Allumer le chat

J'ai toujours entendu beaucoup de bien de Barbara Constantine et c'est avec une certaine curiosité que je me suis lancée dans la lecture de son roman "Allumer le chat". Malheureusement, cette première rencontre n'a pas été à la hauteur de mes attentes.

J'ai eu du mal avec le style d'écriture de l'auteure. C'est très familier, parfois même un peu cru, et j'ai trouvé que cela manquait de poésie et de fluidité. Les phrases sont courtes, hachées, ce qui rend la lecture un peu saccadée.

L'histoire en elle-même ne m'a pas non plus emballée. J'ai trouvé les personnages un peu caricaturaux et leurs problèmes, bien que réalistes, ne m'ont pas vraiment touchée. J'ai eu du mal à m'attacher à eux et à croire en leurs histoires.

Un régal, fort étonnée par ailleurs d'avoir été happée aussi facilement par cette écriture et ce style assez loufoque ^^

Un moment très agréable en somme !

Excellent moment en compagnie de cette autrice. Beaucoup de fraîcheur et de tendresse. Après Et puis Paulette... j'ai adoré lire ce livre.

Barbara Constantine l'écriture caustique, cash, et parfois trash. Là, je me suis quand même demandé si elle n'allait pas un peu loin, car ça n'était pas toujours drôle. Je ne sais dire quel est le personnage principal, peut-être le petit Rémi, mais ça n'est pas sûr. Certains personnages sont tendres sous une peau bien rugueuse... c'est loin d'être mon roman préféré de cette autrice. Mais je n'ai pas non plus passé un mauvais moment.

Une lecture sympathique et fluide. On passe d'un personnage à l'autre et tous ont leur particularité. Une aventure haute en couleur !

Jusque là j'étais vraiment fan des livres de Barbara Constantine, mais alors celui-ci je ne l'aime pas du tout.

C'est simple je ne suis pas allée au bout !

Je savais que l'auteure emploi un langage familier, rural, mais dans ce livre-ci on passe un cap, on tombe dans le vulgaire, le crue, le sale.

Cela a gâché ma lecture, c'était sinistre, j'ai donc laissé ce livre à la moitié.

Sympa très fermier mais on adore tous ces personnages haut en couleur

Même si parfois, j'ai eu un peu de mal avec le nombre très important de personnages, j'ai passé un moment agréable avec eux.

Livre très court mais avec de nombreux personnages. Les chapitres étant courts on a du mal à se lier aux personnages.

C'est un peu dommage

Alors, là, franchement, j'ai eu un peu de mal à comprendre ce roman...

Ce n'est pas réellement une déception, car je n'ai pas vraiment détesté. Mais disons que je m'attendais à mieux.

En fait, ce qui m'a le plus dérangée, c'est le vocabulaire utilisé par l'auteure. Les gros mots, ça va pendant quelques pages, surtout si cela apporte une certaine "ambiance" au récit ; après tout, je suis une grande fan de San Antonio et Béru, son héros, n'est pas un modèle de politesse. Mais même Béru n'est pas aussi grossier que les personnages d' Allumer le chat : ici, ce n'est que jurons et autres du début à la fin. Béru, il est plutôt simple dans sa façon de s'exprimer, il dit les choses comme elles sont et, en cela, sa vulgarité est parfois nécessaire.. Barbara Constantine se contente de mettre des gros mots dans la bouche de ses personnages et la vulgarité devient totalement gratuite dans Allumer le chat ; c'est cela qui dérange car on se demande ce que ce genre de vocabulaire apporte au récit?

Sans doute est-ce pour créer une certaine intimité avec le lecteur (raté en ce qui me concerne) et pour bien lui faire comprendre qu'il/elle se trouve parmi des personnages simples. Mais je ne vois pas pourquoi la simplicité doit s'accompagner d'autant de stéréotypes : la vulgarité, les personnages quasi analphabètes qui ont tous tendance à boire plus que de raison,...

Et puis, ce chat qu'on nous annonce dans le titre n'apparaît que quelques fois alors qu'on s'attend presque, en lisant le résumé, à ce qu'il soit un personnage récurrent.

Bon, ce roman a aussi quelques bons côtés. La brièveté des 70 chapitres (qui font de 2 à 4 pages chacun) permet de lire le livre très rapidement et de rester plongé dans le roman sans interruption. de ce fait, il est plus facile de comprendre les relations entre les divers personnages, qui sont très nombreux. Certains sont attachants malgré les défauts du récit. Les enfants, par exemple, sont sympathiques et rachètent, par leur simple présence, les défauts des autres personnages.