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Résumé
Une rencontre, un livre peuvent vous ouvrir à des horizons insoupçonnés. Tel fut le cas pour Alessandro Pignocchi qui, après avoir découvert Lances du Crépuscule de Philippe Descola, n’aura de cesse de savoir si, quarante ans plus tard, les Jivaros Achuar susurrent toujours aux esprits qui les entourent leurs petits poèmes : les anent.
À mi-chemin entre l’essai ethnologique et le carnet de voyage, Anent peut s’appréhender comme la chronique du quotidien d’une tribu amazonienne n'ignorant pas le XXIe, mais qui ne peut et ne veut se couper totalement de cette jungle matricielle. À défaut de lui donner le superflu… celle-ci lui offre l’essentiel.
Marchant dans les traces de son illustre prédécesseur, Alessandro Pignocchi n’a pas la même démarche. Cette différence s’illustre dans le dessin, un superbe lavis à l’encre de Chine pour l’un, un trait « blogesque » pour l’autre. Mais, au fil du temps, l’élève s’affranchit du maître pour vivre sa propre expérience et la traduit par une ligne plus mature où le lavis puis la couleur prennent place avec, parfois, quelques illustrations d’un naturalisme saisissant.
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