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« —Salut ! me dit-il en ouvrant la porte d’entrée, comme s’il était chez lui.
Je ne levai pas les yeux du livre dans lequel j'étais plongée.
—Ça t’arrive de sonner aux portes ?
—Quel accueil ! Bonjour à toi aussi, princesse.
—Et si je n’avais pas été seule, ou à poil. Ou les deux tiens ? Tu te crois chez toi ou quoi ?
—Premièrement, je n’ai senti personne d’autre de présent à part toi. Deuxièmement, je t’ai déjà vue sans vêtements, donc je te rassure, je ne me serais pas offusqué pour si peu, et troisièmement, si tu n’avais pas été seule et de surcroît, sans vêtements, tes charmantes courbes auraient été la dernière chose que ce type aurait vue avant de mourir.
J’étais outrée.
—Tu es un gros pignouf arrogant et prétentieux, lui dis-je calmement. »
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