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No— On les a bien eus, t’as vu ça ?

— Ouais, sales pédés. Ils n’ont même pas vu ce qui les a frappés.

— T’as vu quand je…

Trent Beaumont se détourna des deux idiots qui étaient dans le club depuis cinq minutes et qui pensaient que c’était drôle de se vanter d’avoir passé deux minets à tabac. Le bar-salon du gang Epitaph Motorcycle était grand, pourtant il semblait presque sombre et lugubre, peu importait l’heure de la journée. Trent aimait pouvoir s’asseoir dans un coin et ignorer tout le monde autour de lui. Le bar en lui-même était le point central de la pièce et la plupart des membres du club y traînaient, riant et faisant ces choses stupides typiques des gens ivres. Trent ne buvait pas et préférait être seul quand les hommes avec lesquels il traînait picolaient.

Grimaçant mentalement quand il entendit l’un des vantards faire un commentaire sur la façon dont il avait défoncé l’homme qu’il avait agressé à coups de bottes, Trent prit une profonde inspiration pour calmer son loup. Il ne savait pas vraiment pourquoi il se sentait à cran, mais sa bête tournait en rond dans son esprit et il n’aimait pas ça. Cela signifiait généralement que quelque chose d’important allait se passer. Personnellement, Trent jouait sur les deux tableaux, préférant les hommes, mais couchant avec des femmes quand il en avait besoin. Il détestait furieusement les passages à tabac d’homos, mais il ne l’aurait jamais mentionné à l’Epitaph. Il aimait ses couilles et sa tête là où elles étaient. Le message résolument anti-gay lui avait été seriné depuis le jour où il les avait approchés pour les rejoindre, dix ans plus tôt. Depuis lors, il avait gardé pour lui son envie d’un petit cul étroit enserrant sa queue. Mais écouter ces deux idiots au bar mettait sa patience à rude épreuve.

Grinçant des dents avant de hurler quelque chose qu’il ne devrait pas, comme le fait que ce n’était pas franchement viril ou intelligent de choisir des hommes qui étaient considérablement plus petits ou moins susceptibles de se battre que deux loubards qui tenaient une conférence dans le bar, Trent leur tourna le dos, puis laissa échapper un gémissement bas lorsqu’il croisa le regard sensuel de Stephanie. Comme si elle a besoin d’un contact visuel pour venir, pensa-t-il sombrement, retenant son souffle, tandis qu’elle approchait. Son parfum submergeait toujours ses sens, il avait du mal à réprimer un éternuement chaque fois qu’elle s’approchait de lui.

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