Extraits

I never took to fighting like the others. I could do it well enough. Maybe I was even good at it. But I didn't like it. Or maybe it was that I liked it too much.

Sam only fought when it meant something. Like escaping. Surviving. Protecting. Cas treated fighting like a dance—he always wanted to show off the best moves. Mostly because he's a jackass.

When I fought, I had a hard time pulling back.

I slammed a shot of whiskey, the cheap shit, and felt the muscles in my stomach tense. Pull from the core, that's what Sam always said. Or maybe it was something he used to say, back before we lost our memories to the Branch—the shadowy organization that turned us into super soldiers, and then tried to kill us when we didn’t obey like dogs.

"Did you hear me?" the man next to me said.

"I did." I felt the gloom of the bar settle over me. There'd always been something about dark, smokey bars. Something familiar.

"Well, what do you have to say then?" the man said.

He was taller than me by a handful of inches. Bigger too. Fatter, though, which meant he was slower. Speed always wins over brawn, if you ask me.

I turned to the man, wavered to give him the idea I was drunk, which I wasn't. Or at least, not entirely. I peered at him from beneath heavy lids, and then looked over his shoulder at his girlfriend or sister or maybe it was his mom. "Your mom is pretty. I'm sorry I hit on her."

The woman frowned. The man scowled.

"That ain't what I'm talking about. My friend says he saw you steal my wallet back near the john. Did you?"

Yes. "No."

"Well he said you did."

If I were really trying, there wouldn't have been witnesses to the lift. So I guess I'd been sloppy on purpose.

Maybe I did like fighting after all.

Je n'ai jamais pris de combats comme les autres. Je pourrais le faire assez bien. Peut-être que j'étais même bien. Mais je ne l'avais pas aimé. Ou c'est peut-être que je l'ai trop aimé.

Sam a seulement combattu quand cela signifiait quelque chose. J'aime échapper. Survivant. Protéger. Cas a traité les combats comme une danse - il a toujours voulu montrer les meilleurs mouvements. Principalement parce qu'il est un gars.

Quand j'ai combattu, j'ai eu du mal à me retirer.

J'ai claqué un coup de whisky, la merde bon marché, et j'ai senti les muscles dans mon ventre tendus. Tirez du noyau, c'est ce que Sam a toujours dit. Ou peut-être c'était quelque chose qu'il avait l'habitude de dire, avant de perdre nos souvenirs à la branche, l'organisation sombre qui nous a transformés en super soldats, et a ensuite essayé de nous tuer quand nous n'avons pas obéi comme des chiens.

"M'as-tu entendu?" Dit l'homme à côté de moi.

"J'ai fait." J'ai senti que l'obscurité de la barre s'arrangeait sur moi. Il y avait toujours eu quelque chose sur les barres sombres et fumées. Quelque chose de familier.

"Eh bien, qu'est-ce que tu dois dire alors?" l'homme a dit.

Il était plus grand que moi par une poignée de pouces. Plus grand aussi. Fatter, cependant, ce qui signifiait qu'il était plus lent. Speed ​​vous gagne toujours sur la force, si vous me le demandez.

Je me suis tourné vers l'homme, hésité à lui donner l'idée d'être ivre, ce que je n'étais pas. Ou du moins, pas entièrement. Je l'ai regardé sous des couvertures lourdes, puis j'ai regardé par-dessus son épaule à sa petite amie ou à sa soeur ou peut-être c'était sa mère. "Votre mère est belle. Je suis désolé, je l'ai frappé."

La femme fronça les sourcils. L'homme fronça les sourcils.

"Ce n'est pas ce dont je parle. Mon ami dit qu'il a vu vous voler mon porte-monnaie en retour près de john. Vous l'avez fait?"

Oui. "Non."

"Bien, il a dit que vous l'avez fait."

Si j'essayais vraiment, il n'y aurait pas eu de témoins à l'ascenseur. Donc, je suppose que j'étais folle à dessein.

Peut-être que j'avais envie de me battre après tout.

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