"Sa tête reposait contre la tâche de graisse sur mon épaule. Un peu de sang coulait sous le pansement Elmo à son coude et imprégnait mon t-shirt. Ses ongles de pied vernis en vert fluo dépassaient de sous la couverture. J'ai laissé aller ma tête contre la sienne et j'ai fermé les yeux. Ce jour-là, je suis tombé amoureux d'elle. "

Les hommes de proie
Se nourrissent de moi, de toi,
Et font leur nid dans nos abats.
Ils rient de nos douleurs,
Ils exploitent nos malheurs.
Les larmes font vendre
Pleurez : voici les cendres
De nos rêves ravagés, souillés,
On vous les sert si vous payez.

Quelqu'un a frappé à ma porte. Je me suis assis dans mon lit.
– Qui est-ce ?
– Lynnie, a répondu ma soeur. Je peux entrer ?
– Bien sûr.
Lynette a refermé la porte derrière elle.
– Comment vas-tu ? lui ai-je demandé.
Elle a secoué la tête.
– Mal. Et toi ?
– Pareil, mais je fais comme si de rien n'était.

Ariol : on sera obligé de l'acheter, cette photo ?
Le photographe : Obligé ? Non. Tu la montreras à tes parents et c'est eux qui décideront.
Ariol : oui, mais moi je veux dire, est-ce qu'on peut en achetée une autre ?

Humphrey de Bohun 1276-1322 :
Au cours d'une bataille, ce compte anglais mourut transpercé d'un pic d'acier qui lui traversa l'anus et lui veilla les intestins.

20 morts cruelles :
Béla 1er 1016-1063 :
Ce roi de Hongrie mourut lorsque le dais de son trône lui tomba sur la tête. Certains croient à un complot.

- Molly !? Qu'est-ce que tu fais là ? On repart en mission, tout le monde t'attend !
- Partez sans moi... Je suis faite pour être bergère, pas guerrière...

Un nouveau couple s'est approché, tous les deux tellement gras que les boutons du papelot du monsieur et le haut de la robe de la dame étaient a deux doigts d'exploser.
<<- Mon dieu , vous avez vu ce qu'on leur donne! Mais ces petits meurent de faim!
La dessus j'ai aspiré mes joues et j'ai pris mon air le plus misérable.
-Vous avez vu la petite au bout de la table! Quelle honte, je suis sure qu'elle ne mange pas a sa faim. Tiens, ma chérie, c'est pour toi, m'a dit le monsieur en me déposant un caramel dans la main.>>
Je l'ai gratifié d'un beau sourire et j'ai caché la confiserie dans mon mantelet en adressant un rictus triomphale à Sheila.

-Quels genres de maladies ?
-Mais toutes ! J'ai eu la bronchite tout l'hiver, et le mal de ventre, et les douleurs dans la jambe, et des coups d'épée dans les reins, tu demanderas à ma fille, je pouvais plus marcher !
(Mme Germain et Sauveur Saint-Yves

Élève en colère (Lefebvre) : GROOOÂÂR !!!!
Polochon (se faisant courser par cet élève) : Mais... Mais !
Lefebvre : GGGGRRROOOÂÂÂR
Polochon : DU CALME, JE TE LE RENDS (à lui-même) C'est la dernière fois que je confisque un portable, trop dangereux !

« Tu as le droit de vivre. Tu en as le devoir. »

Sur ordre de Sa Majesté, un costumier, des couturières se sont mis au travail pour créer des tenues prestigieuses. Et les jeunes filles sont heureuses de revêtir des costumes chatoyants et de se parer de bijoux sortis des coffres royaux.

Armée de son arc, la jeune fille lutte pour être la dernière concurrente sur le champ de bataille. Et c’est pas ce fichu couteau planté dans son front qui l’en empêchera !

Geoffroy : J'aimerais tellement qu'il y est quelque chose entre nous !
Adèle : Oh mais il y a quelque chose entre nous !
Geoffroy : Ah bon ,
Adèle : Oui, un fossé !

Adèle : Pourquoi on a des grains de beauté ?
Maman : Plus on en a, plus ça veut dire qu'on est beau !
Adèle : Toi, tu en as ?
Maman : Oui, plein !
Adèle : C'est fou, toutes ces bêtises qu'on a réussi à te faire croire...
Maman : ...

Keefe ne l'écouterait pas.
Sophie le savait.
Il pensait qu'elle n'avait pas de plan, qu'elle ne faisait que déblatérer sous le coup de la colère.
Et quelque part, elle craignait qu'il n'ait raison.

La cocotte coquette étiquette et le coq étriqué tique.

- Tu sais que tu m'épates, Strudel ? T'es une sorte de paratonnerre humain. T'attires les emmerdes comme personne d'autre. 100% de chance au grattage. C'est dingue.
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Une vingtaine de minutes plus tard, Maxon frappe à la porte et passe la tete par l’entrebâillement, un appareil photo à la main.
- Je peux entrer ?
Kriss se précipite vers lui et lui arrache des mains l'objet de toutes les convoitises.
- Non. C'est ça qui nous intéresse.
Et elle lui claque la porte au nez. Celeste s’écroule par terre tellement elle rit. Kriss est pliée en deux, moi aussi.

— Sur le moment je me suis dit que ce serait une bonne idée, je réponds avec une grimace.
— America, tes idées sont toutes mauvaises. De bonnes intentions , mais des idées catastrophiques.

[Hazel]:Je n’aimais pas du tout ce grossier Mr Curtis, et d’après les vibrations de colère que je percevais chez Daisy, j’ai compris qu’elle partageait mon opinion."

-Ç...ÇA VA ? TU VAS BIEN ?
-J'ai peur ! J... Peur...
-PEUUUUUUUUUUR !!
-Hein ? Hé,attends !
(Yotsuba et Ena, la balançoire)

-Attachez votre ceinture professeur.
-Une tache de peinture ?... Où ça ?...
(Tintin et Tournesol dans l'avion qui les amène à Tapiocapolis.)

- A chaque fois que je viens chez toi je me dis "Mais comment ils font pour vivre dans tout ce bazar ?"
- Ah ouais ? Moi à chaque fois que je viens chez toi je me dis "Mais comment ils font pour vivre dans un truc de la taille de mes chiottes ?"

- Je ne ressemble pas à ma mère.
- Mais si ! s'écrit maman.
Le psy lui fait signe de me laisser parler.
- Non, elle ne m'a pas mise au monde, je n'ai rien d'elle.
Je ne la regarde pas quand je dis ça.
- Ni de mon père, j'ajoute.
- Mais si, mais si, répète maman en pleurant.
J'ai honte de la faire souffrir, je voudrais me rattraper. Je fixe la psy pour qu'elle vienne à mon secours.
[...]
A la fin, la psy nous sourit à tous les trois et son regard s'arrête sur moi.
- Je vais te dire une chose très importante, Juliette. Ce qui compte, c'est soi. Et une grande part de nous-mêmes n'est pas faite de nos gênes, mais du lieu où on est né, où on vit, des paysages qui nous entourent, de notre classe social, de notre famille, de nos lectures, bref du monde dans lequel on évolue. Nous nous construisons avec tout ça.
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- Je vais maintenant te dire pourquoi tu es une si mauvaise garde d'enfants : tu n'as aucune autorité naturelle. Les enfants sentent ce genre de chose.
- Et moi, je vais te dire pourquoi tu n'as pas d'amis : tu n'as aucune gentillesse naturelle.