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« Je ne comprends pas mon désir compulsif de l’accompagner, cependant je me fie toujours à mon intuition. »
Afficher en entierKelen nous attend dans l'entrée, également bardé d'armes: un flingue, une épée et le connaissant , il doit avoir quelques couteaux stratégiquement placés. Il nous regarde bizarrement, et pendant une seconde, je crois ressentir...de la jalousie. Non, impossible:je n'ai jamais décelé une telle émotion de la part du semi-démon. D'ailleurs il a déjà repris son visage froid et balayé tous ses sentiments. Je crois avoir tout imaginé lorsqu'il dit:"Si vous avez finis votre accouplement, nous pouvons peut être aller terminer cette mission?"
(...) et passant devant lui je lui susurre a l'oreille: "Je ne sais pas il faut voir..."
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Et je clôture cette conversation en me penchant sur lui pour l'embrasser.
Ce baiser timide fait vite place à quelque chose de plus chaud, de plus plus passionné, presque animal. Je ressentis la peur de mon chéri mélangée à quelque chose d'autre : le besoin de me protéger et de me "marquer" à tout prix. Ses yeux viraient déjà aux jaune lorsqu'il m'attire à califourchon sur ses genoux. Mes hormones ne font qu'un tour et j'ai l'impression de sentir ses mains partout sur mon corps en même temps, c'est inimaginable.
Je commence à gémir en passant ma main sur l'évidente bosse qui se forme sous son boxer. Il me remet alors debout et baisse mon pantalon en lin blanc - sans le déchirer, pour une fois- avant de me plaquer contre le mur. J'en profite pour enlever mon haut et mes sous-vêtements et il se met à jouer avec mes seins, rendus quasi douloureux par l'excitation. Il me caresse le ventre avant de descendre sur mon clitoris, et lorsqu'il insinue un doigt en moi, un véritable sourire traverse son visage :
"J'ai comme l'impression que tu ne voulais pas vraiment sortir ce soir, je me trompe ?"
J'ai du mal à réfléchir à ce qu'il me raconte,et encore plus à articuler une réponse cohérente.
"Il faut croire que tu as un certain effet sur moi...
- Vu comme tu mouilles, je me sens plutôt flatté..."
Et sur ce il me pénètre alors que je l'encercle de mes jambes.
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