Extraits

"Je voulais être l’étoile de Malaki et d’Adar. Et ça me suffisait. Oui, leur amour me suffisait amplement. Car il me remplissait. Prenait toute la place. C’était le seul amour que je voulais en moi. Le leur."

-Raphaelle-

"Je n’ai plus rien dans mon cœur hormis mon amour pour toi, pour Aki. Je n’ai plus rien. Je n’ai que ce lien qui me connecte à vous. Je n’ai plus de neutralité. Je n’ai plus rien depuis le moment où j’ai accepté l’idée que vous étiez miens, et que j’étais vôtre."

-Adar-

"Nous étions des jeevansaathi. Bien plus que des âmes sœurs. Bien plus que deux êtres qui se retrouvaient. Nous étions les morceaux d’une même âme, celle de Malaki. Nous ne pouvions réussir dans cette vie que si nous restions avec ceux qui nous appartenaient, ceux à qui nous appartenions."

-Adar-

"Parfois, il faut éteindre toutes les étoiles du ciel pour le faire briller à nouveau."

-Malaki-

"Je les aimais tous les deux d’un amour différent, mais tout aussi puissant l’un que l’autre."

-Adar-

"Je posai ma main sur mon cœur. La vibration que je ressentis, je la reconnus. C’était mon amour pour eux. Ma dévotion qui ne faisait que prendre racine par-dessus des fondations que j’avais toujours cru solides, incassables. Et pourtant, pourtant ces deux-là brisaient toutes mes croyances, pour les reforger à leur convenance."

-Adar-

"Je serai ce que j’ai toujours été pour toi, Aki. Je serai ton saathi. Je serai la partie de ton âme qui te vengera."

-Adar-

"Mon contrôle s’effritait, l’animal en moi prêt à la dévorer. C’était là, tenu par des années et des années de neutralité qui m’avait presque empêché de m’impliquer avec une personne. S’impliquer, c’était l’ultime décision d’appartenir à quelqu’un d’autre qu’à Anoki. Et je voulais leur appartenir à tous les deux. À Aki. Et à Elle. Parce qu’ils étaient miens."

-Adar-

"Tu es au centre de nos vies, Malaki. Nous ne sommes que des morceaux de toi."

-Adar-

"J’avais besoin de la sentir, de l’incruster en moi, jusqu’à ce qu’elle ne parte plus jamais, même si je frottais, même si je paniquais."

-Malaki-