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1786. Le jour où son petit frère disparaît, Alma part sur ses traces, loin de sa famille et de la vallée d'Afrique qui les protégeait du reste du monde. Au même moment, dans le port de Lisbonne, Joseph Mars se glisse clandestinement à bord d'un navire de traite, La Douce Amélie. Il est à la recherche d'un immense trésor. Dans le tourbillon de l'Atlantique, entre l'Afrique, l'Europe et les Caraïbes, leurs quêtes et leurs destins les mènent irrésistiblement l'un vers l'autre.
Le premier volet éblouissant d'une trilogie d'aventure sur l'esclavage et le combat de l'abolition.
Prix France Télévision 2020 catégorie "roman jeunesse".
Chez les Oko, le mot « alma » signifie « libre ». Mais ce genre de liberté n'existe dans aucune autre langue. C'est un mot rare, une liberté imprenable, une liberté qui remplit l'être pour toujours.
Une lecture divertissante. L'histoire est vraiment prenante, et les personnages attachants. Le suspense est bien construit et la manière dont l'auteur fait se frôler les personnages qui se cherchent entre eux sans jamais qu'ils ne se voient donne parfois envie de crier devant son bouquin ! Mais certaines scènes sont un peu longues et manquent d'intérêt.
Néanmoins je conseille ce roman qui se lit facilement et dans lequel on se plonge rapidement.
Malgré une histoire portée sur des faits poignants de l'Histoire, je n'ai malheureusement pas accroché à cette lecture.
Perdue sur la première partie parmi tous les noms des personnages, j'ai trouvé la suite pas mal mais sans plus.
Trop de descriptions, des passages beaucoup trop longs et surtout trop de répétitions pour moi. Alma a fait...Alma dit...Alma pense...bref, je n'ai pas réussi à me mettre suffisamment dedans pour apprécier ma lecture.
J ai failli arrêter ma lecture après 2 chapitres car je n aimais pas le style d écriture. J ai persévéré et continué. Le style s est amélioré. Le thème de la traite négriere est vue et revue.
Cela commence doucement, comme une esquisse, et quand on lit, c'est comme si on regardait ces artistes qui transforment quelques traits de départ en fresque. Alma nous parle des beautés de l'Afrique, de l'horreur de la traite des êtres humains, de la magie des liens familiaux. C'est un roman d'aventure, de magie, d'amitié, de liberté qui m'a enchantée. J'ai hâte de lire la suite !
Quelle merveille. J'ai eu la chance de rencontrer Timothée de Fombelle il y a peu, et je me suis immédiatement plongée dans le premier tome d'Alma. L'alternance de points de vue est très bien menée et offre une vision globale du monde dans lequel vivent les protagonistes. Véritable ode à la liberté et dénonçant la commerce triangulaire, l'esclavage, ce roman est passionnant et ne se lâche pas. Une très belle découverte, je me penche immédiatement sur le second tome !
Le premier tome d'une trilogie dénonçant l'esclavage.
Alma vit avec sa famille loin de tout, libre. Lorsque son petit frère quitte la vallée, elle part à sa recherche. Le monde se révèle à elle qui n'avait pas connaissance de toute la violence dont peuvent faire preuve les hommes.
J'ai beaucoup apprécié cette lecture forte en émotion. Le personnage de Joseph m'intrigue, le second tome nous en apprendra davantage sur lui je l'espère.
J’ai fait la connaissance de Timothée de Fombelle il y a quelques années, guidé par Audrey (Le souffle des mots) qui, avec une passion communicative, avait célébré Le Livre de Perle. Pourtant, malgré la beauté de ses mots, je n’avais pas été emporté par cette lecture, et depuis lors, ses écrits n’ont plus croisé mon chemin.
Pourtant, l’appel de l’aventure littéraire a fini par me rattraper, et c’est avec une curiosité teintée d’appréhension que j’ai ouvert le premier tome d’Alma. Dès les premières pages, j’ai ressenti une impression étrange, celle d’être transporté non pas dans une simple histoire, mais dans un univers à la fois familier et mystérieux, comme si Fombelle avait su capter l’essence même du conte, cet espace où les enfants et les adultes se rejoignent pour rêver ensemble.
Les personnages d’Alma et Lam, deux enfants évoluant dans une vallée isolée du monde, ont immédiatement éveillé en moi une tendresse particulière. On perçoit chez eux une innocence qui se mêle à une quête de liberté, une soif de découvrir l’inconnu qui résonne avec force en chacun de nous. Fombelle, avec sa plume délicate et poétique, parvient à rendre palpables les émotions de ses personnages, les doutes et les espoirs qui les habitent.
Mais ce qui m’a particulièrement frappé, c’est la capacité de l’auteur à entrelacer les histoires personnelles avec les grands thèmes universels. Le voyage d’Alma, qui pourrait se résumer à une simple quête de son frère disparu, devient alors une métaphore profonde sur la recherche de soi, sur ce besoin intrinsèque de franchir les frontières, qu’elles soient physiques ou intérieures. Fombelle nous rappelle que chaque quête, aussi intime soit-elle, est aussi une quête de sens, une exploration de notre place dans le monde.
Il y a dans Alma une poésie discrète, une beauté qui se déploie sans jamais forcer le trait. Les paysages, décrits avec une précision quasi-cinématographique, s’animent sous nos yeux, et l’on sent presque la brise qui souffle sur la vallée, les parfums de la terre mouillée après la pluie, le murmure des arbres qui protègent les secrets des enfants. Cette immersion sensorielle m’a profondément touché, et je me suis laissé emporter par cette atmosphère à la fois douce et inquiétante.
Ce roman m’a réconcilié avec Timothée de Fombelle. Je comprends maintenant ce que j’avais manqué lors de ma première rencontre avec son œuvre. Il ne s’agit pas uniquement d’un livre pour enfants ou adolescents ; c’est un texte universel, qui parle au cœur de chacun, à travers les âges. Fombelle, avec sa maîtrise narrative et son talent pour créer des mondes empreints de magie et de réalité, nous offre ici une histoire inoubliable, qui, comme un vent léger, vous effleure d’abord avant de s’insinuer profondément en vous, pour ne plus jamais vous quitter.
Mais si ce roman est un récit empreint de douceur et de poésie, il n’en reste pas moins traversé par des ombres profondes, et l’une des plus puissantes est celle de l’esclavage. Timothée de Fombelle aborde ce thème avec une subtilité rare, tissant les fils de l’histoire personnelle d’Alma et de sa famille avec la grande Histoire, celle qui a marqué les peuples de stigmates indélébiles.
L’esclavage, dans ce roman, n’est jamais abordé frontalement. Il se cache derrière les non-dits, dans les silences des parents d’Alma, dans les regards fuyants, dans les lois étranges qui régissent leur vie recluse. Et pourtant, il est omniprésent, comme une menace latente, une vérité inavouable qui finit par éclater au grand jour. Ce choix de l’auteur de ne pas nommer directement l’horreur de l’esclavage, mais de la laisser transparaître à travers les peurs et les silences des personnages, rend le récit d’autant plus poignant. On sent que ce passé douloureux hante les protagonistes, qu’il les a marqués au fer rouge, et qu’il continue de dicter leurs actions, leurs pensées, leurs rêves.
Alma, dans sa quête pour retrouver Lam, découvre peu à peu cette part d’ombre qui a façonné son existence. Le lecteur, lui, perçoit l’ampleur du drame historique, ce commerce inhumain qui a broyé des vies, anéanti des cultures, et qui, même des années plus tard, continue de faire peser son poids sur les générations futures. Fombelle ne cherche pas à accabler son lecteur par des descriptions brutales ; il préfère montrer comment l’esclavage s’insinue dans les esprits, comment il crée des fractures invisibles mais profondes dans les âmes.
Cette manière d’aborder l’esclavage fait de Alma un roman nécessaire. Il rappelle que l’histoire de l’humanité est faite de souffrances collectives, mais aussi de résiliences individuelles. Loin d’être un simple élément de contexte, l’esclavage devient ici un moteur de l’intrigue, un révélateur des forces et des faiblesses de chacun. Il interroge notre rapport à la mémoire, à l’identité, et nous pousse à réfléchir à la manière dont ces blessures du passé continuent de modeler notre présent.
En refermant ce livre, on ne peut s’empêcher de penser que Fombelle a voulu rendre hommage à tous ces anonymes dont les vies ont été brisées par l’esclavage, mais aussi célébrer leur force, leur courage à se battre, à espérer, à vivre malgré tout. C’est un roman qui, sous couvert d’une aventure captivante, nous invite à ne jamais oublier, à toujours porter en nous la mémoire de ces tragédies, pour qu’elles ne se reproduisent plus.
Ce premier volume de la série n’est pas seulement une histoire de liberté et de découvertes, c’est aussi un cri de révolte, un chant de résistance contre l’injustice. C’est un livre qui, tout en nous envoûtant par sa beauté narrative, nous interpelle, nous dérange, et surtout, nous fait réfléchir sur ce que signifie vraiment être libre.
Il me tarde de retrouver Alma, cette héroïne à la fois fragile et déterminée, dans la suite de son périple. Quelles vérités découvrira-t-elle ? Quelles épreuves devra-t-elle encore surmonter ? Et surtout, quel chemin la mènera vers ce frère qu’elle aime tant, mais qui semble désormais appartenir à un autre monde ?
Une grande variation comparé aux autres romans de De Fombelle. Intéressant avec les 3 pov qui s'alignent, se mélangent et s'entrechoquent qui donne au livre entier une profondeur de drame humain.
Résumé
1786. Le jour où son petit frère disparaît, Alma part sur ses traces, loin de sa famille et de la vallée d'Afrique qui les protégeait du reste du monde. Au même moment, dans le port de Lisbonne, Joseph Mars se glisse clandestinement à bord d'un navire de traite, La Douce Amélie. Il est à la recherche d'un immense trésor. Dans le tourbillon de l'Atlantique, entre l'Afrique, l'Europe et les Caraïbes, leurs quêtes et leurs destins les mènent irrésistiblement l'un vers l'autre.
Le premier volet éblouissant d'une trilogie d'aventure sur l'esclavage et le combat de l'abolition.
Prix France Télévision 2020 catégorie "roman jeunesse".
(Source : Gallimard Jeunesse)
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