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"Merci, Alex.

_De rien.

_Si." Elle retint sa main dans la sienne. Son chemisier était déchiré. D'un mouvement de la tête, elle rejeta ses cheveux en arrière. "Ce que tu viens de faire est... fantastique. Alex, je suis désolée d'avoir été si odieuse avec toi. Je pensais... je pensais que tu étais là pour profiter de la situation. Que tu n'étais qu'un voyou. Mais je me suis trompée sur ton compte. Tu es vraiment génial. Maintenant je sais que nous allons être amis" Elle ferma les yeux à demi et se rapprocha de lui, les lèvres légèrement entrouvertes. "Tu peux m'embrasser, si tu veux." Alex s'écarta d'elle et recula.

"Non merci, Fiona. Franchement, je crois que je préférerais encore embrasser le cheval."

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Pendant ce temps, le premier ouvrier avait atteint la cabine et contemplait avec ahurissement l'adolescent de quatorze ans aux commandes de la grue.

"Mais tu... As-tu la moindre idée de... de ce que tu viens de faire," bégaya-t-il.

Alex regarda le crochet vide, le trou béant dans le toit du centre de conférences, la fumée et la poussière qui s'en élevaient. Il haussa les épaules d'un geste d'excuse.

"J'examinais le taux de criminalité, dit-il. Et je crois qu'il viens de chuter".

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Extrait ajouté par Python 2011-12-19T14:16:03+01:00

On ne se sent jamais plus seul qu'au milieu de la foule. Alex Rider traversait le terrain de jeux, entouré de centaines de garçons et de filles de son âge. Tous allaient dans la même direction, tous portaient le même uniforme gris et bleu, et tous avaient sûrement la même chose en tête. Le dernier cours de la journée venait de se terminer. Devoirs, dîner et télévision allaient probablement, pour chacun d'entre eux, combler les dernières heures de la soirée. Une nouvelle journée d'école s'achevait. Alors pourquoi Alex se sentait-il aussi étranger à cette routine quotidienne ? Il avait l'impression de voir les dernières semaines du trimestre à travers un gigantesque écran de verre.

Il balança son sac à dos sur une épaule et poursuivit le chemin vers le garage à bicyclettes. Le sac était lourd. Comme d'habitude, il contenait le double des devoirs de ses camarades : français et histoire ce jour-là. Ayant manqué deux semaines de classe, il avait beaucoup de travail à rattraper. Ses professeurs ne s'étaient guère montrés compatissants. Ils ne lui avaient fait aucune remarque, certes, mais quand il avait présenté la lettre du médecin ("...une grosse grippe avec complications..."), ils avaient hoché la tête avec un petit sourire entendu. Un garçon un peu trop dorloté, voilà ce qu'ils pensaient. Bien sûr, ils lui trouvaient des circonstances atténuantes. Tout le monde savait qu'Alex n'avait plus ses parents et qu'il vivait, jusqu'à ces derniers temps, chez son oncle, lequel avait péri dans un accident de voiture. Mais tout de même. Deux semaines au lit ! Même ses amis les plus proche trouvaient que c'était un peu exagéré.

Alex ne pouvait leur dire la vérité. Il n'avait pas le droit de raconter à quiconque ce qui lui était arrivé. C'était ça, le pire.

Chapitre 2, p. 19-20

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Il avait cru la piscine déserte, mais il vit une forme remonter et crever la surface juste devant lui. C'était une jeune fille en Bikini blanc. Elle avait de longs cheveux noirs, des yeux sombres mais la peau très blanche.

Elle devait avoir une quinzaine d'années. Sans doute le fille de Sir David Friend dont avait parlé Mme Jones. Il la regarda se hisser hors de l'eau. Elle avait un corps bien fait, plus proche de la femme qu'elle allait devenir que de la fillette qu'elle avait été. Une future beauté. L'ennui, c'était qu'elle le savait déjà. Un éclair d'arrogance brillant dans ses yeux.

"Qui êtes-vous? Que faite-vous ici?

_Je m'appelle Alex.

_Ah oui".

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Extrait ajouté par Kiwi_2 2021-10-21T16:32:40+02:00

Michael J. Roscoe était un homme prudent.

La voiture qui le conduisait à son bureau, à sept heures trente chaque matin, était un modèle hors série, avec des portières en acier blindé et des vitres pare-balles. Son chauffeur, un agent du F.B.I. en retraite, était armé d'un pistolet Beretta semi-automatique et savait s'en servir. Cinq pas exactement séparaient la place réservée où se garait la voiture de la porte d'entrée de la Tour Roscoe, sur la Cinquième Avenue de New York, mais des caméras de télévision en circuit fermé le suivaient dès l'instant où il posait le pied à terre. Une fois les portes coulissantes refermées derrière lui, un réceptionniste en uniforme — lui aussi armé — le regardait traverser le hall et pénétrer dans son ascenseur privé.

La cabine d'ascenseur avait des cloisons en marbre blanc, une moquette bleue, une rampe argentée et aucun bouton. Roscoe pressa la paume de sa main contre une petite plaque de verre. Le détecteur lut ses empreintes, les contrôla et actionna l'ascenseur. La porte se ferma et la cabine le hissa au soixantième étage sans s'arrêter. Personne d'autre que lui ne l'utilisait, et l'ascenseur ne faisait jamais halte aux autres étages. Pendant la montée, le réceptionniste annonçait par téléphone l'arrivée de Roscoe à sa secrétaire.

Toutes les personnes qui travaillaient dans son entourage proche avaient été triées sur le volet, et leur vie passée au crible. Il était impossible de le rencontrer sans avoir rendez-vous, et obtenir un rendez-vous pouvait prendre trois mois.

Quand on est riche, il faut être prudent. Il y a des escrocs, des kidnappeurs, des terroristes... des désespérés et des déshérités. Président de la Roscoe Électronique, neuvième ou dixième fortune mondiale, Michael J. Roscoe était extrêmement précautionneux. Depuis que son visage avait fait la couverture de Time Magazine sous le titre accrocheur « Le Roi de l'Électronique », il avait conscience d'être devenu une cible de premier choix. C'est pourquoi, en public, il marchait d'un pas rapide et la tête penchée. Ses lunettes avaient tout spécialement été choisies pour dissimuler le plus possible son beau visage. Il portait des vêtements de luxe mais anonymes. Quand il se rendait au théâtre ou à un dîner, il arrivait toujours à la dernière minute afin de ne pas traîner dans les parages. Sa vie était truffée de systèmes de sécurité divers et variés, qui l'avaient d'abord fortement agacé, avant de devenir simple routine.

Interrogez n'importe quel espion ou agent de sécurité, il vous dira que la routine est la meilleure façon de se faire tuer. La routine informe l'ennemi sur le lieu et l'heure de vos déplacements. La routine allait causer la perte de Michael J. Roscoe. Or, c'est ce jour-là, précisément, que la mort avait décidé de le frapper.

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On ne se sent jamais plus seul qu'au milieu d'une foule. Alex Rider traversait le terrain de jeux, entouré de centaines de garçons et de filles de son âge. Tous allaient dans la même direction, tous portaient le même uniforme gris et bleu, et tous avaient la même chose en tête. Le dernier cours de la journée venait de se terminer.

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Extrait ajouté par Koko12 2018-04-08T11:17:50+02:00

Il avait été pourchassé, mitraillé, et avait failli être tué. Pour finir le MI 6 l'avait réexpédié a l'école comme si de rien s' était passé. Mais seulement après l'avoir obligé à signer un formulaire officiel. Alex en souriait encore. A quoi bon s' engager à garder le secret ? Qui l'aurait cru de toute façon ?

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Extrait ajouté par Koko12 2018-04-08T11:14:15+02:00

A quatorze ans, Alex était un élève ordinaire dans un collège ordinaire d'un quartier ouest de Londres. Du moins c'sst ce qu'il avait été auparavant. Quelques semaines plus tôt, il avait découvert que son oncle était un agent secret du MI 6. Ian Rider avait été assassiné et le MI 6 avait contraint Alex a le remplace au pied levé.

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-C'est bien ce que je pensais. Tu as peut-être déjà assisté à des leçons de biologie ou l'on dissèque des grenouilles ou un rat, Alex? Depuis quelque temps, mes chers petits demandent à voir une dissection humaine. Cela ne me surprend pas. J'en ai personnellement vu une quand j'avais quatorze ans.

Demain matin,à neuf heures trente, leur voeu sera exaucé. Tu seras conduit dans le laboratoire et nous t'ouvrirons le ventre pour examiner tes entrailles. Tu ne seras pas anesthésié et il sera intéressant de voir combien de temps tu tiens avant que ton coeur lâche. Ensuite, bien sûr, nous disséquerons ton coeur.

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L'homme assis dans le fauteuil ancien en bois doré tourna lentement la tête vers la fenêtre et regarda les pentes enneigées de Pointe Blanche. Le Dr Hugo Grief avait près de soixante ans, des cheveux courts et blancs, et un visage presque aussi incolore. Sa peau était crayeuse, ses lèvres des ombres vagues, sa langue grisâtre. Cependant, contrastant avec toute cette blancheur, il portait des lunettes cerclées de métal, aux verres rouge foncé. L'effet était saisissant. Pour lui, le monde entier avait la couleur du sang. Il avait de longs doigts, aux ongles parfaitement manucurés. Un costume sombre boutonné jusqu'au cou. Si les vampires existaient, Hugo Grief était leur modèle.

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