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Toujours à la poursuite des Démons Invisibles, responsables de la mort de ses parents, Andrea Cort se rend sur la lointaine planète Vlhan. Ses imposants habitants y pratiquent un rituel qui tient tout autant du spectacle de danse que du suicide collectif. Une fois, par le passé, le ballet a dégénéré, et les habitants de Vlhan se sont retournés contre les spectateurs présents pour les massacrer.
Andrea est convaincue qu’élucider le mystère à l'origine de cette tragédie peut la mener à ses Démons Invisibles. Mais la disparition d’une jeune fille vient rapidement compliquer sa quête personnelle.
Vlhan est une planète dangereuse et Andrea ignore à quel point elle s’apprête à danser avec la mort.
Andrea se rend sur Vlhan, une planète où se déroule un ballet qui mêle ses autochtones à l'aspect de grande boule chitineuse à longues pattes fines, et des humains qui ont été modifiés pour y participer.
La seule façon de comprendre leur langage est de décoder leur danse. Leur message serait-il capital ? C'est ce qu'en déduisent les sentients de nombreux mondes.
Entre enquête sur la recherche d'une danseuse et les attaques de Vlhanis, Andrea Cort doit prendre des décisions qui seront lourdes de conséquences, et un fardeau supplémentaire à rajouter à ceux qu'elle porte déjà.
L'auteur a de la matière pour nous concocter une suite à la hauteur de notre trio, vu que le fond de l'histoire n'est pas résolu, et comme je suis une adepte du tempérament de l'héroïne je serai à l'affût de nouvelles parutions.
Et voici les aventures d’Andrea Cort terminées pour moi avec ce dernier tome de la trilogie.
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Et quelles aventures avec cette héroïne hors du commun, décrite tour à tour par les autres comme forte, faible, garce, arrogante, froide, monstre … une héroïne complexe qui n’a pas froid aux yeux, au passé horrible et meurtrier mais une survivante, et qui mène la danse et la cadence de la saga avec son humour (particulier et propre à elle même, il faut bien l’avouer🤣)
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Ce livre est composé d’un roman mais aussi de deux nouvelles, bonus que j’ai trouvés très intéressants d’ailleurs, à ne pas négliger à la lecture je trouve : dans l’une, en introduction du roman, nous découvrons les Vlhanis (marionnettes aux lames/fouets acérés) qui, si je ne me trompe pas, nous n’avions pas encore rencontrées auparavant; et dans l’autre, en conclusion de roman, l’on tourne autour des inseps (un corps, plusieurs âmes).
De quoi développer encore l’univers sombre d’Andrea Cort!
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Le rythme de ce roman m’a beaucoup plu, alternant les passages narratifs avec pas mal de dialogues rendant l’ensemble fluide, l’action était clairement au rendez-vous, pas un moment de répit dans cette conclusion.
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Bien entendu, nous sommes en SF, l’humanité et ses actions en prennent un coup, on nous fait réfléchir à nos actions en tant qu’humain au travers des personnages.
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En bref : un super tome avec plein d’action, sombre et plutôt pessimiste, qui clos la trilogie (est elle vraiment close?) avec panache entre tension et peur à chaque étape.
Et c’est parti pour le dernier tome des aventures d’Andrea Cort, composé de deux nouvelles et d’un roman, dans un univers Space-Opera où plusieurs espèces sapientes cohabitent.
Les lames qui sculptent les marionnettes : pour commencer, l’éditeur nous propose une nouvelle qui se déroule juste avant le roman. On n’y croise pas Andrea, mais deux personnages rencontrés lors du roman précédent, Jason et Jelaine. C’est l’occasion de découvrir ce qui est arrivé au jeune homme pendant sa longue disparition, et surtout on entrevoit les Vlhanis — les « marionnettes » – peuple qu’on connaîtra mieux lors du roman. Récit sombre et prenant — le soin apporté au protagoniste-narrateur est à souligner — avec une conclusion qui incite à se jeter sur le roman qui suit ! Précisons toutefois que ce n’est pas seulement une nouvelle d’introduction au roman : elle offre une histoire complète et marquante, dans la veine d’une série sombre.
La cachette : une dernière nouvelle pour clore le tome. Je vous en parle maintenant, pour ensuite prendre le temps de commenter le roman. Dans une tonalité encore une fois sombre (on est dans la série Andrea Cort, hein !), notre héroïne se retrouve face à une impasse juridique : un meurtre a été commis par un membre d’un inseps, avant la fusion de son esprit avec deux autres humains. Si on l’emprisonne, son esprit ne le sera pas tout à fait, puisqu’il sera présent dans sa plénitude dans les deux autres corps. Mais on ne peut pas emprisonner les deux autres non plus, qui ne sont pas coupables. L’auteur en profite pour décortiquer les mécanismes et les limites d’une des créations de son univers, à savoir ici les inseps, un seul esprit dans deux ou trois corps. Pertinent, avec toujours cette personnalité propre à Andrea Cort : un pessimisme mêlé à des remarques tranchantes.
La Guerre des marionnettes : Revoici Andrea Cort, procureure du Corps Diplomatique et agente secrète des IA-source (lisez les premiers tomes pour comprendre !). Ces IA-source l’envoient sur Vlhan sans lui en donner la raison. Accompagnée des inseps Skye et Oscin (deux êtres humains qui ont fusionné leur esprit), elle débarque juste avant le Ballet annuel, étrange rite où des Vlhanis se font massacrer après une danse. Depuis quelques années, des jeunes homsaps (humains) sont irrésistiblement attirés par ce Ballet et entament une longue transformation physique et psychique pour y participer, convaincus d’aider à la quête supposée des Vlhanis. Ces illuminés finissent tous découpés en rondelle.
Car les Vlhanis sont une espèce à part : ils sont formés de sphères d’où sortent des immenses lames, surnommées fouets, qui leur permettent de se déplacer et de communiquer. En effet, les « danses » des fouets dessinent des schémas encore mystérieux pour les autres espèces, qui, fascinées, cherchent à décrypter la promesse d’un nouveau savoir : les Vlhanis sont réputés très intelligents et suscitent une forte curiosité. Mais ces mêmes lames peuvent aussi trancher un corps.
Quand Andrea et ses amis débarqueront sur Vlhan, tout va partir en vrille.
Ce tome est captivant, la tension monte et on craint pour chacun des personnages, y compris les plus secondaires. L’auteur a un talent narratif indéniable, et ce récit ne manque pas d’actions, de rebondissements et de scènes dramatiques. Le destin de certains personnages secondaires est terrible tandis que d’autres s’enfoncent dans la médiocrité. Le lecteur assiste à une tragédie grecque, tant les acteurs ont eux-mêmes scellé leur funeste destin.
La narration interne — ici avec Andrea mais aussi Skye — nous permet d’entrer dans les méandres de l’esprit complexe d’Andrea, peu sociable mais qui a fortement évolué et qui n’est pas dénué de morale, au contraire. Et c’est bien son problème. On suit son cheminement, comme lors des tomes précédents, et on aimerait un peu d’espoir pour elle.
La conclusion critique en creux l’humanité. Ça m’a toujours amusée de constater que tant d’écrivains de SF pensent que les autres espèces sapientes seraient forcément plus sages ou plus rationnelles que nous, parti-pris lié au dégoût des massacres et guerres de notre Histoire. Jusqu’à preuve du contraire, les autres ont peut-être plus de carnages à leur passif (c’est facile pour moi d’écrire cette remarque : je doute d’être démentie dans un futur proche, à défaut d’un « premier contact » imminent).
Revenons aux Vlhanis et à leurs mystères. Toute la galaxie s’est mêlée du destin de cette espèce, à un moment ou à un autre. Ces marionnettes sont réellement le jouet des autres, et la planète devient le théâtre d’une lutte entre puissances alors que cette espèce ne se doute de rien. Quant à la conclusion de la saga, elle est très sombre (on est dans la série Andrea Cort, encore une fois), voire un brin défaitiste, mais logique et réussie.
Un très bon dernier tome de saga : sombre, palpitant, et une galerie de personnages marquants. Il semblerait toutefois que l’auteur puisse écrire encore d’autres textes dans cet univers, et ce serait une excellente nouvelle !
La première nouvelle éclaircit des zones d’ombres laissées par La Troisième Griffe de dieu, et est en lien direct avec La Guerre des Marionnettes.
Elle est absolument horrible, mais elle prépare bien au récit principal, qui pour le coup l’est tout autant : aucune pause, la peur est partout, la tension est palpable. Je me suis terriblement inquiétée pour les personnages, tout au fil du récit, beaucoup plus que dans les précédents tomes.
La dernière nouvelle ouvre une nouvelle perspective à Andrea, mais je pense que la conclusion reste prévisible et censée pour tout lecteur de la série : Andrea est toujours rattrapée par la réalité et la fatalité, il m’aurait semblé étrange qu’elle soit épargnée.
De manière globale, ce troisième tome est beaucoup plus sombre et pessimiste que les précédents. Andrea n’a presque pas le temps de faire preuve de son sens de l’humour mordant, tant elle a peu de temps pour ne serait-ce que sauver sa peau, ce qui est déjà bien.
C’est avec grand plaisir que j’ai appris dans le préambule que l’auteur comptait écrire à nouveau sur ce personnage, il y a donc des chances pour que La Guerre des Marionnettes ne soit pas le dernier tome de cette série. À voir dans quelques années !
Résumé
Toujours à la poursuite des Démons Invisibles, responsables de la mort de ses parents, Andrea Cort se rend sur la lointaine planète Vlhan. Ses imposants habitants y pratiquent un rituel qui tient tout autant du spectacle de danse que du suicide collectif. Une fois, par le passé, le ballet a dégénéré, et les habitants de Vlhan se sont retournés contre les spectateurs présents pour les massacrer.
Andrea est convaincue qu’élucider le mystère à l'origine de cette tragédie peut la mener à ses Démons Invisibles. Mais la disparition d’une jeune fille vient rapidement compliquer sa quête personnelle.
Vlhan est une planète dangereuse et Andrea ignore à quel point elle s’apprête à danser avec la mort.
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