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— Mais oui, bien sûr ! Une fille comme toi, qui passe tout son temps avec un guerrier demi-dieu comme moi… Pourquoi déprimerait-elle ? Abandonner le fauteuil roulant de sa petite sœur n’est rien comparé à ce bonheur…

Je me prends les pieds dans une branche cassée.

— Tu plaisantes, j’espère ?

— Sache que je ne plaisante jamais avec mon statut de guerrier demi-dieu.

— Mon Dieu !… (Je me rends compte que j’ai oublié de parler à voix basse.) Tu n’es qu’un oiseau qui se la pète. OK, tu es musclé. Mais tu sais, un oiseau n’est qu’un lézard un peu évolué. C’est ce que tu es.

Il glousse.

— Ah, l’évolution… (Il se penche vers moi comme s’il allait me murmurer un secret à l’oreille.) Juste histoire de préciser… Je suis aussi parfait depuis la nuit des temps.

Il se tient tellement près que son souffle caresse mon oreille.

— Oh, s’il te plaît… Ton énorme tête risque de ne plus passer entre les arbres, si tu continues. Tu risques même de te retrouver coincé entre deux branches, tu sais. Et après ça, il faudra encore que je vienne te sauver. (Je lui lance un regard fatigué.) Encore !

Je me remets aussitôt à marcher pour décourager la réplique intelligente qui devrait venir.

Mais non. Raffe me laisserait-il avoir le dernier mot ?

Il sourit avec un air suffisant, lorsque je me retourne. Il m’a manipulée pour que je me sente mieux. Butée comme je le suis, j’essaie de résister, mais il est déjà trop tard.

Je me sens effectivement mieux.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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« Je n'avais jamais tué auparavant. Ce qui me fait peur n'est pas le fait de tuer quelqu'un. Ce qui me fait peur, c'est la facilité avec laquelle on peut le faire. »

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Je ne me le suis jamais dit jusqu'à maintenant, mais je me sens fière d'être humaine. Nous sommes bourrés d'imperfections, faibles, confus, violents, et nous avons énormément de problèmes à gérer. Mais je suis fière d'être la Fille de l'homme, dans l'ensemble.

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- Il faut que je te dise quelque chose, fait-il en murmurant si bas que même des anges ne l'entendraient pas, vu le brouhaha qui règne dans le couloir. Je n'en ai strictement rien à faire de toi.

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"Comment tu t'appelles? demande le chef à mon compagnon.

Son ton me paraît intime, tout à coup. Sans doute parce qu'il s'apprête à me nourrir.

- Mes amis m'appellent Colère, répond Raffe.Et mes ennemis m'appellent Prends Pitié de Nous. Et toi, petit soldat?"

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- Pourquoi tu ne t'es pas enfuie comme je t'avais dit de le faire ? murmure-t-il dans mes cheveux. J'ai toujours su que ta loyauté te tuerait. Je n'aurais juste jamais pensé que tu mourrais pour moi.

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- Comment tu t'appelles ?

Je lui ai posé cette question alors que je n'ai pas vraiment envie d'en connaître la réponse. En fait,je préfèrerais ne pas le connaître lui. Lui donner un nom risque de faire croire que nous sommes du même côté, ce que nous ne serons jamais. Ce serait un peu comme d'entériner le fait qu'on pourrait être amis. Pourquoi pactiserais-je avec mon bourreau ?

- Raffe.

Je lui ai demandé son nom pour l'empêcher de penser qu'il devra désormais se déplacer sur ses pieds. Mais maintenant que je le connais, je trouve ça mieux.

- Raffe. Mmm... J'aime bien.

Ses yeux s'adoucissent comme s'il souriait alors que son expression est toujours aussi dure. Le rouge me monte aux joues.

Je m'éclaircis la voix pour calmer ma gêne.

- Ça sonne comme << Raaah pfff, j'ai mal aux pieds !... >> Tu crois que c'est une coïncidence ?

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J'ouvre les paupières.La lumière du matin me fait aussitôt regretter cette initiative. Raffe est allongé sur son canapé, ses yeux bleu sombre fixés sur moi. Je me sens soudain bizarre, ainsi débraillée. Génial ... Le monde périclite, ma mère erre quelque part dehors avec les gangs de rue, plus délirante que jamais, ma sœur a été kidnappée par des anges vengeurs, et je m'inquiète de mes chevaux gras et de mon haleine.

Je me redresse brutalement et repousse la couverture sur le côté avec plus de force que nécessaire. J'attrape mes affaires de toilette avant de me diriger vers l'une des deux salles de bains.

-Bonjour à toi aussi ! lance mon compagnon d'une voix traînante. (Ma main est posée sur le bouton de la porte de la salle de bains lorsque je l'entends ajouter:) Et au cas où tu te demanderais, la réponse est oui.

Je me fige sur place, effrayée à l'idée de me retourner.

- Oui ?

Oui, il m'a tenue dans ses bras cette nuit, ou oui, il sait que j'ai aimé ça ?

- Oui, tu peux venir avec moi, répond-il d'une voix où le regret pointe déjà. Je vais te conduire à notre nid.

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Raffe recule, puis inspire une bouffée d’air comme s’il remontait à la surface d’une mer agitée. Ses yeux sont deux puits d’émotions bouillonnantes.

Il détourne la tête avant d’expirer un souffle à peu près contrôlé.

Puis il est de nouveau indéchiffrable. Ce qui se passe derrière ses yeux désormais noirs est totalement impénétrable.

Ce que j’y ai perçu un peu plus tôt a disparu tellement loin que je me demande si je n’ai pas tout imaginé. Seule sa respiration encore un peu rapide trahit son émotion.

— Il faut que je te dise quelque chose, fait-il en murmurant si bas que même des anges ne l’entendraient pas, vu le brouhaha qui règne dans le couloir. Je n’en ai strictement rien à faire de toi.

Ses épaules se raidissent. Je ne sais pas ce que j’avais espéré entendre, mais pas ça.

À la différence de ce cher ange, mes émotions doivent parfaitement se lire sur mon visage. J’en sens d’ailleurs une me monter aux joues : l’humiliation.

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« À ces mots, il se dirige vers la porte.

— Tu es vraiment un archange ?

Raffe m’adresse un sourire prétentieux.

— Impressionnée ?

— Non. (Je mens, bien sûr.) Mais j’aurais deux, trois réclamations à te faire concernant ton personnel.

— Tu n’as qu’à voir ça avec mon assistant.

Je franchis la porte à sa suite en lui lançant des regards assassins. »

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