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Je me lève, le cerveau encore embrumé puis je me dirige vers la salle de bains. J’ouvre la porte en baillant et en me frottant les yeux puis je la referme. J’enlève le bas de mon pyjama que je pose sur le bac à linge sale puis je prends mon haut avec l’intention de filer sous la douche.

– Avant que tu ne continues, je préfère te prévenir que tu n’es pas seule, dit la voix de Tayler derrière moi.

Dans un réflexe, je sursaute et me tourne, mais je me rends rapidement compte qu’il est dans la cabine de douche. Avant que mon regard ne fixe sa partie intime, je ferme les yeux et mets mes mains devant mon visage en criant un « merde », ce qui apparemment le fait rire. Je sens une bouffée de chaleur m’envahir, je suis tellement gênée par la situation que je n’arrive plus à réfléchir jusqu’à ce que je me souvienne que je n’ai plus le bas de mon pyjama.

– Oh putain ! dis-je en essayant de trouver quelque chose avec une main pour me cacher.

Il éclate de rire, j’entends la porte de la douche s’ouvrir et je recule d’un pas.

– Je vais juste prendre une serviette afin que tu puisses ouvrir les yeux.

– Pourquoi tu ne t’es pas enfermé ?

– Parce qu’il n’y a pas de verrou, mais j’ai mis un chouchou pour dire que c’était occupé.

Je grogne.

– Encore ces chouchous…

– C’est ça d’entrer dans une pièce les yeux fermés, dit-il en retirant ma main de mon visage.

Je reste avec les yeux fermés et un silence se fait.

– Il vaut mieux que tu les ouvres pour prendre ta douche.

Je fais ce qu’il me dit et le vois face à moi tout sourire, ce qui m’irrite.

– C’est drôle comme situation, n’est-ce pas ? dis-je énervée.

Il attrape mon poignet et le tient avec fermeté.

– He ! Détends-toi ! Ce n’est pas grave, ça arrive entre colocs.

Ça ne serait jamais arrivé s’il y avait eu un verrou !

Nous nous regardons dans les yeux, j’ouvre la bouche avec l’intention de lui dire ma pensée, mais je la referme aussitôt. Je me rends compte que sa manière d’être m’intimide et me fait perdre tous mes moyens. Mon regard se pose sur ses lèvres puis son cou jusqu’à ses épaules, j’examine minutieusement chaque courbe que ses muscles forment sous sa peau puis je reprends mes esprits.

– Je dois prendre ma douche, dis-je d’une voix basse.

Il relâche mon poignet et recule.

– Au fait, ça va mieux ta tête ?

– Oui, merci.

– Je te souhaite une bonne journée.

– Merci, toi aussi.

Je le regarde ouvrir la porte puis il se tourne.

– Merde pour ton premier jour de boulot. À ce soir.

Il referme la porte. Au lieu de m’avancer pour aller me laver, je reste sans bouger à repenser à ce que je viens de voir.

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