Un prequel de Peter Pan ? Il ne m'en fallait pas plus pour me convaincre de me lancer dans cette lecture. Etant une fan inconditionnelle du conte, je ne pouvais pas passer mon chemin. De plus, la couverture, n'est-elle pas magnifique ? Quand j'ai pu me caser le livre dans mon challenge, je trépignais de le lire. Je l'ai embarqué durant mes vacances à Annecy et à Marignier. Le cadre était parfait pour me faire voyager encore plus au Pays de Nulle-Part.

Suivre Peter Hawkson dans son incroyable aventure a été un plaisir tant je m'imaginais parfaitement les scènes. En effet, je me suis très vite immergée dans cette lecture. J'ai aussitôt adhéré à l'univers que nous propose Arnaud Druelle. J'ai été séduite par son travail de réécriture de contes.

L'intrigue est relativement fidèle par rapport au conte qui suit et que nous connaissons tous. J'ai aimé ce mélange de légereté et de tragédie. L'image parfaite que l'on se fait sur le personnage de Peter Pan ! De cette manière, j'ai beaucoup apprécié le dénouement. J'ai été agréablement surprise par les explications car tout se tient. Le pourquoi du comment est, dans ce livre, une évidence. Pour moi, c'est vraiment le point fort du bouquin.

Cependant, je dois avouer que toutes les décisions ne m'ont pas toutes plu au premier abord. Dans les premiers chapitres, j'ai eu du mal à me faire à l'idée que le capitaine du Jolly Roger est une femme. Alors, la touche de féministe est une bonne idée. Néanmoins, dans l'univers du pays de l'imaginaire, c'est un monde assez machiste. Du moins, dans le disney, les femmes sont très genrées. C'est de l'époque me direz-vous. Maintenant, place au "balance-ton-quoi", un mouvement que j'adhère totalement. Toutefois, je trouve qu'on a tendance à trop féminiser les oeuvres de l'époque. Du coup, à mes yeux, on dénature complètement le principe de départ et je trouve ça dommage. Après, ce n'est que mon opinion personnel. Enfin, tout ça pour dire que la première réaction que j'ai eue quand la capitaine a fait son apparition, était : "Oh non, encore du féminisme !". Puis, progressivement, ce choix de l'auteur qui m'a d'abord légèrement déçu, a pris tout son sens au fil de la lecture.

La chute du récit m'a happée comme jamais. Je m'attendais à cette fin et je voulais cette fin et je l'ai eue ! L'auteur a répondu à toutes mes attentes. Sur ce point, je suis vraiment très conquise.

Ce qui a surtout malheureusement péché et empéché le coup de coeur et la pépite, c'est le choix de narration. L'histoire nous est contée d'un point de vue omnicient. D'habitude, je raffole de cette manière d'écrire mais là, je n'ai pas adhéré.J'ai eu la sensation d'avoir trop de personnages d'un coup. Certes, nous apprenons à les connaître au fil de la lecture. Chacun a sa profondeur et chacun a une importance cruciale dans l'intrigue. En vrai, je me suis retrouvée dans ce pannel de personnalités. C'est juste que nous sommes dans la tête de quasi tous les personnages du livre et par la durée courte du texte, je ne me suis pas sentie très proche d'eux. Il y a eu comme une distance car même si chacun fait part de ses pensées, j'ai trouvé que leurs sentiments étaient parfois mal exprimés et balayés. En effet, par moment, le ton m'a paru sec, froid et scolaire. Ainsi, je n'ai pas ressenti l'étincelle exacte que je pensais retrouver.

Je pense aussi que comme Peter Pan est mon conte préféré numéro 1, je suis très exigeante concernant les réinterprétations que l'on peut faire. Après, de manière général, Arnaud Druelle a un bon coup de maître, surtout pour un premier roman. Alors, pour ça, je dis chapeau car il a su quand même me conquérir. Du coup, je partage totalement les avis positifs qui lui sont accordés.

Je vous conseille donc cette lecture si ce n'est pas déjà fait, surtout pour les fans de Peter Pan. Foncez !

Après ma lecture De la rêverie que j'ai moyennement appréciée, j'avais un peu peur de me lancer dans cet autre volet de Moto Hagio. Néanmoins, les titres des nouvelles me parlaient un peu plus. J'étais quand même curieuse de me plonger dans ce manga.

Au final, l'expérience a été agréablement et incroyablement surprenante. De l'humain est un recueil de nouvelles qui s'apparente au genre Fantastique/Dramatique. J'ai très vite adhéré à l'ambiance du livre qui est très douce et poétique. Cela m'a fait un effet doudou. Je me suis sentie comme dans un cocon car nous avons un style enfantin qui crée une touche d'insouciance. Forcément, j'ai succombé à cette atmosphère qui est totalement mon délire en littérature. J'ai donc savouré ces petites histoires.

J'avais l'impression que l'autrice nous racontait des contes à tavers ses jeunes protagonistes. En même temps, les intrigues sont ancrées dans la réalité ce qui rend l'immersion facile.J'ai adoré que ce soit des histoires de familles qui nous sont contées. Cela renforce cet effet doudou. En même temps, le texte interroge le lecteur sur le rapport mère/fille, soeurs siamoises, frères jumeaux, mère/fils. Les messages véhiculés sont abordés délicatement. L'autrice a une plume très subtile pour rendre ses trames légères car les thématiques évoquées sont assez rudes.

Je n'ai pas été indifférente au sort des personnages. Sur certains points, je me suis reconnue en Rika dans la princesse iguane. Je dirais même qu'il s'agit de ma nouvelle préférée même si les autres sont toutes aussi meilleures. Mon côté ange m'a évidemment fait penser à Inséparables de Sarah Crossan mais le fait d'avoir les images, je me rends encore plus compte de la difficulté de vivre avec une soeur/un frère siamois. Le pensionnat de novembre a une patte rustique qui le détache des autres et pour cela, j'ai été plus qu'intriguée par la ressemblance entre nos deux jeunes protagonistes. Pauvre maman m'a fait une sensation de déjà-vu. L'histoire ne m'était étrangement pas innconue et j'avais vu venir la chute de l'histoire mais ce huit clôt m'a aussi bien charmé. Quant à la dernière histoire, le coquetier, j'ai été transcendée par les émotions fortes des personnages qui se situent sous l'occupation allemande en France. La trame étant plus longue que les autres nouvelles, j'ai vraiment pris le temps de m'attacher aux personnages et de ne pas voir la chute venir. J'ai été choquée par cette fin qui m'a laissée sans voix.

En bref, vous l'avez compris. Si De la rêverie ne m'a pas convaincue, De l'humain m'a, inversement, totalement séduite. J'ai été tellement subjugée par les histoires et l'objet-livre que le manga, est, pour moi, un joyau caché à découvrir absolument. Ce qui a manqué le coup de coeur, est la durée courte des histoires. Pour certaines, j'aurai aimé qu'elles se prolongent car il me manquait de détails. Cependant, le plaisir de la lecture était bien présent.

Un fondant au chocolat que je recommande.

Ce manga m'a été prêté par une amie qui l'avait en coffret avec le deuxième volet de la série. Je ne me suis pas posée de questions sur le contenu de cette duologie. Je me suis lancée les yeux fermés tant l'objet-livre attirait mon oeil. De plus, c'est un titre très peu connu. Je me suis dis que ce serait sympa de faire la promotion de cette duologie.

Au final, je ne vais pas être très élogieuse dans ma chronique car De la rêverie s'apparente au genre SF. Il faut savoir que c'est un style que j'ai du mal à appréhender car on s'écarte trop du réalisme. De plus, le décor des vaisseaux spatiaux, galaxies, planètes n'a jamais été mon délire. Ca me rebute plus qu'autre chose. Encore moins s'il s'agit d'une guerre intergalactique entre les peuples pour une prise au pouvoir. Dans ce volet, nous sommes dans cette idée-là. Comment dire que j'ai difficilement accroché à ce manga.

Néanmoins, j'ai réussi à tenir car nous avons plusieurs histoires différentes. En fait, De la rêverie est un recueil de quatres nouvelles. Les deux premières histoires se lisent mais ne m'ont pas particulièrement plu. C'est surtout le troisième récit qui a été le plus fastidieux car rien ne me plaisait dans le déroulement de l'intrigue. Je n'ai pas été touchée par le sort des personnages et le concept m'ennuyait. Heureusement, la quatrième fiction a remonté la pente car on s'éloigne de la SF pour aller vers le genre surnaturel/féerique dont je raffole. Je regrette juste que la chute se devine très facilement mais la douceur et le ton enfantin de la trame pardonnent tout.

Mon avis général reste, cependant, très mitigé. Durant une bonne partie de ma lecture, je n'avais qu'une envie : c'était de finir le livre tellement les histoires me lassaient. Heureusement qu'il s'agit d'un manga car au moins, l'histoire est plus interactive grâce au visuel et aux dialogues. Si le genre m'a rebuté, le style graphique m'a, au contraire, séduit. Les planches douces, poétiques et philosophiques sont très agréables à contempler.

J'ai aussi apprécié les messages que l'autrice véhicule à travers sa fiction. Elle dénonce la question du genre sur notre société actuelle en mettant en scène un personnage hermaphrodite. D'ailleurs, c'est le seul que j'ai aimé pour son humouur, son charisme et sa prestance dans les deux histoires : Nous sommes onze et Nous sommes onze suite.

Malgré ces points positifs, ils ne sont pas suffisants pour combler les aspects négatifs. Néanmoins, ce fut une lecture très enrichissante qui m'a fait découvrir en manga un genre que je ne penserai pas franchir le cap. L'expérience a eu l'honneur d'être originale et marquante. Je vous conseille donc cette lecture pour les intéressé(e)s.

Les dernières pages du sixième tome m'ont laissées sur un suspense insoutenable (même si je me suis lamentablement autospoilée en lisant le début du tome 6 avant le 5). Forcément, je n'ai pas trainé. Je me suis rapidement lancée sur le septième volet et ...

L'intrigue s'enrichit avec l'apparition de nouveaux personnages qui paraissent très intriguants. J'aime particulièrement Pina qui semble être perturbateur dans le déroulement du dénouement. Quant à Six-Yeux, il fait avancer le fil conducteur puisqu'il demande à Legoshi d'enquêter sur le meurtre de l'alpaga Tem.

Du coup, l'autrice revient sur la trame principale de son récit. Cela intensifie le suspense et la tension entre les carnivores et les herbivores. Si j'ai trouvé que le rythme s'essouffle dans ce volet, mon engouement pour la saga est resté tel quel.

Le charme essentiel de la saga est toujours présent. Paru Itagaki poursuit ses reflexions sur le statut animalier, le régime alimentaire, le mélange de cultures et les orientations sexuelles des couples. C'est la première fois qu'une saga m'interroge autant sur ces questions. Chapeau pour l'autrice qui continue à développer son sujet sans être redondante, lourde et maladroite. Au contraire, je trouve que la plume est bien amenée. Plus nous avançons dans l'histoire, plus cet aspect gagne en profondeur et me fascine toujours autant.

Cela s'explique par ce pannel de personnalités qui exercent une prestance sur l'intrigue. Coup de coeur éternel pour Legoshi même si, par moment, j'ai envie de le secouer un peu ! Fangirl à vie de Louis qui est décidément trop badasse et difficile à cerner ! Juno et Jack m'intriguent énormément. Derrière leur bon fond, je sens qu'ils cachent une part d'ombre qui nous sera dévoilée par la suite. Mes sentiments pour Haru sont fluctuants. Par moments, j'apprécie son personnage et d'autres, elle me laisse indiférrente car, dans ce volet, elle est très peu présente. J'espère que cette lapine va se révéler par la suite. En bref, les personnages me séduisent pour la majorité.

Je suis très curieuse de savoir ce qu'ils nous réservent pour la suite. La fin de ce septième tome marque un nouvel arc à l'histoire. Ca promet du lourd !

Les dernières pages du cinquième tome m'ont laissés sur un suspense insoutenable (même si je me suis lamentablement autospoilée en lisant le début du tome 6 avant le 5). Forcément, je n'ai pas trainé. Je me suis rapidement lancée sur le sixième volet et ...

J'ai été incroyablement surprise par la tournure des événements. La tension s'accentue. Le dénouement maintien son rythme effréné rendant le récit plus prenant. L'univers ne cesse de se dévoiler. L'envers du décor nous est présenté de façon brutale. J'adore ce ton bourrin qui rend cette saga unique en son genre.

L'autrice ne cherche pas à faire du beau à travers les illustrations. Au contraire, les planches sont là pour dénoncer des messages forts, très actuels dans notre société. C'est pour cette raison que cette saga est un incroyable coup de coeur pour moi. Les thématiques me parlent et m'interpellent que ce soit sur le régime alimentaire, sur le statut animalier, sur le mélange de cultures et l'orientation sexuelle des couples. Bref, l'autrice interroge des sujets vastes et variés à travers sa fiction.

Ce sixième tome se renforce donc en complexité, en richesse et surtout, en fascination. J'étais vraiment prise dans l'histoire. Certains rebondissements m'ont laissés sans voix notamment le passage

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où Louis revient à l'insititut Cherryton pour annoncer sa démission au club de théatre et son abandon pour la fin de ses études. Quand j'ai compris la raison de son geste, intérieurement, j'étais en panique. J'espère de tout coeur que Legoshi va le tirer du gang des lions qui l'ont nommé chef de la tribu

A cet instant, un torrent d'émotions m'a submergée car nous voyons les personnages évoluer progressivement. Chacun gagne en prestance. Ils m'intriguent tous pour la suite des événements. Coup de coeur éternel pour Legoshi qui est un amour. Sa relation avec Haru est attendrissante. J'aime trop la tenacité de cette dernière. La jeune lapine ne se laisse pas abattre face aux carnivores. Ensuite, je suis encore plus fangirl envers Louis qui devient très complexe. J'ai vraiment du mal à cerner sa position. Va-t-il monter au sommet pour défendre sa position d'herbivore ou pour susciter enfin la terreur et le respect auprès des carnivores ? Le personnage de Juno a également une place sur le devant de la scène. Elle clame justice et paix entre les ethnies. Une morale tant espérée mais qui, étrangement, me fait froid dans le dos. Cette louve me paraît mauvaise dans ses attentions surtout quand on voit son comportement envers Legoshi. Je suis partagée entre le j'aime/j'aime pas. Je trouve ça super cool qu'un personnage de la saga me fait ressentir ce sentiment. Enfin, nous avons Jack qui, dans ce volet, nous partage davantage ses pensées. Je suis certaine que ce sera lui le futur beastars étant donné qu'il est le meilleur élève de l'école. De plus, il paraît tout gentil et innocent mais j'ai le sentiment qu'il va révéler une facette de lui plus sombre. Ce pannel de personnalités fortes tend chacun à se démarquer.

Vous l'avez compris. Ce sixième tome a intensifié mon engouement pour cette saga. Je suis impatiente de découvrir la suite des événèments qui promet du lourd.

La chute inattendue du quatrième opus m'a laissée sur une note inachevée. En plus, étant participante d'un challenge, je ne pouvais pas lire la suite. Il m'a fallu attendre un certain temps pour découvrir l'issue de ce rebondissement et ...

Ce cinquième tome m'a tenue en apnée durant toute la durée du récit. La tension monte d'un cran. Le dénouement prend une tournure plus dynamique et prenante. L'univers se dévoile progressivement. L'envers du décor nous est présenté de façon brutale. J'adore ce ton bourrin qui rend cette saga unique en son genre.

L'autrice ne cherche pas à faire du beau à travers les illustrations. Au contraire, les planches sont là pour dénoncer des messages forts, très actuels dans notre société. C'est pour cette raison que cette saga est un incroyable coup de coeur pour moi. Les thématiques me parlent et m'interpellent que ce soit sur le régime alimentaire, sur le statut animalier, sur le mélange de cultures et l'orientation sexuelle des couples, sur le viol. Bref, l'autrice interroge des sujets vastes et variés à travers sa fiction.

Ce cinquième tome en est donc complexe, riche, complet et surtout, séduisant. J'étais vraiment prise dans l'histoire. Même si je me suis lamentablement autospoilée (car j'ai lu le début du tome 6 sans me rendre compte que ce n'était pas le bon volet), j'ai été surprise par certains rebondissements qui m'ont laissés sans voix notamment le passage

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l où Louis intervient à la fin de la bataille en tuant le maître du gang des lions sauvant ainsi Legoshi et Haru. Ces derniers étaient dans la ligne de mire du maître qui allait leur tirer dessus.

A cet instant, un torrent d'émotions m'a submergée car nous voyons les personnages évoluer progressivement. Chacun gagne en prestance. Ils m'intriguent tous pour la suite des événements. Coup de coeur éternel pour Legoshi qui est un amour. Sa relation avec Haru est attendrissante. J'aime trop la tenacité de cette dernière. La jeune lapine ne se laisse pas abattre face aux carnivores. Ensuite, je suis toujours aussi fangirl de Louis qui devient très complexe. J'ai vraiment du mal à cerner sa position. Va-t-il monter au sommet pour défendre sa position d'herbivore ou pour susciter enfin la terreur et le respect auprès des carnivores ? Le personnage de Juno se révèle également avec une position opposée à celles de Legoshi et de Louis. Elle clame justice et paix entre les ethnies. Une morale tant espérée mais qui, étrangement, me fait froid dans le dos. Cette louve me paraît mauvaise dans ses attentions surtout quand on voit son comportement envers Legoshi. Je suis partagée entre le j'aime/j'aime pas. Je trouve ça super cool qu'un personnage de la saga me fait ressentir ce sentiment car cela montre ce pannel de personnalités fortes qui tendent chacune à se démarquer.

Vous l'avez compris. Ce cinquième tome a intensifié mon engouement pour cette saga. J'attends la suite avec impatience.

Cette saga a fait beaucoup de bruit à sa sortie mais à cette époque là, je n'étais pas encore entrée dans l'univers mangaka. Une fois chose faite, j'avais peur de m'y lancer à cause de son engouement. Finalement, le retour plus qu'élogieux de mon meilleur ami m'a convaincu. J'ai emprunté les quatres premiers tomes à une copine. Je n'avais qu'une hâte, c'était de me plonger dans cette histoire, la tête la première, sans trop savoir de quoi il en retournait.

Ce quatrième tome est dans la lignée de ces prédecesseurs. J'ai été à nouveau embarquer par cette intrigue qui devient de plus en plus prenante. Nous sentons que la tension commence à monter entre les apprentis. Complots et manipulations semblent se tramer derrière notre dos. C'est toute une atmosphère qui se présente dans cet opus. On ne quitte pas cet émerveillement mais il y a comme une ombre qui plane hors de notre champ de vision. Le ton est un peu plus sombre.

Cela aussi s'explique par le fait que Shio traverse une période de doutes. Il remet en question sa candidature et son potentiel. J'ai beaucoup aimé voir ce trait de personnalité car ça le rend encore plus humain qu'il ne l'est déjà. De ce fait, je suis toujours autant attachée à lui. Je me reconnais beaucoup aussi dans ses reflexions.

Ainsi, le texte me touche toujours autant. En effet, Mitsu Izumi sait comment heurter mon coeur de lectrice. Sa plume est emplie de poésie et de philosophie. Elle transmet merveilleusement bien cet amour universelle pour les livres. Pour ma part, je me suis totalement imprégnée de l'histoire.

Du coup, ce pannel de personnages n'a gênée aucunement ma compréhension. Pourtant, la liste ne cesse de s'agrandir entre les camarades de Shio, les professeurs et les responsables des sections. Ca en fait du monde à retenir et pourtant, je m'y retrouve facilement car ils apportent chacun une touche particulière au récit. Ils ont tous une personnalité atypique marquante.

Vous n'êtes pas sans savoir que mon chouchou ultime de la saga est Alph parce qu'il est trop chou, charismatique et manipulateur sur les bords. J'aime beaucoup aussi Dainasas qui est terriblement attachante et pétillante. Aya m'intrigue énormément pour sa discrétion et son génie à toutes épreuves. Il y a également Sedona car ce qu'on apprend de lui à la fin, laisse une suite prometteuse pour la continuité des événements.

Vous imaginez ma frustration de devoir attendre que le tome 5 sorte. Cette saga est indéniablement un coup de coeur, un coup au coeur. Vive la suite !!!

Cette saga a fait beaucoup de bruit à sa sortie mais à cette époque là, je n'étais pas encore entrée dans l'univers mangaka. Une fois chose faite, j'avais peur de m'y lancer à cause de son engouement. Finalement, le retour plus qu'élogieux de mon meilleur ami m'a convaincu. J'ai emprunté les quatres premiers tomes à une copine. Je n'avais qu'une hâte, c'était de me plonger dans cette histoire, la tête la première, sans trop savoir de quoi il en retournait.

Ce troisième tome est dans la continuité du fil conducteur de l'intrigue. Le récit commence à prendre du rythme avec les épreuves qui s'annoncent cauchemardesques pour notre protagoniste. L'évolution de Shio est juste dingue dans ce volet. Il gagne en profondeur par ses doutes et ses réflexions. J'ai donc été davantage en empathie envers notre héros. Je m'y suis aussi reconnue car je traverse une période similaire concernant mon avenir. Ca me touche encore plus.

Les mots sont vraiment choisis avec soin pour percuter mon coeur de lectrice. Ce tome m'a encore plus secouée que les précédents. Les dernières pages m'ont mises les larmes aux yeux tellement la plume de l'autrice est belle et poignante. Il se dégage un déferlement d'émotion à travers les pages.

Cela s'explique aussi par ce graphisme à couper le souffle. Les planches sont parsemées de détails. Cela renforce ma fascination pour cet univers qui se déploie progressivement. Dans cet opus, un antagoniste fait son apparition ce qui donne du dynamisme au récit. Par conséquent, je suis très curieuse de connaître la suite des événements.

En bref, vous l'avez compris. Cette saga est juste incroyable. Chaque nouveau tome est meilleur que son précédent. Le suspense et l'action montent en crescendo. Je sens que le quatrième volet sera encore plus dynamique car

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Shio a réussi le concours. Je suis trop heureuse pour lui. J'invite vraiment à tous les amoureux de livres de se lancer dans cette saga qui, maintenant, fait partie de mes classiques à lire absolument.

Cette saga a fait beaucoup de bruit à sa sortie mais à cette époque là, je n'étais pas encore entrée dans l'univers mangaka. Une fois chose faite, j'avais peur de m'y lancer à cause de son engouement. Finalement, le retour plus qu'élogieux de mon meilleur ami m'a convaincu. J'ai emprunté les quatres premiers tomes à une copine. Je n'avais qu'une hâte, c'était de me plonger dans cette histoire, la tête la première, sans trop savoir de quoi il en retournait.

Ce deuxième tome suit parfaitement bien le fil conducteur de l'intrigue. Nous voyons Shio plus âgé, plus tenace et plus mûr. J'ai totalement adoré l'évolution de notre protagoniste. Il est vraiment plus qu'inspirant pour nous, lecteurs. Il fait face à l'adversité d'une telle force et d'un tel courage que je ne peux qu'être émue par le récit.

En effet, le texte est littéralement à couper le souffle. Il y a un style très doux et poétique. Il se dégage une bienveillance et une joie de vivre qui me touche profondément. Cela m'a fait ressentir une sensation déconcertante de bien-être. Ce deuxième opus est un bonbon à savourer. Ce qui est d'autant plus appréciable, c'est que l'autrice prend vraiment le temps de nous décrypter son univers.

Progressivement, le métier des Hakumas et l'univers des bibliothèques se déploient sous nos yeux. Les planches sont plus que sublimes. Il m'est difficile de trouver le mot adéquat pour exprimer mon ressenti sur l'objet-livre. Il est juste incroyablement beau ! Je m'y suis à nouveau précipitée avec plaisir dans ce monde complètement grandiose et merveilleux.

Enfin, c'est loin d'être tout rose. Justement, nous avons vraiment un respect profond pour les métiers du livre. Etant une future professionnelle du milieu, ça fait tellement du bien cette valorisation de la vocation et surtout cette image prestigieuse des bibliothèques. C'est une bouffée de fraicheur qui m'a fait vraiment du bien au coeur.

D'un autre côté, cet émerveillement vire au cauchemar pour notre protagoniste car les épreuves sont terribles. Les personnages ne sont aucunement épargnés. J'ai adoré Alf dans cet opus. Quelle classe et quel charisme ! Ce garçonnet m'a complétement séduite. Je suis plus que curieuse de savoir ce qu'il nous réserve pour la suite des événements.

En bref, vous l'avez compris. Ce deuxième tome est un coup de coeur, un coup au coeur. Je recommande chaudement cette saga à tous les amoureux de livres.

Cette saga a fait beaucoup de bruit à sa sortie mais à cette époque là, je n'étais pas encore entrée dans l'univers mangaka. Une fois chose faite, j'avais peur de m'y lancer à cause de son engouement. Finalement, le retour plus qu'élogieux de mon meilleur ami m'a convaincu. J'ai emprunté les quatres premiers tomes à une copine. Je n'avais qu'une hâte, c'était de me plonger dans cette histoire la tête la première sans trop savoir de quoi il en retournait.

Et ... Je me suis pris une de ces claques qui a chaviré mon coeur de lectrice jusqu'au bord des larmes ! Clairement, j'en ai été retourné de ce récit terriblement poignant et poétique. C'est une déclaration d'amour à la littérature ! Forcément, je ne pouvais qu'être profondément touchée par le sujet dont je suis complètement concernée. J'ai littéralement savouré ce premier tome evoutant.

Il m'a littéralement coupé le souffle pour ses illustrations plus que sublimes. J'ai du mal à trouver le mot adéquat pour exprimer mon ressenti sur l'objet-livre. Il est juste ... incroyablement détaillée sur toutes ses coutures ! Les traits des personnages sont saisissants d'une douceur et d'une force déconcertantes. En effet, il se dégage une passion fusionnelle envers les livres. J'en ai complètement charmée.

Le protagoniste incarne à la perfection cet amour pour le monde des bibliothèques. Souhaitant en faire mon métier, il m'est impossible de ne pas être émerveillée par cet univers grandiose. J'apprécie énormément que l'autrice prenne le temps d'installer son intrigue. De cette manière, je m'imprégne progressivement et facilement des détails. Je trouve même que ça lui ajoute un charme en plus car j'ai pu très vite m'attacher à Shio.

Notre jeune héros est juste attendrissant. Il déborde de force et de courage à toute épreuve. J'admire sa force mentale d'acier. Il m'inspire énorément et je me reconnais en lui. Bref, un coup de coeur ! Les personnages secondaires, en revanche, m'ont moins marqué car nous savons peu de choses sur eux. J'imagine qu'ils vont plus se dévoiler au fil des tomes. Je suis trop curieuse de voir ça.

Par conséquent, l'intrigue semble plus que prometteuse pour la suite des événements. Le dénouement est très riche en informations et en actions. Le rythme est assez vif ce qui fait tourner les pages rapidement malgré la grosseur du manga. J'ai hâte d'en connaître plus sur le métier des Kahumas et sur leur formation.

Pour finir, vous l'avez compris. Ce premier tome est un coup de coeur, un coup au coeur ! Je recommande chaleureusement cette lecture pour tous les amoureux de livres.

Cette série m'a été prêtée par une amie sur un coup de tête. C'est un titre que je ne connaissais pas et qui ne m'attirait pas particulièrement au vu de la couverture et du résumé porté sur la dark fantasy. C'est un genre dont je ne raffole pas d'habitude. Cependant, étant donné que les trois premiers tomes me sont généreusement parvenus, je me suis lancée dans cette lecture en me détachant le plus possible de mes aprioiris.

Au final, j'ai pris plaisir à découvrir cet univers. L'auteur prend le temps de nous dépeindre les bases de son monde fictif. De cette manière, je ne me suis pas sentie perdue au cours de ma lecture. Au contraire, la compréhension du texte est très accessible. Par conséquent, l'aspect fantasy ne m'a pas paru farfelu mais, inversement, naturel. Même si l'univers se déploie progressivement, je ne suis pas hyper fan de l'idée du livre.

Cette ambiance médiéval chevaleresque est un registre qui me rebute car c'est une époque qui ne m'intéresse pas et ne m'interpelle pas habituellement. Forcément, le principe du livre ne me charme pas vraiment mais j'apprécie la manière dont le dénouement est amené.

L'action s'enrichit et se complexifie dans ce troisième volet mais l'intrigue prend encore le temps à se mettre en place. C'est un point que j'apprécie car il m'est plus facile de m'attacher aux personnages.Ils deviennent de plus en plus badasses et n'hésitent pas à prendre le devant de la scène. Pour le moment, leurs évolutions me séduisent et suscitent davantage ma sympathie ce qui est positif pour les prochains tomes.

J'ai apprécié suivre l'aventure de Cyan qui n'est pas épargné. Les épreuves qu'il subit, sont terribles. Nous avons aussi un pannel de personnalités qui se déploie progressivement. Forcément, certains personnages me touchent plus que d'autres. Je n'ai pas de chouchou à proprement parler mais je commence à avoir mes favoris comme Jade et Aster. Cela crée du suspense pour la suite des événements. J'aime particulièrement Les Larvas qui me font penser à des zombies-vampires. Ces créatures fantastiques ont capté mon attention. Les Latios m'intriguent également. J'aimerais comprendre les motivations d'Iris et de Blom qui, je suis sûre, sont à nuancer. J'ai hâte d'en savoir plus sur ces espèces.

Le graphisme nous détaille bien ces monstres assoifés d'âmes humaines. Les planches ne sont pas sublimes mais elles restent efficaces pour l'immersion dans cette histoire.

En bref, une lecture sympathique et divertissante que je conseille pour ceux et celles qui aiment ce genre littéraire mais aussi à ceux et celles qui souhaitent s'y lancer.

Cette série m'a été prêtée par une amie sur un coup de tête. C'est un titre que je ne connaissais pas et qui ne m'attirait pas particulièrement au vu de la couverture et du résumé porté sur la dark fantasy. C'est un genre dont je ne raffole pas d'habitude. Cependant, étant donné que les trois premiers tomes me sont généreusement parvenus, je me suis lancée dans cette lecture en me détachant le plus possible de mes aprioiris.

Au final, j'ai pris plaisir à découvrir cet univers. L'auteur prend le temps de nous dépeindre les bases de son monde fictif. De cette manière, je ne me suis pas sentie perdue au cours de ma lecture. Au contraire, la compréhension du texte est très accessible. Par conséquent, l'aspect fantasy ne m'a pas paru farfelu mais, inversement, naturel. Même si l'univers se déploie progressivement, je ne suis pas hyper fan de l'idée du livre.

Cette ambiance médiéval chevaleresque est un registre qui me rebute car c'est une époque qui ne m'intéresse pas et ne m'interpelle pas habituellement. Forcément, le principe du livre ne me charme pas vraiment mais j'apprécie la manière dont le dénouement est amené.

L'action s'enrichit dans ce deuxième volet mais l'intrigue prend encore le temps à se mettre en place. C'est un point que j'apprécie car il m'est plus facile de m'attacher aux personnages. Pour le moment, ils tendent encore à se dévoiler davantage mais ils ont su susciter ma sympathie ce qui est positif pour les prochains tomes.

J'ai apprécié suivre l'aventure de Cyan qui n'est pas épargné. Les épreuves qu'il subit, sont terribles. Nous avons aussi un pannel de personnalités qui se déploie progressivement. Certains personnages me touchent plus que d'autres. Je n'ai pas de chouchou à proprement parler mais je commence à avoir mes favoris comme Jade et Aster. Cela crée du suspense pour la suite des événements. J'aime particulièrement Les Larvas qui me font penser à des zombies-vampires. Ces créatures fantastiques ont capté mon attention. J'ai hâte d'en savoir plus sur cette espèce.

Le graphisme nous détaille bien ces monstres assoifés d'âmes humaines. Les planches ne sont pas sublimes mais elles restent efficaces pour l'immersion dans cette histoire.

En bref, une lecture sympathique et divertissante que je conseille pour ceux et celles qui aiment ce genre littéraire mais aussi à ceux et celles qui souhaitent s'y lancer.

Cette série m'a été prêtée par une amie sur un coup de tête. C'est un titre que je ne connaissais pas et qui ne m'attirait pas particulièrement au vu de la couverture et du résumé porté sur la dark fantasy. C'est un genre dont je ne raffole pas d'habitude. Cependant, étant donné que les trois premiers tomes me sont généreusement parvenus, je me suis lancée dans cette lecture en me détachant le plus possible de mes aprioiris.

Au final, j'ai pris plaisir à découvrir cet univers. L'auteur prend le temps de nous dépeindre les bases de son monde fictif. De cette manière, je ne me suis pas sentie perdue au cours de ma lecture. Au contraire, la compréhension du texte est très accessible. Par conséquent, l'aspect fantasy ne m'a pas paru farfelu mais, inversement, naturel. Même si l'univers se déploie progressivement, je ne suis pas hyper fan de l'idée du livre.

Cette ambiance médiéval chevaleresque est un registre qui me rebute car c'est une époque qui ne m'intéresse pas et ne m'interpelle pas habituellement. Forcément, le principe du livre ne me charme pas vraiment mais j'apprécie la manière dont le dénouement est amené.

L'action est présente dans ce premier volet mais l'intrigue prend le temps à se mettre en place. C'est un point que j'apprécie car il m'est plus facile de m'attacher aux personnages. Pour le moment, ils tendent encore à se dévoiler davantage mais ils ont su susciter ma sympathie ce qui est positif pour les prochains tomes.

J'ai apprécié suivre l'aventure de Cyan qui n'est pas épargné. Les épreuves qu'il subit, sont terribles. Cela crée du suspense pour la suite des événements. J'aime particulièrement Les Larvas qui me font penser à des zombies-vampires. Ces créatures fantastiques ont capté mon attention. J'ai hâte d'en savoir plus sur cette espèce.

Le graphisme nous détaille bien ces monstres assoifés d'âmes humaines. Les planches ne sont pas sublimes mais elles restent efficaces pour l'immersion dans cette histoire.

En bref, une lecture sympathique et divertissante que je conseille pour ceux et celles qui aiment ce genre littéraire mais aussi à ceux et celles qui souhaitent s'y lancer.

Ayant adoré le premier tome qui semblait se suffire à lui-même, je me suis demandée de quoi le deuxième volet allait parler. Quand la couverture du livre est apparue sur les réseaux sociaux, imaginez la hyppe que j'ai ressentie. L'objet-livre est tellement ensorcelant que j'avais hâte de me replonger dans cet univers si atypique, en compagnie de mes deux groupes de lectures communes.

J'ai retrouvé cette atmosphère si caractéristique à l'auteur que j'aime tant. Nous avons un style gothique qui retranscrit à merveille ce Paris régi par les Vampyres. Cette revisite de ces créatures fantastiques façon Dracula me charme totalement. Nous sommes dans un univers très sombre voire horrifique qui me séduit de plus en plus. Dans ce deuxième tome, l'auteur s'ouvre au-delà de Versailles en nous décrivant, dans le moindre détail, la vie parisienne dans toute sa misère et sa noirceur. Cette ambiance romanesque et sinistre est incontestablement la force du livre.

Nous sentons que Victor Dixen manipule habilement son monde tyrannique. Progressivement, la complexité de la Magma Vampyria nous est dépeinte. Nous découvrons de nouvelles créatures et de multiples personnages rendant cet univers complexe et fascinant. Cependant, d'un autre côté, je me suis sentie perdue dans ces détails. J'ai compris le dénouement dans sa globalité mais l'auteur nous dissémine, parfois, des subtilités qui m'ont échappées. Cela a rendu ma lecture moins immersive que le tome 1.

En effet, j'ai eu du mal à m'accrocher au récit. Le rythme s'essoufle aussi. J'ai senti un relachement de la part de l'auteur. Je trouve ce deuxième tome plutôt contemplatif car honnêtement, l'action ne se fait pas trop ressentir. Pourtant, les événements s'enchaînent et l'univers s'enrichit mais je n'ai pas ressenti la hyppe comme dans le premier tome. Je pense que ça s'explique par le fait que j'ai eu le sentiment que l'auteur a calé son dénouement en fonction des attentes des lecteurs et des lectrices.

Je dis ça parce que l'évolution de Jeanne ne m'a pas spécialement convaincue. Parfois, elle se remet en question sur des actes où il n'y a pas besoin selon moi. Sa personnalité que je trouvais marquante et atypique dans le premier volet, devient plus adouçie. Elle pense moins à ses propres fins. Or, ce trait de caractère me plaisait beaucoup comparée à d'autres lecteurs et lectrices qui la jugeaient insensible et hostile. Au contraire, je trouvais que c'est ce qui faisait son charme et là, elle balaie son orgueil très vite. Est-ce un choix totalement libre de l'auteur ou voulait-il satisfaire ses fans et rendre son protagoniste plus attachante ? Franchement, c'est une question que je me pose.

Si le deuxième cas s'avère vrai, je trouve ça dommage car pour moi, le dénouement a perdu sa saveur de départ. L'intrigue est devenu lisse. Les évenements ne m'ont pas surprise. La conclusion se devine très vite. Je n'ai pas ressenti d'émotions face aux révélations qui m'ont semblées évidentes. C'est aussi moins gore. Je trouve que, dans ce deuxième volet, c'est étrangement tranquille pour nos personnages par rapport au premier opus où ils ne sont pas épargnés. J'ai eu comme l'impression que l'auteur ne voulait pas trop "choquer" son spectateur pour rendre sa saga accessible à tout public alors que, clairement, le premier tome n'est pas à mettre entre toutes les mains et tant mieux car c'est ce qui me plaît.

Par conséquent, le deuxième tome a pas mal baissé dans mon estime. C'est dommage car les personnages secondaires restent excellents dans leurs rôles. J'ai adoré Alexandre, Naoko, Hélénais, Lord Sterling et Suraj. J'ai aimé en apprendre plus sur chacun d'eux. J'ai apprécié le fait que l'auteur s'attarde sur leurs troubles passés. Sur ce point, je suis très curieuse de voir ce qu'ils nous reservent pour la suite.

En bref, un deuxième tome qui reste tout même agréable à suivre malgré ses défauts. Je lui reconnais totalement son univers atypique, ultra prometteur. Je sens qu'il y a de la matière pour rendre le troisième volet meilleur. Mon avis est loin d'être définitif.

En voyant les trois premiers tomes de cette saga dans la bibliothèque d'une amie, je n'ai pas hésité à les emprunter. On en parle tellement de ce titre fard que j'ai fini par être intriguée de cette histoire. Je ne savais pas trop de quoi il en retournait à part que nous suivons des enfants dans un orphelinat.

De cette manière, je me suis laissée surprendre par l'envers du décor. L'univers qui se déploit progressivement, est mystérieux. L'auteur dissimule au lecteur des nons-dits ce qui rend le suspense encore plus insoutenable. Très vite, une tension s'empare des pages sans qu'elle ne s'essouffle. Au contraire, le rythme s'accélère. Les événements s'enchaînent et on retient notre souffle tellement cette tension est à son comble. J'en étais vite happée, ne voulant pas sortir de ma lecture.

D'emblée, l'atmosphère nous est parfaitement bien retranscrite. Derrière cette légèreté, nous sommes dans un monde sombre, angoissant et malsain. J'ai été aussitôt séduite par ce double registre qui rend ce troisième volet riche et complet. Cela donne de la profondeur à l'univers mais aussi aux personnages qui sont terriblement charismatiques.

Commençons par notre protagoniste Emma qui, malgré sa naiveté, se montre courageuse et malicieuse face aux obstacles. Du premier au troisième tome, son évolution est juste dingue ! Réfléchie, posée et calculatrice, elle ne recule devant rien et fait preuve d'une forte tenacité qui est juste admirable. Quant à Norman, il a immédiatement touché mon coeur de lectrice. Il est officiellement mon chouchou de la saga. Le gars a tout pour plaire : stratége, manipulateur, diplomate. Bref, tout ce que j'adore chez un personnage masculin. Ray n'est pas loin derrière car ce que l'on découvre dans ce troisième opus, le rend tellement complexe. Ni tout blanc, ni tout noir, il devient diffcile à cerner et nom de dious que j'adore ça ! Enfin, je termine avec Isabella et Krone qui sont tellement malsaines. Je suis en adoration face à ces antagonistes car elles me mettent mal à l'aise.

D'ailleurs, le point fort de cette saga est le graphisme absolument réussi car il colle parfaitement bien à l'ambiance du livre. J'ai adoré les traits ronds des personnages qui attissent l'empathie chez les enfants et renforcent le caractère malsain des adultes. Plusieurs fois, les postures dominantes de ces derniers m'ont dérangées. De cette manière, Krone et Isabella sont terriblement badasses et crédibles dans leur rôle de méchantes. Toutefois, leurs personnalités sont nuancées les rendant plus complexes qu'on peut le croire. On réalise, en effet, qu'elles sont toutes aussi victimes de cette abominable société régie par des démons. Les planches permettent vraiment l'immersion totale. J'étais tellement prise par l'histoire que je suis ressortie de cette lecture frustrée. N'ayant pas le tome 4 sous la main, l'attente va être terrible. Je trépigne de connaître la suite des évenements.

Vous l'avez compris. The Promised Neverland m'a prise dans ces filets. C'est un énorme coup de coeur pour moi, une révélation !

En voyant les trois premiers tomes de cette saga dans la bibliothèque d'une amie, je n'ai pas hésité à les emprunter. On en parle tellement de ce titre fard que j'ai fini par être intriguée de cette histoire. Je ne savais pas trop de quoi il en retournait à part que nous suivons des enfants dans un orphelinat.

De cette manière, je me suis laissée surprendre par l'envers du décor. L'univers qui se déploit progressivement, est mystérieux. L'auteur dissimule au lecteur des nons-dits ce qui rend le suspense encore plus insoutenable. Très vite, une tension s'empare des pages. J'en étais vite happée, ne voulant pas sortir de ma lecture.

D'emblée, l'atmosphère nous est parfaitement bien retranscrite. Derrière cette légèreté, nous sommes dans un monde sombre, angoissant et malsain. J'ai été aussitôt séduite par ce double registre qui rend ce deuxième volet complet. Cela donne de la profondeur à l'univers mais aussi aux personnages qui sont terriblement charismatiques.

Commençons par notre protagoniste Emma qui, malgré sa naiveté, se montre courageuse et malicieuse face aux obstacles. Du premier au deuxième tome, son évolution est juste dingue ! Réfléchie, posée et calculatrice, elle ne recule devant rien et fait preuve d'une forte tenacité qui est juste admirable. Quant à Norman, il a immédiatement touché mon coeur de lectrice. Il est officiellement mon chouchou de la saga. Le gars a tout pour plaire : stratége, manipulateur, diplomate. Bref, tout ce que j'adore chez un personnage masculin. Ray n'est pas loin derrière car on sent qu'il cache un secret qui nous sera dévoilé par la suite. Enfin, je termine avec Isabella et Krone qui sont tellement malsaines. Je suis en adoration face à ces antagonistes car elles ont su me mettre mal à l'aise.

D'ailleurs, le point fort de cette saga est le graphisme absolument réussi car il colle parfaitement bien à l'ambiance du livre. J'ai adoré les traits ronds des personnages qui attissent l'empathie chez les enfants et renforcent le caractère malsain des adultes. Plusieurs fois, les postures dominantes de ces derniers m'ont dérangées ce qui les rendent terriblement badasses et crédibles dans leur rôle de méchantes. De plus, les planches permettent l'immersion totale. J'étais tellement prise par l'histoire que je me suis ausitôt jetté sur la suite alors qu'habituellement, j'aime prendre le temps. Ici, je suis addict au plus possible.

The Promised Neverland m'a prise dans ces filets. C'est un énorme coup de coeur pour moi, une révélation !

En voyant les trois premiers tomes de cette saga dans la bibliothèque d'une amie, je n'ai pas hésité à les emprunter. On en parle tellement de ce titre fard que j'ai fini par être intriguée de cette histoire. Je ne savais pas trop de quoi il en retournait à part que nous suivons des enfants dans un orphelinat.

De cette manière, je me suis laissée surprendre par l'envers du décor. L'univers qui se déploit progressivement, est mystérieux. L'auteur dissimule au lecteur des nons-dits ce qui rend le suspense encore plus insoutenable. Très vite, une tension s'empare des pages. J'en étais vite happée, ne voulant pas sortir de ma lecture.

D'emblée, l'atmosphère nous est parfaitement bien retranscrite. Derrière cette légèreté, nous sommes dans un monde sombre, angoissant et malsain. J'ai été aussitôt séduite par ce double registre qui rend ce premier volet complet. Cela donne de la profondeur à l'univers mais aussi aux personnages qui, dés le premier tome, sont terriblement charismatiques.

Commençons par notre protagoniste Emma qui, malgré sa naiveté, se montre courageuse et malicieuse face aux obstacles. Elle évolue rapidement dans ce premier volet. J'ai aimé la voir plus réfléchie et posée dans ses décisions tout en restant fidèle à elle-même. Quant à Norman, il a immédiatement touché mon coeur de lectrice. Il est officiellement mon chouchou de la saga. Le gars a tout pour plaire : stratége, manipulateur, diplomate. Bref, tout ce que j'adore chez un personnage masculin. Ray n'est pas loin derrière car on sent qu'il cache un secret qui nous sera dévoilé par la suite. Enfin, je termine avec Isabella qui est tellement malsaine. Je suis en adoration face à cette antagoniste car elle a su me mettre mal à l'aise.

D'ailleurs, le point fort de ce premier volet est le graphisme absolument réussi car il colle parfaitement à l'ambiance du livre. J'ai adoré les traits ronds des personnages qui attissent l'empathie chez les enfants et renforcent le caractère malsain de la "maman". Plusieurs fois, les postures dominantes d'Isabella m'ont dérangées ce qui la rend terriblement badasse dans son rôle de méchante. De plus, les planches permettent l'immersion totale. J'étais tellement prise par l'histoire que je me suis ausitôt jetté sur la suite alors qu'habituellement, j'aime prendre le temps. Ici, je suis addict au plus possible.

The Promised Neverland m'a pris dans ces filets. C'est un énorme coup de coeur pour moi, une révélation !

J'ai vu passer cette saga sur un compte insta. L'avis de la chroniqueuse a capté mon attention. J'étais très intriguée par le speech mais aussi par la beauté des jaquettes. Je n'ai pas hésité, au vu de la recommandation de mon amie. Je me suis acheté tous les tomes de cette saga. La confiance aveugle encore me direz-vous !

Je ne regrette absolument pas cette décision car le sixième et dernier volet est juste incroyable. L'intrigue se poursuit intensement en rebondissements et en révélations. Ce suspense haletant m'a tenu jusqu'à la dernière page. Les personnages se révèlent et l'univers se concrétise.

En effet, l'autrice dépeint l'acheminement de son intrigue, rendant les protagonistes plus mûres après ces trois années d'horreur dans le couvent. Chacun a ses qualités, ses défauts, ses failles et ses forces ce qui les rend tellement humains et réalistes. De cette manière, ce groupe de jeunes filles m'a touché en plein coeur. Leur évolution est juste dingue surtout Hilda qui a été ma révélation. Elle a complètement détroné la place de Kaja qui, jusque-là, était ma chouchoute. C'est pour dire à tel point Hilde va connaître dans ce tome final un changement qui va la rendre terrbilement classe et badasse. J'ai adoré ! Kaja n'est quand même pas loin derrière. Sa discretion et son air calculateur vont enfin porter ses fruits ce qui la rend aussi fascinante. Ella, à leurs talons, est encore plus battante que dans les tomes précédents. Sa force mentale d'acier est admirable. Enfin, Théa est peut-être celle dont j'ai moins ressenti l'évolution mais elle reste cruciale dans l'harmonie de ce quatuor. En bref,un pannel de personnalités qui colle parfaitement bien à l'atmosphère du livre ce qui rend nos protagonistes encore plus crédibles.

Là où l'autrice touche mon coeur de lectrice, c'est le sujet du livre : la chasse aux sorcières. Etant mon sujet de TPE, je garde un bon souvenir d'un point de vue apprentissage. J'étais fascinée et horrifiée en même temps d'étudier les diffférentes tortures qu'on infligeait aux femmes accusées de sorcellerie et les superstitions qui en découlent. Depuis, cette période historique m'interpelle alors forcément, il est très facile que je succombe à ce style gothique et baroque.

Le monde qui nous est décrit, est, en effet, cruel et malsain. Les personnages ne sont pas épargnés.Tout semble s'écrouler. Les obstacles s'enchaînent, s'enveniment, nous faisant douter de l'issue finale. On ne peut que ressentir une rage et une irréprésible envie de se télétransporter dans le livre pour leur prêter main forte. Une tension cruelle s'empare des pages, nous rendant addicts voire même obsédés par cette histoire. De cette manière, des questions ont taraudé mon esprit : Vont-elles malgré tout réussir à surmonter les obstacles ? Vont-elles au contraire être démasquées et être torturées ? Vont-elles, un jour, goûter au bonheur et à la liberté ?

La lecture de ce cinquième opus est a été donc intense en émotions. J'ai été submergée d'un coup sans comprendre ce qui m'arrivait. Entre Angoisse, Rage, Surprise, Frustration, Espérance, je ne savais plus où en donner de la tête tellement mon petit coeur a été retourné dans tous les sens. L'autrice a réussi son objectif, celui de jouer et manipuler mes sentiments à sa guise et me mener vers ce final sublime et dur en même temps. Je suis ressortie de cette aventure avec un gros pincement au coeur. Il était dure pour moi de dire au revoir aux filles. Alors, bravo à Minoru Takeyoshi pour ton talent insaisissable, unique en tout genre.

Le texte mais aussi l'image m'a totalement séduite. Cette tension palpable se reflète aussi à travers les traits agressifs des personnages. Si, dans le premier tome, je me suis peu à peu familiarisée avec le graphisme, dans le deuxième, le troisième, le quatrième, le cinquième et le sixième, j'ai été complètement envoutée par ce style violent et sale. Les planches renforcent l'ambiance horrifique du livre. Le décor et le physique des personnages sont dépeints dans le détail comme j'adore. Ils renforcent cette vivacité à l'histoire.

En bref, vous l'avez compris. Je vous conseille fortement cette saga. Une pépite qui vaut le détour pour les fans du genre. Cependant, je ne saurai pas dire pourquoi cette saga n'est pas un coup de coeur. Il m'a quand même manqué un je-ne-sais-quoi pour parfaire ma lecture. Peut-être une davantage proximité avec les personnages. Il est vrai que je n'ai pas eu la capacité de m'identifier et de m'y reconnaître. C'est peut-être ce je-ne-sais-quoi qui m'a manqué. Cependant, c'est une excellente saga avec des graphismes à couper le souffle. Attention quand même aux âmes sensibles, l'autrice ne se censure pas. Bref, à votre tour de vous y lancer.

J'ai vu passer cette saga sur un compte insta. L'avis de la chroniqueuse a capté mon attention. J'étais très intriguée par le speech mais aussi par la beauté des jaquettes. Je n'ai pas hésité, au vu de la recommandation de mon amie. Je me suis acheté tous les tomes de cette saga. La confiance aveugle encore me direz-vous !

Je ne regrette absolument pas cette décision car le cinquième volet est juste haletant. L'intrigue se poursuit intensement en rebondissements et en révélations. Ce suspense haletant m'a tenu jusqu'à la dernière page. Les personnages se révèlent et l'univers se concrétise.

En effet, l'autrice gagne en profondeur sur son intrigue. Les protagonistes sont complexes. Chacun a ses qualités, ses failles ce qui les rend tellement humains et réalistes. De cette manière, ce groupe de jeunes filles m'a particulièrement touché. .Elles m'ont charmées chacune à leur manière car elles sont toutes cruciales pour la construction de l'intrigue. Aucune n'est négligée : Ella pour sa force mentale à toute épreuve, Kaja pour sa sagesse, Hilda pour sa naïveté, Cordula pour son expérience, Théa pour sa force physique. De plus, leurs personnalités collent tellement bien à l'atmosphère du livre que ça les rend encore plus crédibles.

Là où l'autrice touche mon coeur de lectrice, c'est le sujet du livre : la chasse aux sorcières. Etant mon sujet de TPE, je garde un bon souvenir d'un point de vue apprentissage. J'étais fascinée et horrifiée en même temps d'étudier les diffférentes tortures qu'on infligeait aux femmes accusées de sorcellerie et les superstitions qui en découlent. Depuis, cette période historique m'interpelle alors forcément, il est très facile que je succombe à ce style gothique et baroque.

Le monde qui nous est décrit, est, en effet, cruel et malsain. Les personnages ne sont pas épargnés.Tout semble s'écrouler. Les obstacles s'enchaînent, s'enveniment, nous faisant douter de l'issue finale. On ne peut que ressentir une rage et une irréprésible envie de se télétransporter dans le livre pour leur prêter main forte. Une tension cruelle s'empare des pages, nous rendant addicts voire même obsédés par cette histoire. De cette manière, des questions ont taraudé mon esprit : Vont-elles malgré tout réussir à surmonter les obstacles ? Vont-elles au contraire être démasquées et être torturées ? Vont-elles, un jour, goûter au bonheur et à la liberté ? La lecture de ce cinquième opus est a été donc intense. Cela m'a fait tourner les pages à une vitesse folle tellement je voulais savoir la suite. Minoru Takeyoshi tire malicieusement les ficelles de son intrigue.

Cette tension se reflète aussi à travers les traits agressifs des personnages. Si, dans le premier tome, je me suis peu à peu familiarisée avec le graphisme, dans le deuxième, le troisième, le quatrième et le cinquième, j'ai été complètement séduite par ce style violent et sale. Les planches renforcent l'ambiance horrifique du livre. Le décor et le physique des personnages sont dépeints dans le détail comme j'aime. Ils renforcent cette vivacité à l'histoire.

En bref, vous l'avez compris. Je vous conseille fortement cette saga. Une pépite qui vaut le détour pour les fans du genre. Attention quand même aux âmes sensibles, l'autrice ne se censure par. Vive le tome 6 !

J'ai vu passer cette saga sur un compte insta. L'avis de la chroniqueuse a capté mon attention. J'étais très intriguée par le speech mais aussi par la beauté des jaquettes. Je n'ai pas hésité, au vu de la recommandation de mon amie. Je me suis acheté tous les tomes de cette saga. La confiance aveugle encore me direz-vous !

Mais le risque en valait la chandelle car ce quatrième opus suit parfaitement bien les tomes précédents. L'intrigue suit son cours avec un suspense insoutenable. Cependant, le rythme s'essouffle un peu. Cet opus se focalise plus sur les relations entre nos protagonistes.

Nous en apprenons plus sur Théa notamment. Son passé approfondi davantage la jeune fille. J'en ai été touchée. Je me suis également rendu compte que chacune d'entre elles apportent un grain important au récit : Ella pour sa force d'acier à toute épreuve, Kaja pour sa sagesse, Hilda pour sa naïveté, Cordula pour son expérience, Théa pour caractère directif. Je me suis progressivement attachée à ce groupe d'amies tant ce pannel de personnalité colle à l'univers du manga.

Là où l'autrice touche mon coeur de lectrice, c'est le sujet du livre : la chasse aux sorcières. Etant mon sujet de TPE, je garde un bon souvenir d'un point de vue apprentissage. J'étais fascinée et horrifiée en même temps d'étudier les diffférentes tortures qu'on infligeait aux femmes accusées de sorcellerie et les superstitions qui en découlent. Depuis, cette période historique m'interpelle alors forcément, il est très facile que je succombe à ce style gothique et baroque.

Le monde qui nous est décrit, est cruel et malsain. Les personnages ne sont pas épargnés. Alors qu'elles ont un moment de répit, un terrible événement va surgir, bouleversant ainsi le plan que les filles se sont fixé pour survivre à la période hivernale. Vont-elles malgré tout réussir à passer cette épreuve ? Vont-elles au contraire être démasquées et être torturées ? Vont-elles un jour gouter au bonheur et à la liberté ? Ces questions créent une tension permanente. De cette manière, la lecture de ce quatrième opus est toujours haletante malgré l'essoufflement du rythme. Cela m'a fait tourner les pages à une vitesse folle tellement je voulais savoir la suite. Minoru Takeyoshi tire malicieusement les ficelles. Nous sentons qu'elle est en train de nous mener en bateau. A chaque rebondissement et révélations, je redoute l'issue qui me paraît fatale.

Cette tension se reflète aussi à travers les traits agressifs des personnages. Si, dans le premier tome, je me suis peu à peu familiarisée avec le graphisme, dans le deuxième, le troisième et le quatrième, j'ai été complètement séduite par ce style violent et sale. Les planches renforcent l'ambiance horrifique du livre. Le décor et le physique des personnages sont dépeints dans le détail comme j'aime. Ils renforcent cette vivacité rendant l'histoire terriblement addictive.

En bref, vous l'avez compris. Je vous conseille fortement cette saga. Une pépite qui vaut le détour pour les fans du genre. Attention quand même aux âmes sensibles, l'autrice ne se censure par. Vive le tome 5 !

J'ai vu passer cette saga sur un compte insta. L'avis de la chroniqueuse a capté mon attention. J'étais très intriguée par le speech mais aussi par la beauté des jaquettes. Je n'ai pas hésité au vu de la recommandation de mon amie. Je me suis acheté tous les tomes de cette saga. La confiance aveugle encore me direz-vous !

Mais le risque en valait la chandelle car ce troisième opus suit parfaitement bien les tomes précédents. On reprend l'histoire là où elle s'est arrêtée avec un suspense insoutenable. En plus, l'auteur touche un point sensible : la période de l'inquisition et la chasse aux sorcières. Étant mon sujet de TPE dont je garde un bon souvenir (d'un point de vue apprentissage), l'histoire me happe toujours autant. L'immersion dans cette ambiance médiévale a été totale. Je suis très attirée par ce ton gothique qui fait tout le charme de la saga. C'est très sombre voire gore par moment. J'en ai été fasciné et horrifié en même temps.

Le monde qui nous est décrit, est cruel et malsain. Les personnages ne sont pas épargnés. Comment être indifférent à leurs sorts ? Je n'ai pas pu m’empêcher d'éprouver de l'empathie à leur égard tant ce que vivent les filles du couvent est terrible. Nous espérons qu'elles réussissent les épreuves que leur inflige les soeurs. Nous souhaitont qu'elles finissent par s'échapper de cette affreuse prison. Ces questions créent une tension permanente qui ne s'essouffle pas. Cela m'a fait tourner les pages à une vitesse folle tellement je voulais savoir la suite. Minoru Takeyoshi tire malicieusement les ficelles. Nous sentons qu'elle est en train de nous mener en bateau. A chaque rebondissement et révélations, je redoute l'issue car il suffit d'une simple negligence et le plan d'évasion d'Ella et de ses alliées peut à tout moment basculer.

Cette tension se reflète aussi à travers les traits agressifs des personnages. Si, dans le premier tome, je me suis peu à peu familiarisée avec le graphisme, dans le deuxième et le troisième, j'ai été complètement séduite par ce style violent, sale et vif. Les planches renforcent l'ambiance horrifique du livre. Le décor et le physique des personnages sont dépeints dans le détail comme j'aime. Ils renforcent cette vivacité et ce dynamisme rendant l'histoire addictive.

Chaque personnage a un rôle crucial dans le dénouement de l'intrigue. J'ai une légère préférence pour Kaja que je trouve en même temps discrète et coriace. Ella la talonne de près pour son génie et sa force d'acier intrépide. Totalement le genre de personnages féminins que j'adore suivre. Les personnages secondaires gagnent peu à peu en profondeur ce qui nous fait encore plus douter pour la suite des événements.

En bref, vous l'avez compris. Je vous conseille fortement cette saga. Une pépite qui vaut le détour pour les fans du genre. Attention quand même aux âmes sensibles, l'autrice ne se censure par. Vive le tome 4 !

J'ai vu passer cette saga sur un compte insta. L'avis de la chroniqueuse a capté mon attention. J'étais très intriguée par le speech mais aussi par la beauté des jaquettes. Je n'ai pas hésité au vu de la recommandation de mon amie. Je me suis acheté tous les tomes de cette saga. La confiance aveugle encore me direz-vous !

Le risque était bon à prendre car ce deuxième opus est dans la continuité du tome 1. On reprend l'histoire là où elle s'est arrêtée ce qui fait que nous avons un début tendu avec du suspence. En plus, l'auteur touche un point sensible : la chasse aux sorcières. Étant mon sujet de TPE dont je garde un bon souvenir (d'un point de vue apprentissage), l'histoire me happe toujours autant. L'immersion a été totale malgré quelques longueurs. Je me suis cru dans cette ambiance médiévale. Le ton gothique du récit m'a indéniablement séduite. C'est très sombre voire gore par moment. J'en ai été fasciné et horrifié en même temps.

Le monde qui nous est décrit, est cruel et malsain. Les personnages ne sont pas épargnés. Comment être indifférent à leurs sorts ? Je n'ai pas pu m’empêcher d'éprouver de l'empathie à leur égard tant ce qu'elles vivent est terrible. Forcément, je suis de tout cœur à leurs côtés ce qui crée un tension permanente qui ne s'essouffle pas. Cela m'a fait tourner les pages à une vitesse folle tellement je voulais savoir la suite. Minoru Takeyoshi tire malicieusement les ficelles. On sent qu'elle nous mène en bateau nous faisant redouter les rebondissements et les révélations car le plan d'évasion d'Ella et de ses alliées peut à tout moment basculer.

Cette tension se reflète aussi à travers les traits agressifs des personnages. Si, dans le premier tome, je me suis peu à peu familiarisée avec le graphisme, dans le tome 2, j'ai été complètement séduite par ce style violent, sale et vif. Les planches renforcent l'ambiance horrifique du livre. Pour moi, ça a été un vrai plaisir pour les yeux. Le décor et le physique des personnages sont très bien dépeints. Ils renforcent cette vivacité et ce dynamisme rendant l'histoire addictive.

En bref, vous l'avez compris. Je vous conseille de vous lancer dans cette saga. Une pépite qui vaut le détour ! J'ai tellement hâte de me jeter sur la suite.

J'ai vu passer cette saga sur un compte insta. L'avis de la chroniqueuse a capté mon attention. J'étais très intriguée par le speech mais aussi par la beauté des jaquettes. Je n'ai pas hésité au vu de la recommandation de mon amie. Je me suis acheté tous les tomes de cette saga. La confiance aveugle encore me direz-vous !

Le risque était bon à prendre car j'ai adoré ce premier opus. Je me suis laissée porter par ce nouvel univers. Déjà, l'auteur touche un point sensible : la chasse aux sorcières. Étant mon sujet de TPE dont je garde un bon souvenir (d'un point de vue apprentissage), l'histoire m'a très vite happée. L'immersion a été totale. Je me suis cru dans cette ambiance médiévale. Le ton gothique du récit m'a indéniablement séduite. C'est très sombre voire gore par moment. J'en ai été fasciné et horrifié en même temps.

Le monde qui nous est décrit, est cruel et malsain. Dés le début de l'histoire, le protagoniste n'est pas épargné. Comment être indifférent à son sort ? Je n'ai pas pu m’empêcher d'éprouver de l'empathie à son égard tant ce qu'elle vit est terrible. Forcément, je suis de tout cœur à ses côtés ce qui crée un basculement entre le bien et le mal. Ce tiraillement m'a fait rappeler, le temps de quelques pages, la patte de Kasane de Daruma Matsuura qui est ma référence ultime dans l'univers mangaka.

Le lien avec cette référence se ressent un peu aussi dans le graphisme. Les traits des personnages sont agressifs. Il y a un ton violent, sale et vif qui me plaît énormément. Les planches renforcent l'ambiance horrifique du livre. Pour moi, ça a été un plaisir pour les yeux. Le décor et le physique des personnages sont bien dépeints. Ils donnent de la vivacité et du dynamisme à l'histoire. Cette additivité s'est ressentie au cours de ma lecture.

J'ai lu le premier volet très vite tellement la tension est à son comble. Le suspense, étant présent dés la première page, fait tourner les pages encore plus vite. Le fil conducteur maintient son mystère jusqu'au bout, nous donnant envie de se jeter sur la suite. C'est là que je suis contente d'avoir le tome 2 sous la main. Alors, c'est parti. J'ai trop hâte !

A sa sortie, la saga a aussitôt attiré mon œil par sa couverture gothique. Ainsi, quand une libraire du Renard Doré me l'a fortement recommandée, je n'ai pas hésité. Je me suis aussitôt acheté les trois premiers tomes en un coup tellement le speech de l'histoire me hyppait. Puis, quelques temps après, sans avoir commencé la saga, je me suis procuré le quatrième tome. Je sais, la confiance aveugle. Ayant pris ce risque et en ayant tous ces éléments positifs en tête, mes attentes étaient hautes pour cette saga. J'en attendais beaucoup au vu de l'originalité de l'intrigue. Forcément, j'avais cette crainte d'être déçue de ma décision.

Au final, je n'ai rien compris à ce qui m’arrivait. Le tome 4 a marqué mon cœur de lectrice. J'étais tellement dans l'ambiance du livre que j'ai eu un pincement en le terminant. Je ne voulais pas quitter cette patte graphique qui est parsemée de détails. Les traits des personnages sont extrêmement fins et doux. Il se dégage une atmosphère sombre, surnaturelle et gothique. La beauté incontestable des planches m'a invité dans un cocon de douceur et d'obscurité. Jusqu'à présent, c'est vraiment la plus belle série-manga que j'ai lue car nous avons aussi des pages en couleur qui renforcent cette atmosphère ténébreuse. Étant gaga de ce style d'histoire, je suis émerveillée par l'objet-livre et l'univers qui se déploie au fil des pages.

Ce qui est aussi très appréciable, c'est que l'auteur prend le temps de nous décrire ce nouvel univers. Le tome 4 est riche en actions et en révélations mais les explications nous viennent progressivement sans perdre la compréhension du lecteur. Pourtant, la hiérarchie qui nous est présentée, est très complexe tant les personnages sont nombreux. Dans ce tome-ci, on nous montre aussi l'envers du décor rendant le manoir des Shadows encore plus fascinant et malaisant. Le mystère est à son apothéose rendant la lecture ultra addictive et haletante. Cependant, j'ai fais le choix de savourer mon livre tellement j'étais prise par cette folle intrigue qui m'a fait ressentir de fortes émotions. Passant de l'angoisse à l'euphorie puis la tristesse et enfin la révolte, cet opus m'a transcendé car il marque un tournant imminent vers une nouvelle ère. Entre mensonges, manipulations, complots, on sent que l'auteur tire malicieusement les ficelles de son intrigue, la rendant haletante. De cette manière, le lien entre les personnages se resserrent, les rendant complexes.

Je suis toujours autant attachée à Emilico car elle déborde d'énergie et de joie de vivre. Sa positivité et son génie à toutes épreuves m'ont séduits car elle apporte un joli rayon de soleil dans cet univers si noir. Quant aux personnages secondaires, ils gagnent en prestance. Chacun semble avoir leurs propres secrets et leurs propres motivations. John est indéniablement devenu mon chouchou ! Je suis trop fangirl dés qu'il lance des déclarations d'amour à Kate et dés qu'il se retrouve dans le feu de l'action. Faut l'avouer, il est terriblement badasse. Ce basculement avec l'insouciance d'Emilico rend ce panel de personnages hauts en couleur.

De cette manière, nous avons un mélange de légèreté et de dureté. Ce parfait cocktail rend l'intrigue prometteuse pour la suite. Le tome 4 nous annonce une fin insoutenable. Et dire que je n'ai pas le tome 5 sous la main, je suis trop dég !!! Vivement que je me l'achète vite car vous l'avez compris, ce tome 4 est un coup de cœur ! Lancez-vous dans cette saga !

A sa sortie, la saga a aussitôt attiré mon œil par sa couverture gothique. Ainsi, quand une libraire du Renard Doré me l'a fortement recommandée, je n'ai pas hésité. Je me suis aussitôt acheté les trois premiers tomes en un coup tellement le speech de l'histoire me hyppait. Je sais, la confiance aveugle. Ayant pris ce risque et en ayant tous ces éléments positifs en tête, mes attentes étaient hautes pour cette saga. J'en attendais beaucoup au vu de l'originalité de l'intrigue. Forcément, j'avais peur d'être déçue.

Le tome 3, en adéquation avec les opus précédents, m'a tout aussi charmée car l'ambiance de l'histoire se renforce. Le graphisme est parsemé de détails. Les traits des personnages sont extrêmement fins et doux. Il se dégage une atmosphère sombre, surnaturelle et gothique. L'immersion s'est prolongée tellement les planches sont sublimes. Jusqu'à présent, c'est vraiment la plus belle série-manga que j'ai lue car nous avons aussi des pages en couleur qui renforcent cette atmosphère ténébreuse. Étant gaga de ce style d'histoire, je suis émerveillée par l'objet-livre et l'univers qui se déploie au fil des pages.

Ce qui est aussi très appréciable, c'est que l'auteur prend le temps de nous décrire ce nouvel univers. Si le tome 3 devient riche en actions et en révélations, les explications nous viennent progressivement. De cette manière, la hiérarchie qui nous est présentée, est très facile à comprendre. En parallèle, le mystère devient palpable. L'auteur nous dissémine des non-dits ce qui attire ma curiosité et donne de la profondeur à l'histoire. De cette manière, le lien entre les personnages se resserrent, les rendant complexes.

Je suis de plus en plus attachée à Emilico car elle déborde d'énergie et de joie de vivre. Sa volonté et son génie à toutes épreuves me séduisent car elle apporte un joli rayon de soleil dans cet univers si noir. Quant aux personnages secondaires, ils gagnent en prestance. Chacun semble avoir leurs propres secrets et leurs propres motivations. Progressivement, John est devenu mon chouchou. Je suis trop fangirl dés qu'il lance des déclarations d'amour à Kate et dés qu'il se retrouve dans le feu de l'action. Faut l'avouer, il est terriblement badasse. Ce basculement avec l'insouciance d'Emilico rend ce panel de personnages hauts en couleur.

De cette manière, nous avons un mélange de légèreté et de dureté. Ce parfait cocktail rend l'intrigue prometteuse pour la suite. Le tome 3, marquant un tournant imminent à l'histoire, intensifie le suspense. La fin nous donne envie de se jeter immédiatement sur le prochain opus.

Cependant, il me manque ce quelque chose en plus - cette étincelle je dirais- pour permettre le coup de cœur immédiat. Le tome 4 a toutes les chances de décrocher mon cœur de lectrice. Ça me semble bien parti. J'ai trop hâte de me lancer dans cette lecture !

A sa sortie, la saga a aussitôt attiré mon oeil par sa couverture gothique. Ainsi, quand une libraire du Renard Doré me l'a fortement recommandée, je n'ai pas hésité. Je me suis aussitôt acheté les trois premiers tomes en un coup tellement le speech de l'histoire me hyppait. Je sais, la confiance aveugle. Ayant pris ce risque et en ayant tous ces éléments positifs en tête, mes attentes étaient hautes pour cette saga. J'en attendais beaucoup au vu de l'originalité de l'intrigue et j'avais peur d'être déçue.

Au final, le tome 2 m'a encore plus charmée car l'ambiance de l'histoire se renforce. Le graphisme est parsemé de détails. Les traits des personnages sont extrêments fins et doux. Il se dégage une atmosphère sombre, surnaturelle et gothique. L'immersion s'est prolongée tellement les planches sont sublimes. Jusqu'à présent, c'est vraiment la plus belle série-manga que j'ai lue car nous avons aussi des pages en couleur qui renforcent cette atmosphère ténébreuse. Etant gaga de ce style d'histoire, je ne peux qu'être emmerveillée par l'objet-livre et l'univers qui se déploie au fil des pages.

Ce qui est aussi très appréciable, c'est que l'auteur prend le temps de nous décrire ce nouvel univers. Le tome 2 est encore introductif mais l'action commence à apparaître. De cette manière, la hiérarchie qui nous est présentée est très facile à comprendre. En parallèle, le mystère pointe le bout de son nez. L'auteur nous dissémine des nons-dits ce qui attire ma curiosité et donne de la profondeur à l'histoire. De cette manière, le lien entre les personnages se reserrent, les rendant complexes.

Je me suis rapidement attachée à Emilico car elle déborde d'énergie et de joie de vivre. Sa positivité m'a charmée et elle a toujours des idées plein la tête. Elle apporte un joli rayon de soleil dans cet univers si noir. Quant aux personnages secondaires, ils ont chacun une part de mystère que ce soit Mia, Shawn et Ricky. Je trouve les personnages masculins particulièrement énigmatiques et calculateurs. Ce basculement avec l'insouciance d'Emilico rend ce pannel de personnages hauts en couleur.

De cette manière, nous avons un mélange de légèreté et de dureté. Ce parfait cocktail rend l'intrigue prometteuse pour la suite. Même si le rythme de ce tome 2 reste aussi lent et essentiellement contenplatif, le lecteur sent qu'un mystère s'installe dans l'ombre.

Cependant, il est vrai que cette lenteur n'a pas encore permis le coup de coeur pour moi mais le plaisir de lecture était très présent. J'étais tellement immergée dans ma lecture que j'ai adoré ce deuxième opus. J'ai hâte d'enchainer les tomes suivants pour me faire un avis plus définitf.