'ennuyait. Il ne comprenait pas pourquoi ses amis, Cynthia et Guy Parlington, avaient brusquement décidé d'écourter leur visite. Il ne lui effleura pas l'esprit que cela pourrait avoir un rapport avec le fait que les deux fois où il les avait invités au restaurant, il avait apparemment oublié son portefeuille.

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Ils trouvèrent Patrick assis dans le bar de l'hôtel. Agatha regrettait souvent qu'il en s'habille pas plus décontracté : tout chez lui sentait le flic à plein nez, de ses cheveux gris soigneusement peignés à sa mine lugubre, en passant par son costume-cravate et ses chaussures noires bien astiquées.

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Agatha le regarda, horrifiée. C'était un homme trapu, qui aurait bien eu besoin d'un nouveau costume : le gris qu'il portait menaçait de craquer aux coutures. Il avait un visage aux traits épais et aux pores dilatés, des yeux gros surmontés de sourcils broussailleux.

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Assise sur le lit, elle regarda autour d'elle. Une armoire massive en acajou dominait la pièce, menaçante. Devant la fenêtre, une table était couverte d'une nappe en dentelle défraîchie. La moquette autrefois verte avec un motif de roses rouges, avait pris à force d'usure une couleur terne uniforme.

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