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- Je crois que tu es peut-être la clé du mystère Léo.

Elle ne put retenir un reniflement de dérision.

- Moi ? Léo avait besoin d'un nouveau paillasson ?

Charles se pencha brusquement en avant, renversant sa chaise alors qu'il la soulevait de la sienne et la mettait sur ses pieds. Elle avait cru être habituée à la vitesse et à la force des loups, mais il lui avait coupé la respiration.

Comme elle se tenait immobile, sous le choc, il lui tourna autour jusqu'à lui faire face et il l'embrassa. Un baiser long, passionné, puissant, qui la laissa hors d'haleine, mais pour une tout autre raison.

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Extrait ajouté par Lyrween 2011-11-13T18:33:32+01:00

Il n'avait jamais pris le métro aérien de Chicago, et si ce n'avait pas été pour une certaine jeune femme têtue, il ne l'aurait pas pris cette fois-ci non plus. Il avait fini par l'admettre qu'il appréciait le trajet quand un groupe de voyous tapageurs déguisés en lycéens décida de l'ennuyer.

- Hé, l'Indien, lança un garçons en baggy, t'es nouveau dans le coin? Elle est sexy, ta copine. Si elle aime le foncé, elle a largement de quoi faire son choix ici, conclut-il en se désignant lui-même.

Il y avait de véritables gangs à Chicago, nés dans l'univers du centre-ville et de son ambiance " manger ou être mangé". Mais ces garçons étaient des imitateurs, ils étaient sûrement en vacances et s'ennuyaient ferme. Ils avaient décidé de s'amuser à effrayer les adultes incapables de faire la différence entre amateurs et requins. Non qu'une meute de garçons ne puisse pas se révéler dangereuse dans certaines circonstances...

Une veille dame assise à côté d'eux recula et l'odeur de sa peur eut raison de la patience de Charles.

Il se leva, sourit, et leurs suffisance s'évapora face à son assurance.

- Elle est sexy, OK, dit-il. Mais elle m'appartient.

- Mec, dit le garçon juste derrière celui qui avait parlé. Sans rancune, mec.

Il laissa son sourire s'élargir et les regarda reculer en ordre dispersé.

- C'est une belle journée. Je pense que vous devriez vous asseoir sur ces sièges vides là-bas, d'où vous pourrez admirer la vue.

Ils se précipitèrent à l'avant de la rame et quand ils furent assis Charles reprit place aux côtés d'Anna.

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Extrait ajouté par venusee 2011-10-26T03:37:07+02:00

Puis il se rendit compte que la disparition soudaine de sa colère et le désir irrationnel de la protéger de flot des passants indiquaient autre chose. Elle n'était pas un loup soumis, bien que beaucoup puissent s'y tromper: elle était un Omega.

Aussitôt il prit conscience que, quoi qu'il arrive à Chicago, il tuerait tous ceux qui avaient contribué à la maltraiter.

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Il sauta à ses côtés, posa la tête sur ses genoux, et ferma les yeux avec un profond soupir.

Il ouvrit un œil puis le referma. Elle fit courir ses doigts dans sa fourrure, évitant avec soin la blessure.

Formaient-ils un couple ? Elle ne le pensait pas. Est-ce qu'une telle chose ne nécessitait pas une cérémonie un peu plus formelle ? Elle ne lui avait même pas dit qu'elle l'acceptait... pas plus qu'il ne lui avait vraiment fait sa demande.

Et pourtant... Elle ferma les yeux et laissa son odeur la submerger, et sa main se referma de manière possessive sur une poignée de fourrure.

Quand elle rouvrit les yeux, elle se retrouva face à ses yeux jaunes et limpides.

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Extrait ajouté par lou84 2012-05-08T11:00:25+02:00

-Je n'aime pas le sexe, lui dit-elle parce que, au vu des circonstances, il lui semblait nécessaire qu'il le sache.(Il s'étrangla et ouvrit les yeux, leur couleur éclatante remplaçant celle de ses sombres yeux humains.)Je n'aimais pas trop ça avant le Changement déjà, lui avoua-t-elle. Et après avoir été passée de main en main comme une putain pendant un an, jusqu'à ce qu'Isabelle y mette un terme, j'aime encore moins ça.(Sa bouche se contracta mais il ne dit rien, alors elle poursuivit.)Et je n'y serai pas contrainte. Plus jamais.

Elle releva les manches de sa chemise pour lui montrer les longues cicatrices à l'intérieur de son bras, qui courraient de ses poignets à ses coudes. Elle les avait faites avec un couteau en argent, et si Isabelle ne l'avait pas découverte, elle se serait tuée.

-C'est la raison pour laquelle Leo ne me force plus à coucher avec les mâles qu'il veut récompenser. Isabelle l'y a contraint. C'est elle qui m'a trouvée et gardée en vie. Après ça j'ai acheté un pistolet et des balles d'argent.(Il gronda doucement mais pas contre elle, elle en était presque sûre.)Je ne suis pas en train de menacer de me tuer. Mais il faut que tu le saches, parce que-si tu veux être mon compagnon-je ne serai pas comme Leo. Je ne te permettrai pas de coucher avec quelqu'un d'autres. Et je ne serai pas non plus forcée. J'en ai assez. Si ça fait de moi le chien dans le garde-manger, qu'il en soit ainsi. Mais si je suis tienne, alors tu as sérieusement intérêt à être mien.

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Extrait ajouté par Lyrween 2011-11-13T17:40:10+01:00

Remonter les trois étages aurait dû lui donner le temps de réduire son loup au silence. Il y serait parvenu si Anna ne l'avait pas attendu, le rouleau à pâtisserie à la main, sur le palier de l'étage inférieur.

Il s’arrêta à mi-chemin, et elle fit demi-tour sans un mot. Il la suivit en silence jusqu'à son appartement puis jusqu'à la cuisine, où elle reposa le rouleau sur son socle juste à côté d'un petit pot contenant quelques couteaux.

- Pourquoi le rouleau à pâtisserie et pas le couteau? demanda-t-il, la voix rauque sous l'effet de l'adrénaline.

Elle le regarda pour la première fois depuis qu'elle l'avait dévisagé dans l'escalier.

- Un couteau ne le ralentirait même pas, mais les os mettent du temps à guérir.

Ca lui plaisait. Qui aurait pensé qu'il serait attiré par une femme armée d'un rouleau à pâtisserie?

- Très bien, dit-il. Très bien.

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Extrait ajouté par Saarah72 2013-08-03T15:58:51+02:00

- Anna, poursuivit-il en reprenant le contrôle. Je suis l'exécuteur de ton père. C'est mon rôle en tant que premier lieutenant. Mais ça ne veut pas dire que j'y prenne plaisir. Je ne vais pas te blesser, parole d'honneur.

- Oui, monsieur, dit-elle, visiblement dubitative.

Il se rappela que la parole d'un homme ne comptait pas beaucoup de nos jours. La sentir dégager plus de colère que de peur l'aida à se contrôler... elle n'avait pas été complétement brisée.

S'il essayait encore de la rassurer, ses tentatives auraient probablement l'effet opposé. Elle devrait apprendre à accepter le fait qu'il était un homme de parole. Cela lui donnerait matière à réfléchir.

- En outre, lui dit-il doucement, mon loup est plus intéressé à l'idée de te faire la cour qu'à t'imposer sa dominance.

Il la dépassa puis il sourit tandis que la peur et la colère de la jeune femme disparaissaient remplacées par le choc... et quelque chose qui pouvait passer pour un semblant d'intérêt.

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En temps normal, il pouvait sentir un autre loup-garou, mais la ventilation de l'aéroport tenait son odorat en échec. Son attention se porta en premier sur une jeune fille au teint blanc d'Irlandaise, aux cheveux bouclés couleur whisky, et au regard fuyant de quelqu'un que l'on battait régulièrement. Elle avait l'air épuisée, gelée, et beaucoup trop mince. Cette constatation le mit en colère et il était déjà bien trop irrité pour être inoffensif, aussi se forca-t-il à détourner les yeux.

Il y avait une femme vêtue d'un tailleur dont la couleur se mariait à la teinte chocolat de sa peau. Elle n'avait pas une tête à s'appeller Anna, mais à voir sa posture, il l'imaginait facilement défier son Alpha et appeler le Marrok. A l'évidence, elle attendait quelqu'un. Il esquissa un pas dans sa direction, mais son expression changea soudain lorsqu'elle aperçut la personne qu'elle cherchait... et ce n'était pas lui.

Il se remit à parcourir l'aéroport du regard quand une petite voix hésitante juste à sa gauche dit :

- Monsieur, vous venez du Montana ?

C'était la fille au cheveux couleur whisky.

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- mon fils voudrait que tu nous accompagnes dans le montana. je te garantis, si quelque chose ne te plait pas, je m'en occuperai pour qu tu puisse t'insaller souhaitera.

charles grogna et bran leva un sourcil comme il le regardait

- je suis le marrock, charles. si la jeune fille veut aller ailleurs, elle est libre. anna s'appuya contre la hanche de charles

- je croi que j'aimerais bien voir le montana dit elle

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Charles ne remarqua pas quand elle monta sur le lit à ses côtés. Elle posa la tête près de la sienne sur l'oreiller et l'écouta respirer.

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