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– Puisqu’on va faire semblant d’être un couple normal… Tu ne veux pas me préparer le dîner, femme ? ! lancé-je en prenant une voix d’Homme de Cro-Magnon.

– Ben voyons ! Va donc me chasser un bison, Macho-Man !

Je regarde autour de moi avec des yeux fous, affamés, et fais semblant de partir à la chasse…

avant de sauter sur Adèle et de la mordre dans le cou. Elle se débat en éclatant de rire : c’est le plus beau son que j’aie entendu de la journée.

Je la laisse s’affairer dans la cuisine, ouvrir mes placards et mes tiroirs en admirant tous les robots et ustensiles dont je ne me suis jamais servi, puis commenter le maigre contenu de mon frigo.

Pendant ce temps, j’enlève rapidement mon t-shirt, remonte mon jean sur mes mollets, soulève

Bernadette qui dort sur le carrelage frais de l’entrée, essaie de la caler silencieusement sur mon

épaule – malgré ses soixante-dix kilos et son absence totale de coopération.

Je retourne vers le comptoir de la cuisine ouverte, bombe le torse et reprends ma voix préhistorique :

– Homme bon chasseur ! Donne femme ce qu’elle veut ! Bison assez gros ?

Le nouveau rire tonitruant d’Adèle réveille Bernadette qui s’agite et se met à me lécher l’oreille.

Je perds toute virilité quand la chienne pose sa large tête sur mon crâne et s’accroche à mon cou comme un bébé géant. Adèle rit de plus belle.

Tant pis pour ma dignité, j’ai eu ce que je voulais…

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– Donc, la déco du resto… changé-je subitement de sujet. On part sur du noir ?

– On ne part sur rien du tout ! Pour l’instant, on est en phase de réflexion ! m’explique-t-elle en venant me coller un Post-it sur le front.

Je la rattrape au vol et l’oblige à s’asseoir sur mes genoux. Je décolle le petit papier rose pour lire les annotations. « Fluo ? » est écrit au milieu. Puis « Chez Adèle » dans un coin en haut… et Damon imbriqué dans son prénom à elle, à la verticale en partant du D.

– Tu fais des mots croisés au lieu de bosser ?

– C’est un brainstorming ! précise-t-elle. Je jette mes idées sur le papier.

– Si je peux avoir un droit de veto : tout sauf du fluo !

– Veto accepté… Je sais que je dois choisir toute seule, se reprend-elle, faire table rase du passé pour repartir à zéro. Mais je n’arrive pas à ne pas t’impliquer. C’est grâce à toi si… Et j’aime bien le mot « Nomad »… Non, non, je vais garder « Chez Adèle ». Il faut que ce soit moi, rien que moi !

– Tu vois, tu peux faire les questions et les réponses, me moqué-je de sa nouvelle envolée existentielle.

– Mais tu m’aideras, quand je serai devenue complètement folle ? Quand je n’aurai pas dormi depuis six mois et que je n’aurai toujours pas pris la moindre décision ?

– Non. Mais je peux t’aider à trouver une fonction à cette robe… Elle serait aussi bien en t-shirt, non ? proposé-je en relevant lentement le tissu sur ses cuisses, puis sur ses hanches.

– C’est une nuisette, me chuchote-t-elle avant d’attraper ma main pour la glisser entre ses jambes… sur sa nudité.

– Je le savais… grogné-je, le souffle coupé.

– Tu ne savais rien du tout, me défie-t-elle en se cambrant pour m’agiter ses seins sous le nez.

– Ce que je sais, c’est que cette séance de travail est terminée ! lancé-je en la soulevant pour l’emmener à l’intérieur de la villa.

Avant qu’Adèle m’interrompe avec cette maudite nuisette, je n’étais pas en train de bosser. Je ne faisais même pas semblant. J’étais sur un site immobilier à la recherche d’une nouvelle villa, face à l’océan.

Une villa pour Adèle et moi. Je ne lui ai pas demandé si elle voulait qu’on vive ensemble, de toute façon, c’est un peu déjà le cas. Et puis ça fait moins peur quand on ne formule pas à haute voix cette question solennelle. Je ne lui ai pas demandé non plus parce je pense qu’elle dira non : « c’est trop cher », « c’est une folie », « cette maison suffit », « je ne veux pas que tu dépenses ton argent pour moi ».

Je la connais par cœur.

Et puis elle aura peur, elle aussi, de franchir le pas. Comme si ça nous engageait à quelque chose d’autre que ce que l’on vit déjà. Et je crois qu’elle aura peur pour moi, plus que pour elle : peur que je regrette, que ça ne me ressemble pas, que je lui file entre les doigts.

Et elle se trompera.

Mais ne pas lui demander officiellement d’habiter avec moi, ça me rapproche dangereusement de Melville Cooper. Le type qui décide tout seul. Le type qui impose, sans laisser le choix. Le type qui pensait qu’Adèle aurait forcément le même avis que lui. Et que si elle en avait un différent, c’est qu’elle avait forcément tort. Je ne veux pas être ce genre de type. Et je ne veux pas lui faire revivre ça.

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Mon geste la pétrifie sur place. Son visage avenant se ferme, son sourire joueur disparaît. Pendant notre dialogue, elle a semblé tout oublier : sa soirée, son fiancé, la raison de ma présence ici, sa rancœur contre moi et le faux-pas que je lui ai fait commettre. Mais ça, elle ne peut pas. C’est une limite que je ne peux pas franchir. Comme si un infime contact physique allait tout refaire basculer. Et faire revenir les souvenirs de notre moment ensemble, les interdits déjà outrepassés, les désirs refoulés. Pendant un instant, j’étais juste un homme en train de séduire une femme. Et je me sentais étonnamment bien, serein.

Je suis certain que la réciproque était vraie.

Et je viens encore de tout faire foirer.

Mais pourquoi est-ce que je ne peux pas m’empêcher de la toucher ?

Adèle s’éclipse sans se retourner. Je me retrouve seul, comme un con, dans la salle de restaurant déserte, mon stupide t-shirt blanc sur le dos. Je ne lui ai rien dit de tout ce que je voulais lui dire – la vérité qui me brûlait les lèvres tout à l’heure, sa confiance que je ne veux pas trahir, le truc incompréhensible que je ressens pour elle. En fait, je ne sais même plus ce que je fais là.

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Mes lèvres rejoignent les siennes et je me laisse aller à ce baiser d’une douceur infinie. Jamais personne ne m’a fait tant de bien. Jamais une femme ne m’a fait tant d’effet. – Damon

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J'adore cette auteure et pourtant, je n'ai pas accroché avec ce livre ! J'ai essayé, mais je l'ai trouvé un peu mou. Je n'ai pas non plus accroché avec l'approche entre les personnes. La relation était bien trop irréaliste. Je ne me suis pas non plus identifié au personne féminin ce qui est assez rare.

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- Je sais pas comment l'expliquer...Quand il me regarde,j'ai l'impression que c'est lui qui a de la chance de m'avoir...Je suis une vraie femme, dans son regard...soufflé-je en me rappelant ses yeux plissés,pleins de désir et de tendresse,qui savent si bien lire en moi.

- Adèle, je crois que tu es amoureuse.Moi je pense qu'on n'aime pas un homme pour ce qu'il est.Mais la femme qu'il te permet d'être.Celle que tu peux devenir à ses côtés.

- Je suis foutu,alors...murmuré-je d'une voix étranglée.

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josepina 21 septembre 2016

- Laisse-moi te dire trois mots plutôt qu'un seul,murmuré-je.Je t'aime,avoué-je pour la toute première fois.Je t'aime, Damon Lennox, et je veux que tu ailles jusqu'au bout.C'est comme ça que je te connais,extrême,déterminé,insatiable.Je ne te changerais pour rien au monde.Avec toi,j'ai enfin l'impression d'exister.De vivre.Et je ne te demanderai jamais de vivre à moitié.Fais ce que tu as à faire,venge la mort de ta soeur,règle son compte à Merville Cooper.Toi aussi,tu as le droit au bonheur.

Damon glisse ses larges mains sur mon visage et m'embrasse passionnément,pendant de longues secondes qui on un goût d'éternité.

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Tout ce que l’on croit savoir de moi quand on me rencontre pour la première ou la deuxième fois. Il ignore tout du feu qui brûle dans ma poitrine.

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C’est à cause de sa façon de me regarder. Jusque-là, elle avait l’air de ne pas me voir. Mais tout à l’heure, elle a fixé mes tatouages comme si elle essayait de décrypter des hiéroglyphes, puis elle a observé mon autre bras, longtemps, comme si elle luttait intérieurement pour savoir lequel des deux elle préférait. Le pire, c’est quand ses yeux plongent dans les miens. Là, il n’y a plus rien qui aille. À la place de ses pupilles, je vois deux points d’interrogation. Son regard est plein de questions, d’intérêt, de curiosité. De peur, aussi. Le genre de regard inquisiteur qui ne s’arrête pas de vous transpercer tant qu’il n’a pas eu de réponse.

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Je me jette sur ses lèvres pour toute réponse. Je ne veux pas avoir à prendre cette décision. À dire oui ou non. Je veux seulement ne jamais redescendre sur terre. Il répond à mon baiser en engloutissant mes lèvres et en me faisant basculer en arrière. Nos corps s’enroulent et virevoltent, nos peaux à demi nues s’aimantent, notre étreinte passionnée échoue sur le canapé de la salle de repos. Mon désir s’embrase à nouveau. Une main vient se poser sur mon intimité, je lâche un soupir proche du cri. Puis mon jean disparaît, après quelques ruades, et la main revient. Je la laisse me caresser sur mes sous-vêtements, dernières forteresses de ma pudeur.

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