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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Cali80 2023-07-22T21:18:40+02:00
Or

Toujours le ton décalé et les répliques telles des aphorismes qui rendent la lecture addictive. Ici l'écriture du fameux roman de Julius Dump est le fil conducteur pour dépeindre les personnalités très colorées des habitants de ce village où "il n'y a rien, circulez, il n'y a rien à voir !"

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Commentaire ajouté par LaureG 2023-07-05T11:08:49+02:00
Bronze

Plaisant roman à la vague trame policière, qui vaut essentiellement par son style et son humour.

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Commentaire ajouté par eric34 2020-11-01T11:06:35+01:00
Argent

pas le meilleur de Franz Bartelt : il ne fait pas oublier hôtel du grand cerf

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Commentaire ajouté par Julie-176 2020-10-19T22:27:27+02:00
Lu aussi

Ma première rencontre avec la plume de Franz Bartelt avait été un rendez-vous complètement manqué. Je l’avais découverte par le roman noir « Hôtel du Grand Cerf » que j’avais dû lire dans, pas un, mais deux jurys littéraires. Afin de remplir mon « travail », j’avais retenté sa lecture en me disant que si la première fois, ça ne s’était pas bien passé entre nous, c’était peut-être la période qui voulait ça mais cela n’avait pas été du tout concluant.

Pour son nouveau polar, on m’en a proposé sa lecture et je me suis dit : « Pourquoi pas ?! ». En effet, je déteste rester sur une mauvaise note ou sur un mauvais sentiment. C’est donc ainsi que j’ai découvert ce nouvel opus. Définitivement, je me rends compte que j’ai très bien fait d’avoir cette idée car, cette fois-ci, j’ai passé un bon moment de lecture !

Franz Bartelt n’est pas un auteur comme les autres. Dès les premières pages, on peut facilement s’en rendre compte et déjà même grâce à la quatrième de couverture. Le cynisme et l’humour noir sont sa marque de fabrique. Autant cela avait pu me révulser dans « Hôtel du grand Cerf » autant ici, j’ai apprécié cette touche burlesque. Je me suis surprise à m’impatienter pour continuer ma lecture, ce que je n’avais pas du tout ressenti la première fois.

Ici, on suit Julius Dump, un homme que l’on pourrait facilement qualifier de « paumé ». Alors qu’il se définirait comme un écrivain, le succès est loin d’être au rendez-vous. A la mort de son oncle Georges, il se décide de partir sur les traces de son père, malfrat de son état qui aurait été au courant de la cache d’un mystérieux tableau volé. Tous les éléments le mènent à Puffigny, un coin perdu au fin fond de la France profonde où ses habitants ont la réputation d’être des menteurs notoires.

Encore une fois, le style burlesque est de la partie mais en même temps, cette plongée dans ce coin retiré, que « même les cartographes n’ont jamais pu le situer avec exactitude » semble si réelle qu’on y va sans sourciller. Alors qu’on pourrait penser que l’auteur s’adonnera à la moquerie de cette France oubliée, il n’en est rien car c’est avec humour et aménité qu’il le fait. Les personnages sont hauts en couleurs mais, au contraire de son héros Vertigo Kulbertus qui avait le don de m’hérisser les poils, ceux-ci m’ont souvent tiré un sourire sur les lèvres.

J’ai aimé ses aventures de Julius, un brin naïf et niais dans ce décor – peut-être pas aussi chimérique qu’on pourrait le penser – où même les réseaux de télécommunication ne passent pas. C’est souvent loufoque, parfois doté d’humour noir mais toujours bienveillant. Finalement, ce livre restera l’exemple-parfait pour moi comme quoi il ne faut jamais rester sur sa première (mauvaise) impression.

Je remercie les éditions Points (et en particulier, Julie pour m’avoir réconcilier avec cet auteur;) pour leur confiance.

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Commentaire ajouté par Sylvie-332 2020-10-05T09:46:05+02:00
Or

J'ai commencé à sourire dès la première page et ce plaisir ne m'a pas quittée jusqu'à la fin.

Il y a chez Franz Bartelt une verve, une truculence dont je ne me lasse pas.

On pourrait croire que la trame policière n'est là que pour permettre à l'humour de Franz Bartelt de s'exprimer. Oui, sans doute, mais pas seulement. En fait, ça tient même très bien. C'est juste qu'on dirait l'aventure est filmée par Charlie Chaplin.

C'est gentiment loufoque, et j'adore.

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Commentaire ajouté par Chantal-123 2020-06-01T17:12:16+02:00
Bronze

Un livre un peu décalé, des personnages originaux et déjantés, une intrigue survolée un peu confuse. Un style d'écriture à découvrir

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Commentaire ajouté par Phil_33 2019-11-22T19:01:23+01:00
Lu aussi

Après m’être éreinté sur le Oh combien opportuniste « Les choses humaines » (Prix Interallié et Prix Goncourt des Lycéens) j’espérais retrouver une raison de vivre avec « Ah, les braves gens ». Un bouquin qui, lui, n’était pas écrit à des fins mercantiles, ni pour être dans l’air du temps. On me le présentait comme étant truculent, noir, poétique et désabusé. On l’affublait même, d’un sous-titre prometteur : “Da Vinci Code chez les ploucs” ! Ou encore de qualificatifs tout aussi engageants : “une galéjade littéraire qui sent bon le houblon et la rosée matinale…”

Je ne sais si ce sont les choses humaines qui m’ont troublé l’esprit et combien de temps me faudra-t-il pour m’en remettre, mais je n’ai pas réussi à m’intéresser aux aventures de Julius Dump à Puffigny.

Le fameux verbe fleuri de Franz Bartelt que l’on voudrait comparer à Audiard, au chanteur Renaud, à Simonin, à Desproges, ou aux Brèves de comptoir de Jean-Marie Gourio, sont si timorées que j’ai eu du mal à sourire.

Mon attente était sans doute trop forte.

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Commentaire ajouté par Phil_33 2019-11-22T18:59:07+01:00
Lu aussi

Après m’être éreinté sur le Oh combien opportuniste « Les choses humaines » (Prix Interallié et Prix Goncourt des Lycéens) j’espérais retrouver une raison de vivre avec « Ah, les braves gens ». Un bouquin qui, lui, n’était pas écrit à des fins mercantiles, ni pour être dans l’air du temps. On me le présentait comme étant truculent, noir, poétique et désabusé. On l’affublait même, d’un sous-titre prometteur : “Da Vinci Code chez les ploucs” ! Ou encore de qualificatifs tout aussi engageants : “une galéjade littéraire qui sent bon le houblon et la rosée matinale…”

Je ne sais si ce sont les choses humaines qui m’ont troublé l’esprit et combien de temps me faudra-t-il pour m’en remettre, mais je n’ai pas réussi à m’intéresser aux aventures de Julius Dump à Puffigny.

Le fameux verbe fleuri de Franz Bartelt que l’on voudrait comparer à Audiard, au chanteur Renaud, à Simonin, à Desproges, ou aux Brèves de comptoir de Jean-Marie Gourio, sont si timorées que j’ai eu du mal à sourire.

Mon attente était sans doute trop forte.

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