Extraits

"Oh? Salope alors? Aldrik grimaça alors que le mot se déchirait de sa langue. «Qui est le prochain, maintenant que vous avez eu les deux princes? Tu vas ramper dans le lit avec mon père?

Vhalla regarda avec dégoût qu'une telle chose puisse même être exprimée.

«Nous n'avons jamais dormi ensemble!» Beugla Baldair.

«J'aurais dû le savoir depuis ce jour-là dans le jardin,» continua Aldrik, les ignorant. «Quand j'ai appris que vous vous étiez déjà rencontrée.»

«Aldrik, il n'a rien à voir avec ça. Vhalla fit un demi-pas devant Baldair, arrêtant l'avancée du prince plus âgé.

«Un nouveau bas, même pour toi, mon frère,» dit Aldrik avec dédain. "Faire en sorte que ta pute te protège."

Les bras de Vhalla pendaient mollement à ses côtés, soudain complètement perdu.

«Ne l'appelle pas comme ça! Vous ne le pensez pas. La défense de Baldair était touchante, mais complètement ignorée par Aldrik.

"Oh? Salope alors?

"Bien?" Jax croisa ses bras sur sa poitrine.

«J'ai besoin de voir Baldair», expliqua Vhalla.

Il sourit. "Vous passez d'un homme à l'autre très rapidement, n'est-ce pas?"

Spoiler(cliquez pour révéler) Au moment où l'aube vint, elle était bien dans la jungle et libérée de la fumée oppressante qui planait encore des bûchers en feu du dernier stand du Nord.Au moment où elle a été manquée, Vhalla était loin de la portée des éclaireurs. Et au moment où le prince héritier apprit le départ éclair du Windwalker, Vhalla Yarl était trop loin pour entendre ses cris d'angoisse.

"Puis-je venir avec toi?"

C'était une question à laquelle elle ne s'était pas attendue, et Vhalla ne savait pas comment y répondre. "Pourquoi?"

«Parce qu'il est plus sûr de ne pas voyager seul. Parce que je veux aussi partir. Daniel fit une pause. "Parce que je veux partir avec toi."

«Daniel.» Vhalla secoua fermement la tête. «Tu ne sais pas comment c'est? Vous ne l'avez pas vu? Je l'aime, je l'aime, je l'aime. Je ne suis pas quelqu'un avec qui tu veux être. Je ne suis pas en bonne santé en ce moment.

Daniel renifla avec un rire facile. "Et qui est?" Il lui fit un sourire sur lequel Vhalla devait se concentrer, sinon elle n'aurait pas cru que c'était réel. «Je pensais avoir essayé de l'expliquer. Mes sentiments ne sont pas dictés par les vôtres.

Elle avait fait de lui mentalement l'homme qu'elle voulait qu'il soit; elle n'avait pas aimé l'homme qu'il était vraiment.

«Au revoir, Aldrik,» murmura Vhalla.

Son visage tomba. Toutes les émotions se sont effondrées comme un château de cartes dans le sillage d'une panique bouleversante. Aldrik entendit la finalité que Vhalla avait mise dans son ton. "Attendez!" il pleure. "Où allez-vous?"

Vhalla continua de marcher vers la porte, pliant le parchemin avant de le mettre dans sa poche.

"Réponds-moi!" il a plaidé, il a ordonné. «Vhalla, Vhalla, s'il vous plaît! Réponds-moi!"

Elle l'avait nourri, elle avait ignoré ses problèmes et idolâtré ses manières secrètes qui le faisaient briller dans ses yeux. Elle avait fait de lui mentalement l'homme qu'elle voulait qu'il soit; elle n'avait pas aimé l'homme qu'il était vraiment.

«Au revoir, Aldrik,» murmura Vhalla.

Aldrik fit un autre pas saccadé vers elle.

«Ne t'approche pas de moi.» Vhalla s'éloigna.

«Vhalla, tu dois comprendre…»

Aldrik fut arrêté par une forte paume sur sa poitrine.

«Vous ne l'avez pas entendue? Baldair regarda Aldrik d'un air meurtrier. «Elle ne veut pas que tu sois près d'elle.

«Vous ne pouvez pas me garder d'elle!» Cria Aldrik.

Elle se mit entre les princes, mais seulement après qu'Aldrik eut commencé à bouger son poing pour un autre coup. Elle regarda ses yeux sombres s'écarquiller, comment elle aimait ces yeux.

Vhalla prit le coup d'Aldrik net sur la joue et en fut ébranlé.

Aldrik s'arrêta, haletant. Ses mains tremblaient, se tournaient dans sa direction pour la tenir, pour la réconforter. Vhalla s'écarta de lui, se redressant.

«Ne me touche pas», murmura-t-elle.

Il l'avait coupée si profondément qu'elle ne pensait pas au bien ou au mal, au juste ou à l'injustice. Elle voulait boire de la potion toxique de vengeance et déchaîner la seule chose qui pouvait tuer un menteur: la vérité.