J'ai bien aimé l'univers fantasy post apocalyptique, les personnages attachants et la narration tranquille.
Dommage que quelques petites phrases anodines à la fin des chapitres en dévoilent trop sur ce qu’il adviendra dans cette fantasy agréable et sympathique que je ne trouve pas très dark au final.
Quelle drôle d’idée de sacrifier ainsi des personnages que l’on aime bien ? Il y aura donc des remplaçants tout aussi sympathiques à l’avenir pour relancer encore l’intérêt du scénario qui s’étoffe au fur et à mesure de la lecture de ce tome.
A l'occasion, je lirai avec plaisir le suivant... :)

Si Chloé s'efface au profit de sa demi-sœur et ennemie Anna-Sofia, vous retrouverez avec plaisir le personnage principal du tome précédent qui s’ingéniera à démêler les histoires de couple et de cœur d'Ann'So.
Comme vous l'imaginez, tout n'est pas rose au paradis et Ann'So cachait bien sa peine. L'auteure, Sandrine Boudon, nous offre là un exceptionnel rebondissement et un sac de nœud à démêler...
Pour avoir eu vent de la suite de la série, préparez vous à quelques surprises à l'avenir.

J’ai bien aimé, mais je regrette d’avoir vu le film avant. Le film colle si bien au livre qu’il dévoile trop de détails qui m’ont empêché d’être surpris ou de me détacher des images pour suivre l’histoire de manière différente et plus personnelle.
Et lorsque enfin surgit le point de rupture entre les deux scénarios et que le personnage trouve une solution différente à celle proposée dans le film, et ben, j’ai trouvé celle d’hollywood plus bandante.

Après un début en demi-teinte où j’ai eu du mal à raccrocher les wagons et à me rappeler l’attachement que j’avais pour l’héroïne, l’action m’a jeté sur les routes du Monde Connu. Heureusement, M. Robert a su m’emporter à nouveau dans cette épopée agréable à lire et à l’histoire prenante. J’attends donc d’en apprendre plus sur les pouvoirs de cette balafrée, sur cet univers particulièrement riche ; il y a tellement d’éléments qui mériteraient d’être creusés que je ne peux prévoir vers où s’orientera le prochain tome :) .

J’ai trouvé sympa ce luxe de détails au point que j’ai même eu l’impression un moment d’être dans mobydick, franchi un stade. En revanche, la répétition de la présence des adverbes alourdit le style bien que le texte soit relativement propre et de qualité si l’on passe quelques coquilles et mots oubliés.
Le personnage, quelque peu candide, aura pendant tout le déroulé de l’histoire beaucoup à apprendre et des pichets d’eau à verser dans son vin. Au point que la candeur du personnage en devient souvent irritante. Il est brinquebalé par des jeux de pouvoir qu’il ne comprend pas et subit les aspirations d’hommes expérimentés, mais quelle jouissive quête initiatique. L’école de la vie s’abat sur le personnage et l’auteur a su rendre ces expériences très enrichissantes, comme s’il partageait avec nous une importante part de ses souvenirs.
Parce que l’on vend son esprit aux quatre vents par la poésie mieux que par la prose.

J’ai eu quelque peine à m’immerger dans cette histoire et à m’identifier aux personnages, mais c’est finalement venu pour mon plus grand plaisir. Je loue le clin d’œil à l’eilean donan castle le château des McLeod des Highlanders.
La rencontre avec Nessie paraît un peu too mutch quand même. Comme les allers-retours des personnages d’un point à un autre, c’est la course incessante, mais ils sont tellement attachants.
Mon avis très globalement très positif sur ce premier tome, c’est une belle romance sur les hautes terres d’Écosse. Je pensais continuer à lire cette histoire, mais le prix prohibitif des exemplaires numériques m’a refroidi pour le moment. Je m’orienterai peut-être vers les poches.

J’ai retrouvé ce rythme et ce style un peu poétique avec lesquels Loana conte ses histoires sombres à souhait, et nous plonge dans les affres de l’affliction de ses personnages. Un thriller mené tambour battant où s’étalent les pervers qui imbibent notre société pourrie.
Et pour finir, Loana, ces excès médiatiques sont vraiment dégueulasses, bravo !!!

C’est palpitant, rapide, bien écrit.
Mais ce qui nous intéresse vraiment ici, c’est que les âmes sœurs se retrouvent enfin pour vivre l’amour que le passé leur a refusé. Une histoire d’amour qui se ressuscite au fil des siècles pour que trois protagonistes croisent le feu de leurs émotions sous des formes et des contextes différents. Le fantôme d’un indien possessif et chaman, d’une jeune femme fragile et d’un amoureux transit s’affrontent à chaque réinitialisation du temps, mais arriveront-ils enfin à exorciser les démons de leurs passés ? M. Manzor vous le révélera avec brio.

Dangereuses liaisons que celles du cœur. Je me suis finalement surpris à apprécier ce fil épistolaire plein de charme et de désirs. Un très beau texte qui dénonce les appâts du sexe et leurs excès, ainsi que les accointances du coeur qui trompent l’âme sur les motivations malveillantes des calculateurs et calculatrices.

Drôle de mix entre style emprunté et contemporain, lire ce texte touche vite à la pénibilité, certes, il n’est certes pas mal écrit, mais l’histoire qu’il conte me laisse d’autant plus froid. Puis, sur la fin, ça vire vraiment à du grand n'importe quoi. Mon ressenti global est carrément négatif sur ce conte dont j’attendais beaucoup, trop, certainement.

Les coquilles sont devenues rares, le texte est agréable, les héros s’affirment et l’histoire toujours prenante. La jeune effraie est décidément mon personnage principal à moi depuis que j’ai lu la nouvella sur ce personnage. Ce final est généreux en révélations sur les protagonistes largement approfondis et les stratégies à long terme se dévoilent concluant l’aventure par une note d’espoir.
Une question me taraude, seraient-ils capables d’avoir des bébés effraies ?

Toujours sympathique à lire malgré les défauts de typo / mise en pages, l'histoire est attrayante. On suit les pérégrinations de Dylan Stark à la suite de cette guerre de sécession avec tous les problèmes du Sud, l’occupation par les armées du Nord, la prédominance de bandits de grand chemin et l’arrêt brutal de l’esclavage qui enveniment les clivages sociaux.

C’est très agréablement écrit, une belle écriture du siècle passé. On y réfléchit sur les sentiments, la passion et la raison qui se passionne pour l’amour jusqu’au désastre.

M. Pevel m’a embarqué très vite dans cette aventure où j’ai noté une référence à Breath of the wild à moins que je me fasse des films. Le roman commence vite et c’est magnifique, je ne m’attendais pas à moins bien et je n’ai pas été déçu. L’intrigue géostratégique est poussée dans une complexité que l’on découvre tout au long du roman, les personnages sont trempés dans un fer plus dur que celui de leurs lames, et la magie omniprésente juste dosée.
Mais ?!! le Chat ?!! à non ! pas le chat.
Quelle terrible fin, j’attends avec impatience d’ouvrir le tome suivant pour avoir des nouvelles étonnantes de ce chevalier, s’il y en a. 
Bref, j’ai adoré ce roman, merci M. Pevel, rien à lui reprocher, ni à l’histoire non plus.

La mise en page a gêné ma lecture d’entrée de match, de désagréables coquilles trainent de ci de là. Cette histoire d’au-delà, d’esprits frappeurs et d’exorcismes tenait un bon fil directeur, pour aboutir à une histoire qui se laisse lire, agréable, mais sans prétention.

Je connais bien cette histoire pour savoir ce qu'elle est devenue.
La vie difficile de Chloé lui a appris à se battre, et à ne faire confiance à personne, surtout pas à sa famille. Pourtant, l'avenir lui tend la main et de quelle jolie manière, malgré ses réticences, pour sublimer les talents qui s'éveillent en elle.
Une histoire qui l'initiera à l'espoir et à la confiance en soi, la propulsant dans une romance passionnée.

Je vous conseille de lire Chloé : Fucking Family et de vous laisser embarquer dans son univers parfois sombre.

Je ne passerai pas sur la forme où l’on retrouve nombre de petits défauts dommageables. J’ai mis un long moment à entrer dans ce policier, chose normale pour moi, je n’aime pas trop ce genre, mais les nombreux sauts temporels n’y sont pas étrangers.
Malgré tout, j’ai fini par me prendre d’amitié pour ce flic. Il m’a embringué dans son enquête aux bas-fonds de la pire sexualité qui puisse exister. J’ai noté des moments forts, à l’émotion sous-jacente très bien rendue. L’enquête est complexe et mouille des pontes avec un plaisir perceptible, presque jouissif. Le retournement final, maîtrisé, fait preuve d’inventivité. Scénario goûteux et bien articulé, personnages charismatiques ou bien campés ; lisez ! vous m’en direz des nouvelles.

Il y a de la typographie dont je ne comprends pas l’usage, j’ai relevé quelques incohérences passagères, des mots manquants aussi.
Je m’y retrouve comme dans la série, voire même un peu trop, ça colle parfaitement avec mes souvenirs. Il m’a été agréable de ressentir ces personnages de l’intérieur, je pense avoir lu une édition numérique complète riche de plus de 1450 pages, mais, toujours à l’aune de ce que j’ai vécu dans la série, elles n’y apportent pas grand-chose de plus.

Il y a des petites coquilles par endroits, c’est lourd ajouté à quelques incohérences… d’autant que ouahou !!!! toujours cette superbe patte artistique Mickael. Des textes brulant de vie pour parler du froid de la mort. Ils alternent sur des supports différents, s’enrichissent d’inspirations : diaboliques, tragiques. Les « ah ouais ! » « tout de même ! » sont des expressions ou des mots qui me sont revenus régulièrement. J’ai particulièrement aimé la finesse des scénarios pour certains très complexes.
Merci, M. Fenris, j’ai passé de très bons moments aux détours des titres de cet album de frayeurs.

Je ne sais pas ce qui a merdé avec la typographie dans ce roman… mais j’ai trouvé ça catastrophique. À côté de ça, un suspens haletant, impossible à lâcher alors qu’il me restait 400 pages à lire.
Un scenario complexe dont toutes les pièces s’ajustent à la perfection. Le nombre d’engrenages est faramineux, mais la mécanique parfaitement huilée nous accompagne jusqu’au bout. D’autre part, les personnages sont attachants, bien que, présentant peut-être trop de qualités.
J’ai été complètement accroché par cette histoire, il fallait que j’arrive au bout bien que j’aie eu longtemps craint, imaginé, prévu, une fin dramatique.

Je pense qu’il manque de la typographie, des répétitions m’ont hérissé et les jeux de mots capillotractés m’ont arraché à peine quelques sourires en coin. Globalement, à mon gout trop de plaisanteries et de légèreté. Je n’aime pas les glissements temporels et leurs retours en arrière et puis les histoires de zombies ne sont pas ma tasse de thé. Une petite impression de jouer a the last of us, pointe de nostalgie plutôt agréable, bien que je ne sois toujours pas fan des zombies.
Si non, pour les nombreux côtés positifs, cette histoire est bien balancée et les personnages attachants, l’histoire déroule, c’est sympa et les personnages principaux motivent à rester. Le pari est réussi puisque je veux apprendre comment il s’en sortira. Donc, j’arracherai peut-être un morceau de chair au tome 2… on verra !

Sympathique petite histoire qui m’a replongé dans les livres dont vous êtes le héros de mon adolescence.
Merci beaucoup, c’était cool.

J’aurais appris des choses et lu du beau texte.

Termes mal utilisés, phrases bancales, les titres ou noms trop nombreux par moments et quelques répétitions m’ont un peu empêché de m’impliquer dans ce livre.
Le début m’a été rendu long, attendant que l’intrigue m’enthousiasme. Et c’est venu, oui, l’exaltation des personnages s’est communiquée jusqu’à moi et j’ai pris du plaisir à lire cette histoire dont le scénario déroule jusqu’à sa conclusion.

Les phrases sont trop longues pour moi, beaucoup trop, je ne discute même pas sur les paragraphes. Bel exercice de style, riche et alambiqué d’une discussion de l’auteur à son lecteur.

Dommage de lire un tel livre et d’avoir envie de réécrire une phrase sur deux.
Malgré tout, le scénario et les intrigues délovent les arcanes de l’imperium Corrino autour des Dunes. Et c’est avec grand plaisir que je me suis replongé dans l’univers de Dune jusqu’à oblitérer les petits défauts. Il y aura encore bien des histoires à raconter entre les fils de cette tapisserie. Cette époque voit naître les grandes institutions de l’administration de l’empire Corrino.