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Liste des extraits

« —Salut ! me dit-il en ouvrant la porte d’entrée, comme s’il était chez lui.

Je ne levai pas les yeux du livre dans lequel j'étais plongée.

—Ça t’arrive de sonner aux portes ?

—Quel accueil ! Bonjour à toi aussi, princesse.

—Et si je n’avais pas été seule, ou à poil. Ou les deux tiens ? Tu te crois chez toi ou quoi ?

—Premièrement, je n’ai senti personne d’autre de présent à part toi. Deuxièmement, je t’ai déjà vue sans vêtements, donc je te rassure, je ne me serais pas offusqué pour si peu, et troisièmement, si tu n’avais pas été seule et de surcroît, sans vêtements, tes charmantes courbes auraient été la dernière chose que ce type aurait vue avant de mourir.

J’étais outrée.

—Tu es un gros pignouf arrogant et prétentieux, lui dis-je calmement. »

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« J’allais mourir, c’était à présent une certitude.

La dans mon jardin, trempée et en pyjama « mon petit poney »

Pas très glamour… »

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« – C’est quoi cette marque ?

[…]

- La marque des Uansíth.

Elle apparait spontanément lorsque l’Uansíth utilise ses dons pour la première fois.

[…]

- C’est moche, et ca ressemble au machin qui se trouve sur nos médaillons. Je l’ai vu également sur le journal de mon père.

On dirait… des vers de terre qui font la ronde. Je suis devenue Super-Lombric ?

- C’est un Triskèle, dit-il sur un ton désabusé. »

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Je portai la main à mon cou et sentis les éraflures. Heureusement, je ne saignais pas. Moi, pas contente, mais alors pas contente du tout. Je dirais même, moi, super furax.

- Je peux savoir ce qu’il t’a pris ? Hurlai-je.

- Je suis désolé, je me suis laissé emporter.

- Emporter ? Emporter ? Mais tu allais me bouffer, oui !

- Non ! Non, jamais, je ne te ferais de mal.

- Et essayer de boire mon sang, tu appelles ça comment ?

- Je…

Un raclement de gorge nous interrompit.

source: http://twilight-teamsuisse.blogspot.fr/

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- Si je vous dénonce, vous allez en taule, tous les deux.

Il prit l’air le plus pervers dont il était capable et se rapprocha d’un pas félin de moi en minaudant.

- Oh oui, monsieur l’agent, arrêtez-moi, je suis un vilain garçon et je mérite une punition.

Je le repoussai et l’écartai de mon chemin.

- Pff, pousse-toi, gros débile. J’ai toujours mal au crâne et je voudrais bien avaler mon médoc.

Il tomba assis sur une chaise dans une position légèrement suggestive et éclata de rire.

source: http://twilight-teamsuisse.blogspot.fr/

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 — 707-27-28-666, récita-t-il.

— Les vampires ont des portables maintenant ? Attends, 666 ? dis-je en levant un sourcil.

— Comme tu vois, je peux avoir de l'humour.

Il me fit un grand sourire. Je secouai la tête et nous entrâmes dans la maison. 

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J’étais outrée par une telle possessivité.

— Tu n’es qu’un gros pignouf arrogant et prétentieux, lui signifiai-je le plus calmement possible.

Il fut près de moi en un éclair et me chuchota à l’oreille :

— C’est ce que l’on me dit souvent. Pignouf ?

— Ouais, je m’entraîne à être polie.

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Chapitre 1

Il se tenait debout devant le bar, accoudé au comptoir en zinc lustré et sirotait son whisky. À chaque gorgée, il devait supporter la vue d’un bracelet en silicone vert, accessoire obligatoire et remis à l’entrée, qui indiquait qu'il avait plus de vingt et un ans. Bracelet vert, alcool. Bracelet rouge, pas d’alcool. Il n'avait jamais compris pourquoi les serveurs tenaient tant à faire cette distinction. Si les gens qui venaient étaient suffisamment âgés pour sortir en boîte de nuit, pourquoi ne l’étaient-ils pas pour boire ? S’ils étaient tous suffisamment responsables pour conduire une voiture depuis leur seizième année, les jeunes de ce pays ne devraient pas avoir à porter ces horreurs.

Les humains et leur logique, imparable, pensa-t-il…

La salle était bondée et malgré sa vue perçante, il avait beaucoup de difficultés à veiller décemment sur elle. Durant la soirée d’Halloween, l’activité des renégats était à son comble, et ils pensaient pouvoir vaquer à leurs occupations criminelles sans être inquiétés ni traqués. Pas de bol, lui était là. Depuis plusieurs jours, le taux de criminalité avait légèrement augmenté, et il s'attendait réellement à une explosion de violence ce soir. Mais pour le moment tout était calme. Même elle, elle s’amusait, là, insouciante, au milieu de la piste. La musique changea de rythme et les danseurs fous se déchaînèrent un peu plus. Il jeta un coup d’œil approbateur à Allan, le DJ, et constata qu’il était vraiment doué avec des platines. Mais il n’avait pas de mérite : il pratiquait depuis une éternité. Il sourit en pensant que si ses patrons connaissaient sa véritable nature, il ne garderait plus longtemps son boulot.

Il observa de nouveau la fille. Elle riait aux éclats et s’amusait joyeusement avec ses amis. Elle était sublime dans sa robe argentée. Elle avait relevé ses cheveux en chignon improvisé qui lui dégageait la nuque et le cou. Son joli et si appétissant petit cou. Il ne pouvait pas s’empêcher de la regarder et malgré son acuité visuelle élevée et sa capacité d’anticipation, il ne vit rien venir. Subitement, elle se retourna, et traversa la foule aussi vite qu’elle le pouvait, droit dans sa direction. Cela ne lui prit qu’une seconde pour décider de la fuir. Il lâcha son verre et se dirigea vers la sortie du bâtiment. La masse humaine dense le ralentissait dans sa fuite et bien qu’il ne se retourna pas, il la sentait se rapprocher. Il accélérait encore le pas, sans pouvoir courir à sa vitesse maximum et ça ne lui plaisait pas du tout, car plus il s'approchait de la sortie, plus il percevait un danger. Et il ne venait pas de sa poursuivante.

Il remonta les escaliers qui menaient vers l’issue, bousculant au passage quelques jeunes groggy par l’alcool.

Très utiles leurs horribles bracelets… se dit-il.

Une fois à l’extérieur, il prit sur la droite en direction du parking et ses sens sonnèrent l’alerte de plus en plus fort. Une odeur qu'il ne connaissait que trop bien, un mélange de soufre et de pneu brûlé le menèrent dans une ruelle proche de la discothèque. Avant qu’il ne s’y engouffre, un hurlement retentit. Il la savait derrière lui, mais il ne lui fallut pas plus d’une demi-seconde pour dégainer un Kâtar. Petit, mais redoutable, lorsque l’on sait s’en servir correctement. Et heureusement pour cette humaine, c’était son cas. Le démon la tenait fermement allongée par terre avec ses mains griffues, la gueule grande ouverte au-dessus de sa poitrine. Il était arrivé à temps, car la chose s’apprêtait à arracher le cœur de sa proie.

— Tu ne peux rien contre nous, bâtard ! lui cracha-t-il dans sa langue démoniaque.

— Combien tu paries ? rétorqua-t-il sur un ton de défi.

Il se précipita sur lui et lui colla un coup de coude dans la mâchoire. Il lâcha la fille qui se releva tant bien que mal et s’enfuit à toutes jambes sans se retourner. Un regard furtif lui permit de voir que l'autre fille était là, à quelques mètres de lui. Pourtant, il ne pouvait plus reculer. Il déchiqueta la créature avant qu’elle n’ait complètement repris ses esprits. Elle hurlait de douleur et de colère. Des hurlements qui semblaient provenir de l’Enfer. Elle se défendit, le blessa, et c’est lui qui poussa un cri. Du sang démoniaque jaillissait de toutes parts sous les coups qu'il lui infligeait. Elle essayait de se défendre encore et encore, mais il était plus fort qu’elle. Il voulait en finir vite, et il y prenait du plaisir. Le bruit de la chair pourrie qui se déchirait sous sa lame, le sang qui se répandait sur le sol, sur lui, sur le démon, ses hurlements de douleur, tout ça le faisait sourire. Ça lui faisait du bien, car il adorait le combat. Un dernier saut, un dernier cri et puis, plus rien. Il en avait fini avec elle. Comme tous les alsàiseachs, sa carcasse disparut dans un nuage de poussière dès son dernier souffle putride poussé. Un genou à terre, haletant, les bras ensanglantés, il tourna la tête et regarda la fille. Cette fille. Ses yeux le dévisageaient avec terreur. Sa bouche était grande ouverte, comme si la lettre « a » refusait d’en sortir. Pourquoi n’était-elle pas intervenue ? Pourquoi restait-elle là, sans bouger alors qu’elle aurait dû se jeter sur eux et les tuer, le démon et lui ? Elle avait tout vu, l’avait vu lui… Vu l’animal, le boucher, le tueur… Il devait filer au plus vite. Il lui lança un dernier regard et puis disparut dans la nuit.

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Étourdie par la musique et notre danse, je fus emportée par la douceur de ce moment et dis une phrase qui ne me ressemblait pas.

-Je t'aime.

les mots que je prononçai m'échappèrent littéralement et je les regrettai aussitôt. non que je ne les pensais pas, bien au contraire, mais j'étais sure que mes sentiments n'étaient pas partagés. Il s'arrêta de danser, surpris. Mon cavalier, mi-vampire et mi-démon, le prédateur et l'assassin ultime, arborait le même regard qu'un lapin pris au piège dans les phares d'une voiture.

-Allie, je...

[...]

-Oui oui, je sais, lui dis-je en me prenant ensuite la tête dans les mains. Je suis désolée, ça m'a échappé. C'est l'ambiance, cette chanson. Je me suis laissée emporter. Je sais bien que...

Il me prit par la taille d'une main, me serra contre lui, plaça son autre main derrière ma nuque. il me fit taire en m'embrassant avidement. Un long et profond baiser qui valait toutes les réponses du monde. Il s'écarta de moi juste assez pour que ses lèvres frôlent toujours les miennes, il me répondit un JE T'AIME fiévreux de sincérité et de désir.

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Prise d'un grain de folie, je me jetai à plat ventre sur le sol, roulai sur le dos, et fis de larges mouvements du bas vers le haut, bras et jambes écartés.

Milàn me regardait dubitatif.

-Tu fais quoi là, exactement?

-Je fais l'ange.

-Tu fais l'ange, répéta-t-il.

-Allez, comme si tu ne l'avais jamais fait, m'amusai-je.

-Ce concept m'est effectivement étranger.

Ma gymnastique terminée, je me relevai, fière comme un pape de pouvoir apprendre enfin quelque chose à monsieur je-sais-tout.

-Tu vois, j'ai fait un ange.

A l'endroit même où je me tenais allongée quelques secondes auparavant, l'ombre d'un ange en toge et avec les ailes se dessinait sur le sol.

-C'est vrai, tu as fait un ange, mon ange.

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