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Il y a de cela très longtemps, l'île de Freyja appartenait aux Luricans. Les petits bonhommes vivaient à la surface de la terre, dans de charmantes maisons faites de paille et de pierres. Ils élevaient des chevaux sur lesquelles ils galopaient des journées entières et vivaient heureux sur leur bout de terre au milieu de l'océan. Un jour, la déesse Freyja avait décider que l'île deviendrait son sanctuaire, son temple sur la Terre. Elle avait envoyé les Valkyries, de puissantes guerrières chevauchant des pégases, chevaux se déplaçant dans les airs, pour éliminer « les petites vermines rousses » qui peuplaient ce morceau de rocher. Des milliers de Luricans avaient ainsi été assassinés et leurs corps, lancés du haut des falaises. Ce massacre était à l'origine d'une légende racontant que les âmes des morts s'étaient matérialisées en oiseaux et que leurs cris s'élevaient au ciel comme une constante injure à la déesse Freyja.

Les survivants s'étaient réfugiés dans les grottes, mais Freyja avait mis un griffon sur l'île pour la garder. À cause de ce gardien, les Luricans avaient dû abandonner l'idée de revenir à la surface et s'était mis à creuser des galerie souterraines pour s'établir. Depuis des générations, les petits hommes roux sortaient de leur terrier avec prudence pour regarder leur chevaux, devenus sauvages, courir et jouer dans l'herbe folle. Freyja les avait condamnés à vivre cachés et reclus dans les ténèbres. La puissante déesse avait fait fi de leurs dieux et s'était implantée de force. Les Luricans la surnommaient maintenant « la mortelle » et jamais son véritable nom n'était prononcé.

Laissés à eux même, les Luricans étaient devenus débrouillards et ingénieux. Ils avait inventé des machines à creuser la terre, des portes piégées pour feinter le griffons, un système d'éclairage à l'huile de terre (une substance noire et visqueuse rassemblant étrangement au pétrole brut) , des fours à loupe, des cuisinières radiantes activées par les rayon du soleil et des serres intérieurs pour faire pousser une incroyable quantité de légumes. Malgré leur caractère dissipé et leur proportion à faire la fête, ces petits êtres avaient réellement accompli des miracles. Ils avaient repris leur destin en main et s'étaient rapidement adaptés à leur nouvel environnement.

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Les vieilles légendes des peuples nordiques racontent l'histoire du collier de Brisingamen. Créé par Alfrigg, Dvalin, Berling et Grer, quatre nains à la longue barbe et aux muscles de fer, ce bijou fut jadis considéré comme l'une des splendeurs du monde. Selon cette histoire, Freyja, déesse de l'Amour et de la Fécondité, voulut se l'approprier afin d'accroître sa beauté déjà impressionnante. Ainsi, elle charma les nains et leur subtilisa Brisingamen. Le récit raconte que lorsque la déesse revint à Asgard, le domaine des dieux, elle était si belle qu'elle illumina les lieux comme un nouveau soleil. Odin, chef du panthéon nordique, lui ordonna de rendre le bijou à ses propriétaires. Les nains avaient porté plainte et demandaient réparation. Ils voulaient récupérer leur bien.

Ce vol, aux dires d'Odin, avilissait les dieux du bien et n'était pas digne d'une âme aussi belle et noble que celle de Freyja. La déesse refusa de se soumettre et confia le collier aux Brising, une race de fées vivant cachées dans les profondeurs des forêts enneigées. Ainsi, ni les nains ni Odin ne pourraient mettre la main dessus.

À cause de ce bijou, une guerre éclata entre les troupes de Freyja et celles d'Odin. Ce combat dura plusieurs décennies et se solda par la mort de centaines de vikings et la disparition de nombreuses créatures magiques. Pour se venger d'Odin, Freyja jeta une malédiction sur les béorites en faisant mourir leurs enfants dès le berceau, condamnant ainsi cette race à une extinction certaine. De toute ses créations, les hommes-ours étaient celle que préférait Odin.

Les vieux sages savent que, lorsque les dieux du bien se chamaillent entre eux, les dieux du mal en profitent pour étendre leur pouvoir sur le monde. Il en va ainsi depuis le début des temps...

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Le gros garçons commença par raconter l'apparition du visage dans les étoiles. Puis ensuite il résuma sa discussion avec la déesse Freyja en évitant soigneusement de dire qu'il avait bafouiller de nervosité. Il informa ses amis du mariage prochain d'Odin et de Freyja , puis parla des grâce, du marteau, du bouclier, du drakkar et de la résurrection de Médousa.

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