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- Dites-moi, comment va-t-il vous protéger, là, tout de suite ? murmura-t-il en s'approchant.

La proximité de Narian était troublante et je commençais à espérer que Tadark n'était pas en train de rêvasser...

- De quoi aurais-je besoin d'être protégée ? demandai-je lentement, incapable de détourner mes yeux de l'ardeur des siens.

Un éclat de lumière, de métal, me prévint qu'il tenait une arme dans sa main droite. Frappée de stupeur, je vis la lame s'approcher de moi et je compris que j'étais en danger de mort. Puis, d'un seul coup, Narian se baissa et taillada mes jupes sous les genoux, exposant mon pantalon de dessous d'une manière plutôt indécente.

Mortifée, je restai figée sur place. Tadark avait bondi à mes côtés, son épée à la main, mais je compris qu'il serait arrivé trop tard si Narian avait voulut me faire du mal.

- Eloignez-vous de la princesse, commanda-t-il.

Narian toisa sans ciller la longue rapière qui le menaçait avant de reculer. Il lança alors son couteau en l'air, le rattrapa adroitement par la lame et le tendit à mon garde du corps.

- C'est bien ce que vous alliez me demander, n'est-ce pas ? Que je rende mon arme ?

Sans mot dire, Tadark prit le couteau et le rangea dans sa ceinture.

- Ce n'est guère une grande perte pour moi, continua tranquillement Narian. Un Cokyrien n'est jamais désarmé.

Au lieu de réfléchir à ce dernier commentaire, je cédai à la colère.

- Regardez ce que vous avez fait à ma robe ! Elle est ruinée !

- Certes, mais vous marcherez beaucoup plus aisément, rétorqua Narian sans se démonter. De toute façon elle était irrécupérable.

J'ouvris la bouche dans l'espoir de trouver une réplique mais rien ne vint et, sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, il continua son chemin. Dans mon ahurissement, je ne trouvai rien de mieux à faire que de le suivre. Je fus obligée de reconnaître que je ne trébuchai plus une seule fois.

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- je suis sûre que Steldor a remarqué mon absence, maintenant. Je ferais mieux de continuer ma route vers le palais avant qu'il n'ait l'idée de me poursuivre.

- Il risque d'avoir du mal, j'ai emprunté son cheval.

- Em... emprunté ? répétais-je tandis qu'il se hissait avec souplesse sur le puissant animal.

- Bonne nuit princesse, lança-t-il avec un petit sourire narquois avant de faire volte-face et de disparaître dans un galop sonore.

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Un crissement dans les branches se fit alors entendre et Tadark atterrit lourdement sur le sol, grimaçant en se relevant sur le dos de la main. Il laissa échapper un gémissement et Orsiett, qui arrivait à sa hauteur, le fit taire.

- Vous jouez aux écureuils, maintenant ? le taquina Halias.

- Non, je voulais voir ce qui se passait, c’est tout, bougonna Tadark.

- J’ai compris ! lança Halias en riant. Vous n’êtes pas garde du corps mais garde du " décor " !

- Mais alors, on s’est trompé depuis le début, renchérit Destari. Ce n’est pas la famille royale que nous sommes censés protéger, mais le feuillage royale !

- Bon, ça va ! marmonna Tadark, les joues en feu.

Je regardai les trois hommes avec amusement, étonnée de constater que Destari, plutôt sérieux d’habitude, taquinait le lieutenant à la manière de London. Visiblement, le jeune homme attirait les plaisanteries comme les fleurs les abeilles.

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Un crissement dans les branches se fit alors entendre et Tadark atterrit lourdement sur le sol, grimaçant en se recevant sur le dos de la main. Il laissa échapper un gémissement et Orsiett, qui arrivait à sa hauteur, le fit taire.

— Vous jouez aux écureuils, maintenant ? le taquina Halias.

— Non, je voulais voir ce qui se passait, c’est tout, bougonna Tadark.

— J’ai compris ! lança Halias en riant. Vous n’êtes pas un garde du corps mais un garde du « décor » !

— Mais alors, on s’est trompé depuis le début, renchérit Destari. Ce n’est pas la famille royale que nous sommes censés protéger, mais le feuillage royal !

— Bon, ça va ! marmonna Tadark, les joues en feu.

Je regardai les trois hommes avec amusement

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- Tadark, escortez la princesse Alera à ses appartements, ordonna le capitaine.

S'attendant à ce que son officier supérieur donnât les mêmes ordres à London, le jeune homme hésita.

- Tout de suite, insista Cannan.

- Je me levai donc et m'approchai de Tadark. Quand je passai près de London, il me lança un regard à la fois courroucé et résigné. Un regard qui me disait qu'il savait exactement ce que j'avais fait.

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Pour la première fois de ma vie, j'eus envie de casser quelque chose. En réalité, ce que je désirais vraiment briser, c'était les préjugés qui empêchaient London de voir Narian tel qu'il était vraiment. Qui l'aveuglaient. De nouveau en proie au désespoir, je me rassit sur mon lit, me tordant les mains, complètement désemparée. Puis j'éclatai en sanglots et me jetai contre mes oreillers.

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La grande prêtresse s'arrêta à environ quatre mètres du dais royal, observant attentivement le roi et ses ennemis, ses cheveux blonds mi-longs étincelant comme des flammes autour de son visage bronzé. Elle ne manifestait pas le moindre signe de respect ou de déférence envers Adrik - les souverains ne s'inclinaient pas devant les souverains. Elle se contentait d'attendre dans un silence hautain.

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— Qu’est-ce que tu n’aimes pas chez lui ?

— Son ego ! Steldor ne marche pas, il se pavane. Il ne bavarde pas avec quelqu’un, il l’honore de sa conversation. Il ne rit même pas : il émet un horrible gloussement hautain et humiliant qui me noue l’estomac à me donner la nausée ! Et surtout, surtout, c’est l’homme le plus possessif et colérique que je connaisse, ça me flanque une peur bleue….

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Je suis née peu avant la fin de la guerre. Je suis la princesse d'Hytanica, fille héritière du roi et de la reine. On me présenta à mon peuple qui réapprenait enfin à mener une vie normal, et je grandis dans la paix et la liberté, deux choses que les générations précédentes, déchirées par ce conflit sanglant, n'avaient jamais connues. Mais tout ayant une fin, c'est ici que mon histoire commence.

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- Alera !

Je me réveillai en sursaut au son de cette voix stridente. Les épais doubles-rideaux soigneusement tirés occultaient presque totalement la lumière du jour, mais la bruyante intruse eu tôt fait d’y remédier en écartant d’un coup sec les deux pans de velours. J’eus tout juste le temps de refermer les yeux pour ne pas devenir aveugle.

- Miranna ? Quoi... ?

Mon corps et mon esprit ensommeillés refusaient de construire une phrase complète.

- Tu n’es pas au courant, n’est-ce pas ? Tu ne vas pas le croire !

Ma sœur semblait euphorique, aussi en conclus-je que les nouvelles ne devaient pas être mauvaises.

- A cette heure indécente de la journée, je ne crois pas grand-chose. Que se passe-t-il ?

- Tu ne vas pas le croire, répéta Miranna en faisant danser ses boucles cuivrées autour de mon visage.

- C’est ce que je viens de te dire.

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