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Commentaires de livres faits par AlyW

Extraits de livres par AlyW

Commentaires de livres appréciés par AlyW

Extraits de livres appréciés par AlyW

Troisième lecture de Taylor Jenkins Reid de cette année ( et de cette vie en ce qui me concerne ahah) et même si pour l'instant c'est celui qe j'ai le moins aimé, y'a je trouve une vibe très particulière dans les livres de cette autrice qui fait que même si les thèmes du livres sont pas mes thèmes de prédilections (notamment le fait que tous ses personnages soient des célébrités), bah j'adore. J'aime bien la manière que l'autrice à de décrire les relations entre les personnages, elles sont compliquées, mais il n'empêche qu'il a y souvent de l'amour, et les persos sont ni vraiment bons, ni vraiment mauvais.

Un autre petit détail que j'aime énormément pour le coup, c'est le fait que tous les livres de cette autrice soient reliés aux autres, parce que les personnages apparaissent dans les autres, que ce soit parce qu'ils ont un rôle important, ou qu'ils y sont simplement mentionnés (comme ils sont tous hyper célèbres, c'est pratique). Et j'adore ces petits clin d'oeils, c'est trop sympa, ça fait un peu easter egg.

Mais je pense que ce que j'aime tant dans ces livres, c'est que c'est des livres qui racontent des histoires de vie (les septs maris d'evelyn hugo surtout, c'est mon petit pref), et je suis très cliente de ça. Alors un peu envie de lire d'autres livres de cette autrice.
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Une non-fiction très touchante, dans laquelle l'autrice raconte avec beaucoup de délicatesse et de transparence le décès de son mari et les problèmes de santé de sa fille. A travers des observations sur le deuil, des souvenirs et des épreuves, elle récapitule cette année difficile suivant ces évènements. C'est une lecture triste, un peu compliqué, et c'est pas le genre de livre à propos duquel on peut dire "oh j'ai adoré" ou "ah non, j'ai détesté", parce que ça me semble incongru de faire ce genre d'observation à propos d'un témoignage, surtout de ce genre, mais en tout cas, c'est une lecture très instructive et qui fait réfléchir à pleins de choses, qui nous rappelle la brièveté et la fragilité de la vie, et pour moi, c'est quelque chose d'important.
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Quel bonheur. D'avoir enfin la suite de cette trilogie que j'aime tant. Ce premier tome est la suite inespérée de Shades of Magic, et quel bonheur de retrouver l'univers, le système magique, et surtout, les personnages !

Oui, ce tome est un peu lent, mais moi ça me dérange pas, j'aime bien prendre mon temps dans la lecture (c'est pour ça que je l'ai dévoré en trois jours ahah). Et franchement, c'était très cool de voir comment les personnages ont évolués en quelques années, que ce soit Rhy et Alcuard, ou Lila et Kell (qui m'a brisé le coeur tout le livre, je lui souhaite le meilleur pour la suite <3), mais c'était aussi vraiment chouette de découvrir de nouveaux personnages, surtout Tes, mais suivre Kosika nous en apprend aussi beaucoup sur le Londres blanc, et ça c'est cool. Ça change un peu l'ambiance du livre par rapport à la trilogie initiale, mais moi j'ai adoré, c'est une autre version de l'univers, cet univers si complet et si bien construit, en plus tout se recoupe à un moment ou un autre, alors tout est génial. Y'a des scènes que j'ai vraiment adorées, notamment celles avec l'espèce de prêtre conseiller de Rhy et Kell (j'ai oublié son nom, oups), pour ne citer qu'elles.

C'est une belle entrée en matière pour la suite, que j'attends avec GRANDE impatience (même si c'est pas pour tout de suite)
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date : 05-11-2023
Ce livre me tentait depuis looongtemps (forcément, ça parle de mythologie grecque ;))

Je connaissais l'histoire d'Ariane surtout dans les grandes lignes, donc je pourrais pas vraiment dire si le livre est fidèle au mythe ou si c'est un peu remixé, mais du coup c'était intéressant de voir où cette histoire de fil d'Ariane et de Minotaure a mené, et d'ailleurs ça représente vraiment une petite partie du livre, simplement le début. Pour ce qui est des personnages, il y en a aucun où j'ai un avis clair, et d'ailleurs mes opinions se sont pas mal croisées.

Pour ce qui est d'Ariane, je l'aimais bien au début, mais j'ai eu un peu de mal quand elle a prit sa première décision (pour faire court, les histoires où il a un "coup de foudre au premier regard", j'aime vraiment pas, donc j'étais un peu en mode, meuf, slow down). Mais ce qui est bien, c'est qu'au moment où je commençais à perdre de l'intérêt pour elle, l'histoire switch sur le point de vue de Phèdre, sa petite soeur, que j'aimais vraiment bien : elle est un peu têtue, mais maligne, déterminée, courageuse. Et à partir de là, l'histoire alterne les deux point de vue. Mais après les situations des deux soeurs s'inversent un peu, et j'ai commencé un peu à voir beaucoup de pitié pour elle, et elle me mettait même un peu mal à l'aise.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Pour ce qui est des personnages masculins, autant dire que Thésée, je ne l'ai pas du tout aimé, même au début quand il était présenté de manière sympa je SAVAIS qu'il était louche, et Dionysos, je le trouvais trop cool au début, mais après... descente aux enfers, presque littéralement.


Sinon, j'ai bien aimé le fil conducteur, à savoir le fait que les femmes ont toujours, toujours été responsables des erreurs des hommes et soumises à leurs volontés, à leurs envies, et je trouve que la mythologie grecque est parfaitement représentative de cette injustice. Et tout dans Ariane nous rappelle ça, surtout la fin, même quand on se dit que la situation pour les persos féminins s'améliore. Et le style de l'autrice était aussi très visuel, ce qu'elle décrit prenait facilement vie dans ma tête, et ça je kiffe.
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date : 29-04-2022
J'ai un peu grandi avec les première bd de Lou ! Et honnêtement, c'est très réconfortant d'avoir découvert ce livre l'année où je suis moi aussi arrivée à la fac, que j'ai découvert la vie indépendante... Je me suis pas mal identifiée au personnage de Lou, personnage que j'ai toujours énormément apprécié. C'est réconfortant de la voir faire ces premiers pas dans la vie étudiante en même temps que moi, s'affirmer toujours plus, continuer de grandir, tenter de nouvelles choses, de douter et de se poser des questions. Même si Lou est un personnage fictif, ça fait quand même du bien de voir qu'on est pas seul à vivre certaines choses. Et pour ça, j'ai trouvé l'histoire tellement touchante ( j'avoue avoir lâché ma larme ).

Et je suis TELLEMENT fan du style de dessin, de l'univers graphique. De l'univers tout court en fait. Ça m'a redonné envie de relire les précédentes bd, mais surtout j'ai hâte de retrouver Lou et voir ses prochaines expériences dans les prochains tomes !
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J'ai aimé ce livre dès les premières pages. J'ai adoré la plume de l'auteur, qui est pleine de poésie, même pour aborder des sujets assez crus. La plupart des personnages sont très touchants, et ma lecture m'a fait passer par plein d'émotions : la tristesse, la frustration face à l'injustice de ce que vivent les personnages, de la joie, ou même de la peur ( j'avoue que deux ou trois scènes m'ont faite flipper ), et j'adore les livres qui ont le pouvoir de me faire passer par toutes ces émotions.

Je suis aussi une grande fan des livres remplis d'intrigues, où il y a plein de "coïncidences", jusqu'à donner à l'histoire une dimension un peu fantastique, et les romans de Carlos Ruiz Zafon sont vraiment représentatifs de tout ça.
Entre temps, j'ai lu trois autres de ses romans, mais mon préféré reste à ce jour L'Ombre du vent. Ce livre a d'ailleurs une place particulière dans mon coeur parce qu'il m'a permis de découvrir les oeuvres de cet auteur, et je pense maintenant que c'est l'un de mes auteurs préférés. Ce roman montre comment un livre peut changer le cours d'une vie, d'une manière très touchante, et je ne pouvais pratiquement pas lâcher le livre avant d'avoir lu la dernière page. C'est aussi du au fait que L'Ombre du vent a un peu l'aspect d'une enquête, et on veut découvrir le fin mot de l'histoire ! Ce livre est, pour l'instant, ma lecture préférée de l'année.
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A la base, ce livre ne me tentait vraiment pas plus que ça. Et puis, une amie m’a dit qu’elle avait pleuré en le lisant, et comme J’ADORE pleurer en lisant un livre, je me suis laissée tenter.

ET J’AI TELLEMENT BIEN FAIT. Ce livre est incroyable, même si dès le départ, le sujet abordé ne respire pas franchement la joie.

A 26 ans, Emile est diagnostiqué d’un Alzheimer précoce, et apprend qu’il ne lui reste plus que deux ans d’espérance de vie (peut-être moins). Alors plutôt que de passer le temps qui lui reste à l’hôpital, il achète un camping-car pour partir faire un ultime voyage autour de la France, pour renouer avec la nature et avec lui-même. Avant de partir, il passe une annonce pour potentiellement embarquer avec lui un compagnon de voyage… Qui s’avère être Joanne, une jeune femme très silencieuse et renfermée qui semble porter avec elle un très, très lourd fardeau.

Au fil de leur périple, Emile et Joanne vont s’apprivoiser et apprendre à se connaître, et c’est tellement, tellement touchant. Je suis tellement fan de leur relation et de l’évolution qu’elle a eu tout au long du livre.
Les personnages sont tellement humains, ils évoluent aussi énormément, et je me suis très vite attachée à eux. La première partie du roman est très good vibes je trouve, malgré le sujet du livre. Mais c’est plein de nature, d’aventures, de soleil ça a un peu une ambiance de vacances.

La deuxième partie, où on en apprend plus sur Joanne devient un peu plus sombre et moins légère (et comporte peut être aussi quelques longueurs). Mais peu importe, j’ai été incapable de poser ce livre avant de l’avoir fini (j’ai englouti les plus de 800 pages en une journée). Et honnêtement, il y a très peu de livres qui m’ont autant brisée que celui-là. J’ai pleuré sans m’arrêter pendant les 200 dernières pages (sans compter les autres passages où j’avais lâché quelques petites larmes).

Ce livre m’a retournée, m’a brisé le coeur et reconstruit de tellement de façon différentes. J’ai tout aimé, il est incroyable.
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date : 09-01-2022
Je dois dire que ma lecture m’a laissé un peu mitigée. En fait la lecture de ce recueil m’a laissé une impression bizarre, comme si je liais quelque chose qui ne m’étais pas destiné. J’avais l’impression d’être une intruse.

Je reconnais totalement la valeur de ce recueil, parce que je considère que l’art à toujours une part plus ou moins importante d’intimité, une dimension personnelle. Mais sur ce coup là, je dois avouer que je n’y ai pas été réceptive. Et je pense que c’est aussi au fait que les thèmes qui y sont abordés ne sont pas les thèmes qui me touchent le plus de manière générale.
Pour parler d’un aspect qui ne concerne que moi, je dois aussi avouer qu’en poésie, je préfère largement les poèmes en vers, avec des rimes, ce qui ici n’est pas le cas, puisqu’il me semble que la plupart des poèmes sont écrits en proses.

J’ai eu aussi un peu de mal avec la mise en page de certains poèmes, notamment lorsque des phrases étaient coupées en plein milieu. C’est un parti pris que je peux adorer, comme ça avait été le cas dans le livre “Charlotte” de David Foenkinos, mais là j’ai pas été réceptive à la façon dont cela a été fait. Encore une fois, c’est purement subjectif ! Mais du coup, certains découpages cassaient plutôt mon rythme de lecture, et ça me sortait un peu de la poésie.

Après, il y a certains poèmes que j’ai bien aimés, et sur lesquels je me suis attardée quelques instants. J’ai aussi une préférence pour la dernière partie, “guérison”. Je suis aussi très fan des dessins qui accompagnent les poèmes tout au long de la lecture.

En fait, il est à mon sens fort probable que ce recueil soit un genre d’autobiographie, une forme d’exutoire peut être, un témoignage de l’auteure sur certains événements de sa vie. Et le fait que moi, personnellement, je n’ai pas été réceptive ne veut pas dire qu’il n’a aucune valeur, bien au contraire ! Je pense vraiment que beaucoup de gens ont pu se retrouver dans ces lignes, et c’est trop bien qu’à travers son oeuvre, l’auteure puisse montrer à ces personnes qu’elles ne sont pas seules. Un autre rôle de l’art est pour moi d’apaiser les coeurs, et je pense qu’à ce niveau, ce livre a su relever le défi.
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Dernière lecture en date : le tome 1 de la trilogie (à moins qu'un tome 4 soit prévu ?) Broadway Limited !

Ce petit roman (c'est faux, c'est un pavé) commence à New York en hiver 1948, lorsqu'un jeune français, Jocelyn Brouillard débarque à la pension Giboulée un peu par erreur... Car problème, la pension Giboulée n'admet aucun garçon ! Heureusement, Jocelyn semble avoir une bonne étoile, et la directrice de la pension (aka le Dragon) l'autorise à rester au moins pour un mois. Et à partir de là, on va suivre le parcours de Jocelyn, mais aussi de Chic, Page, Manhattan, et Hadley, qui rêvent toutes de devenir actrices, danseuses, comédiennes... C'est donc dans cet univers artistique que l'auteure nous entraîne, à travers le portraits de ces personnages, toutes et tous pleins de talents, de rêves, et d'espoirs.

Alors tout d'abord, j'ai beaucoup aimé l'univers hivernale et New Yorkais dans lequel Malika Ferdjoukh plante son décor et ses personnages. Personnages qui dont pour la plupart assez attachants, même si, petit bémol, j'ai eu un peu de mal a les différencier, notamment parmi les personnages secondaires... mais au moment où je commençait un peu à trouver le temps long, vers la moitié du livre, arrivé l'histoire d'Hadley. Hadley, qui je pense, est mon personnage coup de cœur. J'aime beaucoup sa personnalité un peu secrète, et son histoire m'a beaucoup touchée (et m'a frustrée, m'a mise dans tous mes états en fait).

C'était aussi archi interessant de découvrir les secrets de tous les personnages, et d'ailleurs j'espère que le tome 2 va démêler certains de ces secrets ! Et y'a aussi certains personnages secondaires que j'aimerais connaître un peu plus, notamment la directrice de la pension Giboulée. Honnêtement, elle est incroyable.

Pour ce qui est du style d'écriture, j'ai beaucoup aimé. Il est doux, simple, un peu à l'image des personnages (même si aucun ils sont loin d'être simples). C'était aussi trop cool d'en savoir plus sur le Brodway des années 40. Tout le livre regorge de référence de films, musiques, acteurs, chanteurs et danseurs de cette période. Rajouter à cela quelques passages sur le monde d'après guerre, et j'étais conquise.

En bref, c'était vraiment une bonne lecture, et j'ai hâte de pouvoir lire les tomes suivants pour retrouver tout ces personnages, et surtout en apprendre plus sur leurs secrets respectifs !
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date : 02-01-2022
Du haut de ses 33 ans, Charlie Gordon à le QI d'un enfant de 6 ans. Malgré cela, son plus grand rêve a toujours été de devenir intelligent. Rêve qu'il semble pouvoir atteindre, lorsqu'un jour, on lui offre de participer à un programme expérimental, grâce auquel il devient rapidement un génie...

Je dois avouer que j'ai eu un peu de mal à me plonger dans le livre. Puisque tout est raconté du point de vue de Charlie le début est très factuel, et écrit avec de nombreuses fautes d'orthographe.
Et puis au fur et à mesure que j'avançais, la lecture m'a de plus en plus emportée.

J'ai un avis très mitigé sur le personnage de Charlie. Tout au long du livre, il apparait à mes yeux, comme aux yeux des autres personnages, comme inaccessible. Quand son intelligence n'est pas en dessous de la moyenne, elle est bien, bien au dessus. Mais dans les cas, ses capacités en relationnel sont moindres, vestiges d'une enfance compliquée, ce qui l'a rendu parfois assez antipathique à mes yeux.

Mais d'autres fois, je n'avais que de la compassion pour lui.

Par contre j'ai beaucoup aimé ce livre pour toute la réflexion qu'il m'a permis d'avoir. L'intelligence est-elle vraiment nécessaire pour être heureux ? Ne peut-elle pas, dans certains cas, être un fardeau ? Et quel rôle joue la société dans tout ça ?

Pour ce qui est de la fin, autant dire que je ne m'y attendais pas, et je la trouve assez émouvante et dans un sens cruelle, mais, un peu comme pour 1984, je n'arrive pas à savoir si c'est une fin satisfaisante aux yeux du personnage principal.
Toujours est-il que j'ai pas mal apprécié cette lecture, même si honnêtement pas toujours simple.
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Ce livre, ça faisait vraiment une éternité que j'avais envie de le lire. Du coup, j'avais de grandes attentes, forcement ! Mais je dois dire que j'ai été assez déçue. Surtout par la première partie, en fait.

Mais bon, déjà, un petit résumé :

Tout commence dans un salon anglais de l'époque victorienne. Lord Henry, un homme cynique qui aime défendre des points de vue immoraux, fait la connaissance d'un beau jeune homme assez naïf qui sert de modèle à son ami le peintre Basil Hallward. Une fois le tableau fini, Dorian le récupère pour l'afficher chez lui. Mais après un souhait mal formulé, il semblerait que le portrait vieillirait à la place du jeune homme, tout en absorbant ses vices et ses péchés. Protéger son terrible secret devient alors une obsession pour Dorian... Mais à quel prix ?

Honnêtement, ce livre avait tout pour me plaire. Je trouvais le scénario super original, et le livre aborde les thèmes de l'art, de la moralité, du temps qui passe... Que des sujets qui m'intéressent en somme ! Mais pourtant j'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans l'histoire. Et surtout, j'ai eu énormément de mal avec le personnage de Dorian, que j'ai trouvé insupportable, entre ça et son histoire d'amour complétement absurde avec la comédienne Sybil Vane, j'ai vraiment pas aimé la première partie de ce livre.

A partir de la deuxième moitié, ça va mieux. L'action et la problématique autour du portrait son plus présentes, j'ai trouvé l'histoire, et même le personnage de Dorian moins niais, c'était plus agréable. Donc dans l'ensemble, je n'ai pas détesté ce livre, il y a même certains éléments que j'ai réussi à apprécier. Mais bon, même malgré tout ça, ce livre est biiiien bien loin d'être un coup de coeur !
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date : 15-11-2021
Ce livre, dont je n’avais jamais entendu parler avant, m’a attiré grâce à sa couverture. C’est vrai que la vague de Kanagawa, c’est stylé.
Je suis donc tombée amoureuse de la couverture amoureuse, bon. Et puis, je suis tombée amoureuse de tout le reste.

Dans ce livre, on suit l’histoire de Miguel, un adolescent lisboète qui a le don incroyable de rentrer dans les tableaux de grands maîtres, de les visiter, et de les améliorer. De Vincent Van Gogh à Monet, en passant par Modigliani, Otto Dix ou Miro, au fil des ans, Miguel a traversé une multitude de tableaux, rencontrant leurs habitants… Et April, une jeune fille anglaise qui a elle le aussi le don de traverser les peintures.
Mais modifier ainsi des peintures aussi célèbres peut il rester impuni ? Quand la frontière entre tableau et réalité est franchie et que les proches de Miguel sont menacés, comment le jeune homme peut-il empêcher La Protection des Oeuvres de détruire son monde ?

Bon déjà, je trouve l’idée de base incroyable. J’aime l’art, et l’idée de voyager d’une peinture à l’autre me séduit beaucoup, je dois l’avouer. Avoir l’opportunité de me promener dans les pentures de Van Gogh, Magritte, Klimt, de faire partie d’une oeuvre, ça doit être juste fou. Et l’histoire est très bien menée. L’alternance entre les chapitres se déroulant dans les tableaux et ceux dans la “vraie vie” était archi intéressante, et le suspense. LE SUSPENSE. Vraiment c’était incroyable, je ne pouvait littéralement pas lâcher le bouquin, était juste fou ! Et plus je lisais, plus les éléments se multiplient, jusqu’à la fin où tout s’imbriquait parfaitement ( d’ailleurs je l’avais pas vue venir la fin ). Vraiment, l’enchainement des évènements était incroyable, ça m’a retourné le cerveau.

L’histoire était parfois un peu violente et crue, mais aussi très douce et poétique, cocktail à mes yeux assez inévitable quand on joue avec l’art. J’ai aussi beaucoup aimé le style d’écriture,
sans trop pouvoir m’expliquer pourquoi.
J’ai aussi bien aimé les personnages, très différents les uns des autres, mais aussi très attachants.

Enfin bref. Tout ça pour dire que j’ai adoré ce livre, beaucoup plus que ce à quoi je m’attendait. A l’image d’un tableau, cette histoire a été une succession d’émotion, de la joie, de l’émerveillement, de la stupeur, de la curiosité, de l’angoisse pour les personnages, la satisfaction de comprendre le fin mot de l’histoire. A partir de maintenant, je vais me faire un devoir de faire connaître ce livre à au moins quelques personnes, parce que j’en avais jamais entendu parler avant, alors qu’il et pourtant incroyable, coloré (comme en témoigne le titre) et touchant. Et je pense qu’il s’agit quand même d’un coup de coeur !
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Et dans la foulée, me voilà partie pour écrire ma petite critique du tome 3 de cette saga incroyable.



Bon, je vais commencer par le point négatif de ce roman ( comme ça je finirait par les nombreux points positifs !! ).

Le Pôle me manque. L’histoire de ce tome 3 se déroule pratiquement entièrement sur une arche du nom de Babel, où les gens sont très, trèèès (genre, vraiment très) à cheval sur les règles, la morale et la discipline. Donc autant dire qu’on est loin de l’ambiance joyeuse, fantaisiste et un peu folle de celle du Pôle et surtout, de celle de la Citacielle. Babel est vraiment le contraire du fun.

J’avoue qu’il y a aussi un truc qui m’a chiffonné dans ce tome, mais bon, c’est un spoiler ( et aussi, ça s’est heureusement beaucoup amélioré à la fin du tome hihi ).

Bon, maintenant, pour ce qui est des points positifs :

Les retournements de situation sont toujours autant WAOW. Vraiment, l’auteure veut notre mort à ce stade. En tout cas à ce stade là, c’était complique d’être déçue. L’ennui, c’est que ce tome apporte autant de réponses que de nouvelles questions. Espérons que le quatrième ( et dernier ) tome pourra éclairé ma lanterne. 

Aussi, le style d’écriture, mon dieu, il est toujours aussi incroyablement beau. Christelle Dabos a une de ces plumes, vraiment ça me subjugue. Non mais sérieusement, je suis loin d’exagérer que je dis que je n’ai jamais ressenti autant d’émotions en même temps en lisant un livre. Et le style d’écriture joue un grand rôle là dedans, tout autant que l’univers qui est incroyable, tellement bien pensé, original et imaginatif, et facile à comprendre. Et l’histoire elle aussi participe aussi beaucoup.

Autre point fort de ce tome, c’est l’évolution d’Ophélie. C’est jusqu’ici le tome où elle prend le plus son indépendance, où elle apprend à vraiment se débrouiller ( pratiquement ) toute seule, et c’est vraiment cool de la voir se prendre en main comme, qu’elle ne dépende plus de qui que ce soit. Ça a renforcé l’amour que j’avais pour ce personnage je dois dire.

Honnêtement, je ne pense pas que ce troisième tome soit mon préféré, mais il a participé a renforcé encore plus mon amour pour cette saga. 

J’ai très hâte de lire le tome 4, même si je vais pas vous mentir, il me fait un peu peur ( une amie m’a dit que je n’étais pas prête, je la crois sur parole ).
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Alors : on s’attaque à un sacré morceau là : j’ai nommé : Le tome 2 de la Passe-Miroir ( aka Les Disparus du Clairedelune ). 



Enfin bref. Tout comme j’avais adoré le tome 1, j’ai adoré le tome 2. Même si au départ, je préférais le tome 1. J’ai trouvé que le début du tome 2 allait un peu trop lentement, qu’il ne se passait pas grand chose. Mais disons que les 200 dernières pages m’ont donné tord ( doux euphémisme ).

Vraiment, je n’ai pas eu le temps de respirer. Je veux dire, peut on parler du nombre de retournement de situation ?? Et je n’en avais vu venir aucun, to be honest.
Mais vraiment, ce livre m’a mindfuck, à un point que je n’ai jamais atteint je crois. J’avais envie de hurler tellement les plot twist et l’histoire étaient brillants. Et la fin de ce tome a clairement failli m’achever. (Heureusement que j’ai pu commencer le tome 3 directement après).
Vraiment, je ne pouvais plus poser ce bouquin avant d’avoir fini la dernière page, et encore. J’étais vraiment en vrac quand je l’ai fini, ahah.

Une raison qui explique mon coup de coeur monumental pour ce livre ( et on va pas se mentir, pour cette saga ), c’est le style d’écriture. MON DIEU QU’EST CE QUE J’AIME LE STYLE D’ÉCRITURE.
Il est subtil, original, drôle, mais aussi super poétique, vraiment, tout ce que j’aime de tout mon coeur.

Et je me suis fait la réflexion qu’en fait, la Passe-Miroir, c’est la saga que j’aurais aimé écrire. C’est un bon résumé de l’ampleur de mon coup de coeur, je crois.
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J’avoue avoir emprunté ce livre à la médiathèque parce qu'une amie avait lu ce livre avant moi, et j’étais curieuse.

Ce livre de fantasy raconte l’histoire d’Elisabeth une adolescente orpheline ( hm, un peu cliché ) qui a été élevée dans une Grande Bibliothèque, un lieu où sont réunis des grimoires magiques, parfois très dangereux. Car oui, les livres, pour la plupart, sont vivants ! ( franchement, ça c’est cool ). C’est dans cette environnement qu’elle a grandi avec l’intime conviction que tous les sorciers sont des êtres maléfiques, autant que les démons. Pourtant, lorsqu’elle fait la rencontre de Nathaniel Thorn, un sorcier à peine plus âgé qu’elle, à la suite d’un concours de circonstances plutôt fâcheux qui la fait accusée d’un crime qu’elle n’a pas connue, il se pourrait que ses convictions soient un peu ébranlées… Surtout quand elle se retrouve prise au coeur d’une conspiration vieille de plusieurs siècles !

Au départ j’ai eu un peu de mal à me plonger dans l’histoire. Je ne me sentais pas trop concernée par Elisabeth, et le style d’écriture me paraissait parfois un peu lourd, avec des phrases longues et remplies de descriptions un peu compliquées. Mais j’ai fini par m’habituer à ce style, je l’ai même plutôt apprécié dans l’ensemble. Et quand Elisabeth quitte la Grande Bibliothèque, j’ai eu la sensation que l’histoire et l’action commençaient vraiment, et j’ai pu me laissée entrainée dans l’histoire. 

 J’ai bien aimé les personnages principaux, même si à certains moment, Elisabeth m’a un peu agacée ( sans véritable raison, je dois l’avouer ). Mais par contre. Silas. Je l’ai a-do-ré. C’est le personnage qui m’a le plus touché du livre je pense, et j’ai beaucoup aimé sa relation avec Nathaniel.

Concernant le rythme de l’histoire, je l’ai trouvé légèrement inégal par moments, avec des passages qui s’étiraient en longueur sans grande nécessité, et d’autres paraissaient un peu accélérés. La fin notamment, où j’ai eu l’impression que les évènements s’enchainaient un peu vite. Bon, après je dis ça, mais j’ai été quand même pas mal émue.

Et pardon mais je ne peux pas ne pas mentionner la toute dernière page. Je déteste les fins ouvertes, bon sang. Alors je préfère rester optimiste et croire qu’il s’est passé ce que j’aimerais qu’il se soit passer, mais ne pas en avoir la certitude me rend folle. ( d’ailleurs, si vous l’avez lu, je me ferais un plaisir de discuter de cette fin avec vous ! ).

Enfin bref, bien que ce roman ne soit pas un coup de coeur, j’ai vraiment aimé cette lecture.
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J’étais tellement enthousiaste à l’idée de commencer ce livre, si vous saviez à quel point je l’avais attendu ! Et je dois dire qu’il a surpassé mes espérances.

La vie Invisible d’Addie Larue raconte, comme son nom l’indique, la vie d’Addie, une petite française née au XVIIe siècle. Sa trèèèès longue vie. Parce qu’Addie est maudite, figurez vous, condamnée à passer une vie de solitude et d’oublie après avoir passé un pacte avec un dieu pas totalement bienveillant (et oui, ni plu ni moins). Maintenant doté de l’immortalité, libérée de toute attache avec qui que ce soit, Addie va traverser les siècles et la planète, enchainer les rencontres, jusqu’à un jour certain, à New York, qui va bouleverser sa vie…



Ce qui m’avait le plus attiré à l’origine dans ce livre ( au delà du fait qu’il a été écrit par V. E. Schwab, qui a écrit une de mes trilogies préférées ), c’était le fait que certains évènements se passaient… Dans le passé. Aux XVIIe, XVIIIe, XIXe siècle. J’adore l’histoire, et me plonger dans celle d’Addie, dans son petit univers de campagne m’a fait beaucoup de bien, c’était une petite bulle de tranquillité, comme la lecture de l’intégralité du livre en fait, même si la vie d’Addie n’a rien de paisible.

J’ai aussi adoré l’aura de mystère qui recouvre toute l’histoire, j’étais si intriguée !C’est ce qui m’a donné tellement envie de dévorer chaque page à toute vitesse pour avoir le fin mot de l’histoire… Où plutôt, DES histoires ? Parce que c’était trop intéressant de voir les chemins des différents personnages se croiser. J’ai adoré la relation entre Addie et Henry ( et oui, je suis team Henry ), ils sont tellement mignons. Et à vrai dire, j’ai aimé tous les personnages ou presque ( avec une mention spéciale pour Sam, sur qui j’ai eu un crush alors qu’elle n’apparait de 10 pages ).

Mais mon plus gros coup de coeur, en terme de personnage, reste Addie ( ce qui est assez étonnant, en général je ne suis pas fan des personnages principaux ), mais je suis fan de sa personnalité : elle est attachante, optimiste, curieuse, courageuse, sensible et le plus important : elle aime l’art. Que demander de plus ?

Eh bien je vous le donne en mille, on pourrait demander un certain style d’écriture. Qui lui aussi est au rendez vous. La plume de V.E. Schwab est tellement belle, pleine de charme et poétique.

Sérieusement, je comprends pourquoi un grand nombre de personnes n’a pas aimé ce livre. C’est vrai qu’il y a des passages qui peuvent paraitre un peu longs sans que rien ne se passe. Mais j’ai adoré ces petits moments de vie racontés, comme à la lueur d’une bougie, pleins de détails et de belles images.

Concernant, la fin (déjà j’ai pas pleuré, oups), je ne m’y attendais pas du touuuut ! J’avais deviné certains éléments au fil de ma lecture mais le grand final m’a prise par surprise. Au départ j’ai été un peu déçue de cette fin, mais au final j’ai compris que cette fin était parfaite (l’espèce de mise en abîme qu’on y trouve était incroyable). 

Alors conclusion : ce livre est un gros coup de coeur.

La Vie Invisible d’Addie Larue - 10/10
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date : 12-09-2021
Lolita est une jeune femme qui du haut de ses 22 ans, est complétement perdue. Elle ne sait pas qui elle est, ce qu'elle recherche, ce qu'elle veut faire de sa vie. Alors, elle décide de partir en voyage au Vietnam, seule, dans l'espoir de se trouver elle-même. Au fil de son voyage, des rencontres qu'elle va faire, et es pluies diluviennes, elle va finalement arriver jusqu'au petit village de Sapa, situé dans des montagnes vietnamiennes. C'est là qu'elle va faire la connaissance, quelques jours avant de rentrer chez elle, d'une petite fille vietnamienne.
Même une fois avoir repris le cours de son existence, désormais au Canada, elle sera incapable de l'oublier, et la voilà repartie au Vietnam, quelques mois plus tard, dans l'espoir fou de retrouver cette petite fille. Ainsi va naître un lien très fort entre les deux filles, en dépit de leurs nombreuses différences. Ensemble, elles apprendront à grandir, à s'affirmer, à faire leurs choix, et à vivre.

J'ai été très touchée par ce roman graphique, faisant office d'autobiographie. C'était si émouvant de voir le lien si fort et si sincère qui se créé entre Lolita et cette petite fille vietnamienne, que tout semble opposer en apparence. Au fil des années, on voit leur amitié et l'amour qu'elles se portent grandir en même temps qu'elles.
Mais pourtant, tout n'est pas rose. Elles sont chacune emmêlées dans leurs soucis personnelles, et plus les années passent et plus leur relation devient complexe et profonde. C'était si intéressant et touchant à lire, comme évolution !
C'était aussi vraiment beau de voir comment deux êtres humains que tout semble opposer peuvent malgré tout avoir un lien aussi profond. Je me répète peut-être, mais la relation décrite dans ce roman graphique est tellement belle et sincère.

En même temps, ce roman graphique nous permet de découvrir un peu l'histoire, et vite fait les paysages, les traditions et les codes du Vietnam, c'était super intéressant.

En parallèle c'est aussi rassurant de les voir toutes les deux faire leurs choix, trouver leur voie. Je pense que ce que j'ai envie de retenir de ce livre, c'est qu'il montre que peu importe à quel point on peu être perdu.es, on finit quand même par trouver son chemin.
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date : 12-09-2021
Ce petit livre tout en douceur raconte l'histoire d'Anna, une petite fille orpheline et solitaire qui est envoyée sur la côte est de l'Angleterre pour profiter du climat. D'abord réticente a rencontrer qui que ce soit, elle va faire la connaissance, un peu par hasard, de Marnie, enfant de son âge qui habite pour l'été la villa au bord des marais qui intrigue tant Anna. Très vite, les deux filles vont se lier d'une amitié très forte, qu'elles souhaitent à tout prix garder secrète. Mais un mystère semble entourer l'existence de Marnie, et de curieux phénomène se produisent en sa compagnie...

J'ai vraiment adoré ce livre. Déjà l'ambiance est très douce, très paisible, à l'image de Little Overton, le petit village où Anna va faire la connaissance de Marnie. Ça fait effectivement très ambiance animé japonais, pas étonnant donc que le livre ai été adapté par les studio Ghibli ( j'ai d'ailleurs très envie de voir le film maintenant ).
J'ai adoré voir l'évolution d'Anna tout au long du livre. Elle passe d'une petite fille solitaire, rejetée par ceux de son âge et très renfermée sur elle même, à quelqu'un de beaucoup plus épanouie, ouverte, et a appris à accepter le fait qu'elle puisse être différente... et que ça ne soit pas grave.

J'avoue avoir préféré la deuxième partie du livre, où tout s'emmêle, avant de finalement se dénouer jusqu'à la fin. J'ai adoré les différents plot twist qu'on découvre au fur et à mesure, et certains m'ont même mis les larmes aux yeux. Tout est très subtile, je trouve, très mesuré, dans la manière dont l'histoire est racontée, mais c'est justement à la fin que je me suis rendue compte d'à quel point.

Lire ce livre c'était un peu comme être coincée dans une petite bulle de calme, donc c'est déjà très agréable, et ça fait écho à ce que ressentais Anna en se perdant dans son imagination concernant Marnie, sa maison et sa vie, avant qu'elles ne se rencontrent.

Bref, ce livre est adorable, si vous avez envie d'une petite lecture toute tranquille, je vous le recommande vraiment !
(+ point bonus à la couverture qui est vraiment chouette).

Souvenirs de Marnie - 08/10
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J’étais très contente de commencer la lecture de ce second tome, et de retrouver ces personnages que j’aime tant (enfin, pour la plupart).

Au départ, j’ai eu un peu de mal à me plonger dedans. Déjà, parce que c’est un peu dur de se souvenir de tous les détails du tome précédent, que j’ai lu plusieurs mois plus tôt. Ensuite, parce que j’ai lu ce livre en anglais. Et je pense que c’est le livre le plus dur que j’ai lu en anglais.

Mais j’ai finit par me laissée emporter par l’histoire et les personnages. Le moins que l’on puisse dire, c’est que je ne me suis pas ennuyée ! L’intrigue regorge de pleins de petits détails, ne nous lâche pas un seul instant, et c’était vraiment chouette. C’était un vrai plaisir de voir les relations évoluer entre les personnages ( et pas forcément les personnages principaux, je vais revenir là dessus ), à ce sujet, je tiens à rappeler que la page 417 est à jamais dans mon coeur et que j’attendais ce moment depuis TRÈS longtemps.
On suit beaucoup de personnages différents, et si c’est quelque chose qui m’avait un peu perdue dans le tome 1, là j’ai trouvé ça vraiment cool de suivre l’évolution d’autant de personnages. J’avoue qu’il y mena certains que j’aurais bien aimé voir un peu plus, mais qui sait, nous verrons dans le tome 3 ? (J’ai D’ÉNORMES attentes pour le tome 3).

Par contre, le gros point noir de ce livre c’est : The miscommunication trope. Sérieusement les gars, communiquez ! Et là, je parle essentiellement du quatuor James / Cordelia / Lucie / Matthew. Ces quatre personnages sont censés être très liés, extrêmement proches, mais il se mentent constamment ! Leurs relations dans ce tome se résument à des malentendus, des mensonges et des secrets. Et j’ai trouvé ça vraiment hyper frustrant. Et j’espère grandement que ce problème va être réglé dans le tome 3, parce qu’au bout de presque 600 pages, c’est pas très agréable. 

A part ça, vraiment j’ai adoré ce tome (mis à part quelques autres petites déceptions personnelles par-ci par-là ).
Aussi, j’ai adoré le cadre station temporel, parce que ça se passe (encore une fois), à Londres, au début du XXe siècle. De quoi faire de moi une lectrice comblée.

Et maintenant, me voilà condamnée à attendre un tome 3 sans aucune idée de sa date de sortie. Ahah.
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J’avais commencé ce livre il y a loooongtemps. Genre, vraiment longtemps. Et je dois dire, sans gros succès.

Comme l’indique le titre, ce livre raconte l’histoire de Veronika donc, une jeune femme d’une vingtaine d’années qui selon toute vraisemblance, à tout pour être heureuse. Elle a un métier raisonnable et vit dans un petit appartement, s'offrant ainsi le plaisir d'avoir un coin à elle. Elle fréquente les bars, rencontre des hommes. Pourtant, Veronika n'est pas heureuse. Quelque chose lui manque. Alors, le matin du 11 novembre 1997, Veronika décide de mourir. Ayant raté sa tentative de suicide, Veronika atterrit dans un hôpital psychiatrique réputé, mais pas forcement dans le bon sens du terme. 
Mais au fil des rencontres qu’elle fera au cours de son internement, persuadée d’être condamnée, Veronika découvre des plaisirs encore jamais expérimentés, et qu’il peut toujours exister un sens à la vie, dépendant seulement de celui qu’on souhaite lui donner.

J’ai finalement repris le tout depuis le début le mois dernier. J’ai rencontré les mêmes difficultés que la première fois. Certains éléments sont répétés plusieurs fois, comme si en tant que lecteur, on pourrait avoir du mal à comprendre… Le rythme est d’abord assez lent, puis rapide d’un coup, avant de redevenir lent, et à la fin, tout s’accélère de nouveau…
J’ai au départ eu un peu de mal avec le personnage de Veronika, que je trouvais trop lisse, sans trop d’émotions, ni de profondeur… Mais passées les 100 premières pages, ça allait mieux. On découvre une autre facette de Veronika, en même temps qu’elle d’ailleurs, et jai commencé à un peu plus l’apprécier. On va aussi suivre le parcours d’autres personnages qui croiseront la route de Veronika, et j’ai bien aimé la plupart d’entre eux.

Et puis en soi, le message final du livre est intéressant, mais je suis un peu passée à travers, sans vraiment en saisir pleinement la portée j’ai l’impression. En fait, ce livre ressemble sur beaucoup de points à The Midnight Library, notamment sur le message qu’ils apportent justement, mais les deux sont traités d’une manière radicalement différente. Le livre de Paulo Coelho aborde les choses d’une manière beaucoup plus crue, et aussi un peu plus distante. En plus de tout ça, je ne peux pas dire que j’ai accroché au style d’écriture de Paulo Coelho, que j’ai trouvé très simple, mais sans dégager rien de plus qu’un peu de condescendance par moment ( ça reste seulement mon impression ).

Bon en soi, ce livre n’a pas été une mauvaise lecture, c’est simplement qu’il ne m’a pas marquée outre mesure :/
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Je dois avouer que même si j’attendais de lire ce livre depuis longtemps, c’est majoritairement le fait de le voir partout sur tiktok qui m’a fait sauté le pas pour l’acheter. 

Eeet, comme je m’y attendais, j’ai adoré.

Le premier tome de cette saga suit l’histoire d’Audrey Rose Wadsworth, une jeune femme vivant à Londres au XIXe siècle, et dont les centres d’intérêts sont, aux yeux de son père, très discutables. Aux côtés de son oncle, Audrey Rose apprend à pratiquer… des autopsies (oui, j’avais vraiment envie de lire ce livre). Seulement voilà, de fil en aiguille, elle va se retrouver embarquer au cours d’une enquête sur les traces de nul autre que Jack l’éventreur. Heureusement, elle n’est pas seule et peut compter sur le soutien d’un élève brillant de son oncle, Thomas Cresswell. Brillant, mais très agaçant.
Cette enquête va mener les deux compères aux quatre coins de Londres, sur des pistes de plus en plus mystérieuses… et de plus en plus personnelles.

Tout d’abord, j’ai adoré le cadre spatio-temporel. Je pense que les histoires situées à Londres dans le passé sont mes préférées ( il suffit de voir Shades of Magic, ou The Infernal Devices, deux trilogies que j’aime infiniment ).
Ensuite, j’aime beaucoup les histoires qui mettent en scène des enquêtes, et en l’occurence, j’étais d’autant plus curieuse de voir comment toute l’histoire de Jack The Ripper serait traitée. Je ne suis pas déçue. C’était intrigant, un peu flippant parfois, et je ne me suis pas ennuyée un seul instant.
Les personnages, et surtout les deux personnages principaux sont vraiment intéressant, et il y a je trouve une bonne alchimie entre eux. A ce sujet, j’ai très hâte de voir comment elle va évoluer entre eux au cours des trois tomes qu’il me reste à lire.

Concernant la fin, encore une fois, je ne l’avais vraiment pas venu venir. Je me doutais que la solution qu’on nous proposait comme évidente n’était pas la bonne, mais de là à deviner quel serait le dénouement, je n’y étais pas du tout, et je suis très contente d’avoir été surprise à ce point ( et on va pas se mentir, un peu horrifiée quand même ). Ceci dit, il y a quelques éléments que j’avais réussi à deviner, et je dois avouer que je ne suis pas peu fière.
Et je suis curieuse et impatiente de voir si j’arriverais toujours à deviner certains éléments de la suite de cette série ! Affaire à suivre donc…
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date : 21-08-2021
Pour être honnête, je ne m’attendais pas à autant aimer ce livre.
C’est le premier livre de Guillaume Musso que je lis, et c’est une bonne découverte je dois dire !

Déjà j’ai été assez intéressée par l’idée de départ ( étant légèrement écrivaine, j’avoue que j’ai souvent rêvé qu’un de mes personnage débarque dans ma vie ).

Après une rupture amoureuse particulièrement brutale avec une pianiste, le très célèbre écrivain Tom Boyd a perdu toute envie de vivre, et surtout, toute inspiration. C’est le syndrome de la page blanche.
Mais lorsqu’en pleine nuit, un personnage de ses livres atterrit dans son salon, elle lui propose un marché : s’il continue l’écriture de ses romans et réussit à la renvoyer chez elle, dans son univers fictif, elle l’aidera à reconquérir sa pianiste…
Les deux compères s’embarquent donc dans une grande aventure, des Etats Unis à Paris, en passant par le Mexique, au court de laquelle ils vont apprendre à se connaitre, voire même à s’apprécier, malgré leurs personnalités et leurs réalités bien différentes…

J’ai adoré la première moitié du roman, où Tom et Billie débutent leur aventure, où ils font connaissance l’un avec l’autre, même si cette découverte de l’autre se fait beaucoup en se criant dessus. J’ai adoré le personnage de Billie d’ailleurs, un personnage très solaire, pleine de vie, généreuse et très, très honnête.

Pour ce qui est de la deuxième moitié du roman, je l’ai aussi beaucoup aimée, mais l’ambiance différait un peu du début. Le rythme de l’histoire était plus fragmenté, et des fois certains “interruptions” dans l’histoire principale m’ont un peu sortie du livre, même si je comprends tout à fait l’intérêt et le rôle qu’elles jouaient.

Enfin, pour parler brièvement de la fin, je vais juste dire que je ne m’y attendais pas, mais alors pas du tout, et ça ne m’a jamais traversé l’esprit qu’elle puisse se dérouler de cette façon ahah. Au départ elle m’avait même un peu déçue, mais au final je trouve que c’est une très bonne fin.

En tout cas, ce roman m’a bien donné envie de lire d’avantage de livres de Guillaume Musso, j’essaierai de m’en procurer dans les mois à venir !
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date : 21-08-2021
Ok, alors, je l’annonce, j’ai beaucoup trop de choses à dire à propos de ce livre. J’ai pour l’instant lu 32 livres en 2021, et celui-ci est mon plus grand coup de coeur. A vrai dire, il est dans mon top 3 de mes livres préférés de tous les temps.

Il faut d’ailleurs mentionner que le livre Humains de Matt Haig est lui aussi un de mes livres préférés, c’est donc tout naturellement que je me suis jetée sur The Midnight Library (que j’ai lu en anglais).

Vraiment, je ne sais même pas par où commencer.
J’ai été conquise dès le résumé du livre et je ne suis pas, mais alors pas du tout, déçue. Je trouve l’idée de base du livre vraiment originale, touchante, et ça m‘a donné envie d’en savoir plus.

Déjà, je suis fan de la manière d’écrire de Matt Haig. Pourtant, sa plume n’a rien de spécial en soi. Elle est très très simple (pour avoir lu le livre en anglais, il ne m’a posé aucune vraiment difficulté). Mais après tout, pourquoi se compliquer la vie ? Cette simplicité apportent aux livres de cet auteur une grande honnêteté, de l’authenticité, et de la douceur, des qualités qui ne peuvent que conquérir mon coeur (ça rime en plus, bang bang).

Honnêtement, les livres de Matt Haig que j’ai lus jusqu’ici me bouleversent tous à leur manière, dans le sens où ils m’apportent énormément de choses positives, et remettent en question la manière dont je vois la vie, dans le bon sens du terme. Et encore une fois, j’ai appris énormément en lisant ce livre.

The Midnight Library m’a fait comprendre que j’étais surement faite pour vivre la vie que je vis actuellement, plus que tout autre. Que faire d’autres choix ne nous rend pas forcément plus heureux. Et que quoi qu’il arrive, ont a de la valeur, parfois plus qu’on ne le crois.
Et ça, c’est quand même rassurant. Les livres de Matt Haig sont rassurants.

Les livres de Matt Haig sont humains aussi. J’adore le fait que dans ses livres, les sciences, la philosophie, la vie de tout les jours et la condition humaine soient toutes mélangées sans distinction, de sorte à former un tout. Les humains y sont représentés dans ce qu’ils ont de meilleur, comme de pire, dans leurs beautés et leurs failles, et c’est tout ce qui fait l’ambiguïté à mes yeux si caractéristique des êtres humains. Ici, je ne parle pas seulement de The Midnight Library, mais aussi de Humains, et peut être même aussi La Forêt Interdite, un autre livre du même auteur (que j’avais, lui aussi adoré).

The Midnight Library a produit quelque chose en moi que je n’avais ressenti qu’en lisant Humains, et c’est quelque chose que j’adore, sans pouvoir expliqué pourquoi. Tout est si empreint de vérité, si accurate. Pourtant, quand je lis, je préfère me plonger dans un univers complètement différent du mien, pour m’évader. Mais The Midnight Library dépeint une réalité un peu fantastique, et je ne saurais pas expliquer pourquoi ça me plait autant.

Bon, je me doute que tout ceci est déjà assez long, je pourrais parler des livres de cet auteur (qui est probablement mon auteur préféré) pendant des heures, mais toutes les bonnes choses ont une fin.
J’attends avec impatience de lire d’autres de ses livres (notamment “How to Stop Time”), je vous en donnerais peut être des nouvelles dans les mois à suivre !
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Tombé en panne en plein milieu du désert un aviateur qui n'a jamais vraiment grandi va faire la rencontre d'un drôle de petit garçon, lui-même tombé de sa planète. Au fil des jours passés ensemble, l'aviateur, ayant aussi le rôle du narrateur, va apprendre à connaitre le Petit Prince, ses regrets, ses préoccupations et ses sources de joie. A travers ses yeux, l'aviateur va se reconnecter avec sa propre enfance. Et nul doute que cette rencontre inoubliable aura complétement changé sa vision de la vie.

En 16 ans d'existence, je n'avais jamais lu Le Petit Prince. Je connaissais bien sur l'histoire, et quelques extraits, mais c'est tout. Mais heureusement, j'ai remédié à ça ! Et j'ai eu un petit coup de coeur pour ce petit bouquin, je dois dire.
Le style d'écriture est tellement doux, tellement léger, naïf et innocent. Du coup, forcement, je ne pouvais qu'aimer.
Certains passages sont drôles, d'autres bien plus sérieux, et d'autres encore, ( mes préférés ) émouvants.
Celui avec le renard a d'ailleurs été mon préféré de tous ( et oui bon, j'ai pleuré. Je ne sais pas si les gens pleurent en lisant Le Petit Prince, mais ce fut mon cas ahah ).

Au delà de ça, même si tout semble très léger, et qu'une grande partie de l'histoire se place du point de vue du Petit Prince, racontée par le prisme de l'aviateur, apportant un regard enfantin et naïf sur les évènements, si on regarde un peu sous la surface, tout est un peu triste.
Entre le départ du Petit Prince de sa planète et les rencontres qu'il fera sur son chemin, tout et tout le monde est profondément seul. Chaque personne semble condamné à être figé dans sa solitude, sans aucune échappatoire.

Je pense que ce sont tous ces éléments qui m'ont fait autant aimé ce livre. Cette douceur et cette innocence évidentes qui camouflent délicatement un univers entièrement rempli de solitude et de mélancolie, et où chacun recherche désespérément la compagnie des autres pour se donner une raison de vivre.
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Avant d'entamer cette lecture, j'avais vu de nombreux avis passer, des avis négatifs pour la plupart, dans lesquels les gens exprimaient leur déception.
Alors en me plongeant dans ce livre, je ne m'attendais à rien. Mais ce fut une agréable surprise !

Je ne m'attendais pas à autant apprécier. Enfin, à vrai dire, j'ai eu un peu de mal à me plonger dans l'histoire, mais dès le moment où Lucy Gray et Coriolanus se rencontrent et que l'histoire commence véritablement, je me suis laissée entrainée. Alors certes, ce livre est très différent des Hunger Games.

L'histoire se déroule à l'occasion de la 10e édition des Hunger Games. Coriolanus Snow, jeune homme issu d'une famille autrefois fortunée, aujourd'hui en déroute à cause de la guerre, et étudiant à l'académie du Capitole, aspire à un avenir pavé de succès et de reconnaissance. Et il est prêt à tout pour y parvenir. Mais lorsqu'on lui assigne la fille du district 12 à préparer en vue des prochains Hunger Games, la honte est immense. A moins qu'il n'arrive finalement à tirer avantage de cette situation... et que cette Lucy Gray soit plus intéressante qu'elle n'y paraisse.

Je ne m'attendais pas à ce que ce livre m'amène autant à m'interroger sur les notions de justice, du bien et du mal, sur la manière de voir et de traiter les autres, peu importe leur situation.
C'était tellement intéressant de suivre le point de vue de Coriolanus. Un personnage ni vraiment bon, mais pas non plus totalement mauvais. Un fameux morally grey character !! C'est la première fois que je lisais un livre avec un personnage de ce genre en personnage principal, mais ça a vraiment participé à me faire aimer ce livre, et à m'interroger sur certaines questions de moralité. Pourtant je ne saurais pas vraiment dire si j'ai apprécié Coriolanus. A certains moment, je l'ai vraiment aimé. À d'autres, je l'ai détesté. Ceci étant dit, c'est quand même pas mal représentatif de l’ambiguïté dont font souvent preuve les êtres humains. À ce propos, par contre, j'ai beaucoup aimé le personnage de Lucy Gray, qui est pour le coup un personnage vraiment gentil et si pleine de vie.

Pour ce qui est de l'histoire en elle même, j'ai trouvé certains passages assez long, mais à part ça, je dois dire que j'ai été assez constamment surprise par la tournure que prenait les évènements. Surtout pour la fin d'ailleurs, à laquelle je ne m'attendais pas. du. tout. Là pour le coup oui, j'ai vraiment été surprise.

Mais ce livre permet vraiment de comprendre certains éléments de la trilogie des Hunger Games. Pourquoi les jeux ressemblent à ce à quoi ils ressemblent, quels évènements ont menés jusqu'aux aventures de Katniss, des décennies plus tard.
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date : 29-07-2021
J'ai dans l'ensemble plutôt bien aimé cette lecture, même si honnêtement, j'avais préféré 1984, même si les deux livres se ressemblent sur de nombreux points.

La ferme des animaux raconte l'histoire d'une troupe d'animaux, donc, vivant dans une ferme. Jusque là, tout va bien. Jusqu'au jour où, lassé d'être des esclaves au service des humains, qui les maltraitent, les exploitent et volent ce qu'ils ont de plus précieux, les animaux se rebellent, et reprennent possession de leur ferme.
Commence alors pour eux une ère de bonheur complet, de liberté, et surtout d'égalité entre tous les animaux... Tous ?

Je ne sais pas si j'ai un peu moins apprécié cette lecture parce que j'avais un peu l'impression de relire le même schéma que dans 1984. J'ai par contre trouva ça très intéressant que toutes ces problématiques de contrôle et de manipulation de masse, de rivalité entre leader, etc, soient abordées du point de vue des animaux. J'avoue que j'ai trouvé cette idée vachement originale.
Le livre est je trouve quand même vachement immersif, dans le sens où à certains moments, c'est comme si je vivait tout aux côtés des personnages, en étant dans la même confusion qu'eux à certains moments. Ça m'avait déjà fait en lisant 1984, mais dans ce genre de roman où les faits et les évènements ne sont pas fixes, qu'ils peuvent être modifiés à tout moment d'un claquement de doigt (ou de sabot, ahah), il faut suivre. Y'a des moments où j'ai du revenir en arrière pour être sûre de ce que j'avais lu et pour ne pas être trop perdue ahah.

Par contre, une des différence notable entre La Ferme des Animaux et 1984, c'est qu'ici, l'histoire et l'ambiance m'ont parues moins glauque, moins oppressante (même si elle le reste quand même). C'est peut être du au fait qu'étant donné que tout se passe du point de vue d'animaux, à l'échelle d'une seule ferme, et plus d'un continent entier ? C'est en tout cas comme ça que je l'ai ressenti.

Enfin bref, j'ai quand même beaucoup apprécié ce livre, dont l'écriture est vraiment bien menée et pleine d'esprit. Je recommande !
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