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Au lieu de jeter mon verre contre la cloison, je fais couler son contenu sur l'ange sans lâcher le récipient.

- Réveille-toi... Réveille-toi! Qu'est-ce qu'ils sont en train de faire à ma sœur ? Qu'est-ce qu'ils lui veulent ? Elle est où, putain ?

Je crie comme une folle alors que ça pourrait attirer l'attention, mais je m'en moque.

Je balance un coup de pied dans le canapé.

La créature entrouvre les yeux, à mon étonnement. Ils sont bleu profond.

- Est-ce que tu pourrais te calmer ? J'essaie de dormir.

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Qu’est-ce qu’on fait s’ils ne nous laissent pas passer ? fais-je en articulant le moins possible. — Ils nous laisseront passer, répond Raffe depuis sa cachette. — Comment le sais-tu ? — Parce que tu as exactement l’allure qu’ils recherchent. — Quelle allure ? — Tu es splendide. Sa voix est une caresse sortie de la pénombre. Personne ne m’a jamais dit que j’étais belle

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[...]

Je croise les bras dans mon dos et prends les ailes entre mes mains. Elles me donnent l'impression de tenir un mât, tellement elles tanguent. J'attends d'avoir réussi à les maintenir en équilibre avant de m'avancer.

J'espère vraiment qu'elles font illusion dans l'obscurité. Je bute dans une desserte. Heureusement, le vase posé dessus ne tombe pas. Mais ce bruit soudain attire leur attention.

Le silence s'installe un instant. Tous observent ma silhouette. Il faut vraiment que j'ai l'air d'un ange de la mort. Avec plus de lumière, ces types verraient une ado maigrelette qui tient des ailes immenses entre ses mains. Mais il fait sombre. L'illusion fonctionne.

-Regardez-moi un peu ça... fais-je sur un ton que j'espère amusé. Michel, Gabriel, venez voir !

J'ai la tête tournée sur le côté comme si je m'adressais à des acolytes. Michel et Gabriel sont les deux seuls noms d'ange auxquels j'ai pu penser.

-Les singes attaquent les nôtres maintenant.

Les membres du gang se figent sur place. Tous me dévisagent.

Différentes possibilités me traversent l'esprit alors que je retiens mon souffle.

Quand soudain, un truc vraiment, mais vraiment nul se produit.

Mon aile droite se met à tanguer, avant de glisser de plusieurs centimètres d'un coup. Je me tortille pour la rattraper, ce qui ne fait qu'attirer un peu plus l'attention sur moi.

Pendant que les autres commencent à comprendre ce qu'il vient de se passer, Neige hausse les yeux au ciel comme un ado face à une situation particulièrement débile. On ne peut pas dire qu'il ait le sens de la gratitude, celui-là...

[...]

Un rire étouffé s'élève alors: l'ange.

-Tu ne ressemblais vraiment à rien, avec ses ailes, assène-t-il.

[...]

-Je n'en reviens pas que ces idiots aient failli croire que tu étais un ange.

-Heu... Pas vraiment.

-Simplement parce que tu as merdé. J'ai failli éclater de rire quand je t'ai vue.

-Cette petite scène aurait été plutôt marrante si nos vies n'avaient pas été en danger.

-Donc tu sais que tu aurais pu te faire tuer ? me demande-t-il d'un ton plus sérieux.

-Oui. Et toi aussi.

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- C'est rien, je parle à mon démon personnel maman. Mais ne t'inquiète pas. C'est une vraie demi-portion.

[...]

- Oh... (Elle semble calmée, tout à coup, comme si cet argument expliquait tout.) Très bien. Mais ne le sous-estime pas. Et ne lui fais pas de promesse que tu ne pourrais pas tenir.

Je sais à sa voix qui faiblit qu'elle est rassurée et qu'elle s'en va.

Le regard déconcerté de l'ange me fait glisser. Il me scrute ensuite avec l'air de dire : " Tu es encore plus bizarre que ta mère. "

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« — Qu’est-ce que tu fais ?

— Je fabrique un…

Il lève alors la tête vers moi.

Je ne sais pas s’il avait remarqué que j’avais retiré mon sweat-shirt, mais visiblement pas, parce qu’il me regarde avec un air surpris. Ses pupilles se dilatent et ses lèvres s’entrouvrent, oubliant leur rictus sévère. Je jurerais qu’il arrête de respirer pendant plusieurs battements de cœur.

— Je fabrique un machin pour faire croire que j’ai des ailes dans le dos, explique-t-il d’une voix basse légèrement enrouée, et veloutée, comme s’il disait un truc personnel. Ou comme s’il me faisait un compliment.

Je me mords la lèvre pour rester concentrée. Il ne fait que me répondre. Je n’y peux rien, si sa voix est super sexy. »

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« Je pose une main sur sa joue. C’est agréable. Un peu trop, même. Il ferme les yeux. Hésitante, je frôle ses lèvres du bout des miennes.

Il ne réagit pas, au début, au point que j’envisage de reculer.

Mais il m’embrasse soudain avec avidité.

Ce baiser n’est pas celui d’un couple lors d’un premier rendez-vous ni celui d’un homme dominé par du désir pur. Il m’embrasse avec le désespoir d’un mourant persuadé que ce baiser renfermait la vie éternelle. Sa façon d’agripper ma taille et mes épaules, la pression de sa bouche, me désarçonne au point que je ne peux plus réfléchir.

La pression se relâche. Le baiser se fait plus sensuel.

Une chaleur troublante se diffuse de sa langue au plus profond de moi. Mon corps me donne l’impression de se fondre dans le sien. Je sens parfaitement les muscles de son torse contre mes seins, l’étreinte brûlante de ses mains autour de mes hanches et de mes bras, ses lèvres humides contre ma bouche.

Puis tout s’arrête d’un coup.

Raffe recule, puis inspire une bouffée d’air comme s’il remontait à la surface d’une mer agitée. Ses yeux sont deux puits d’émotions bouillonnantes.

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- Tu vas bien ?

Une question idiote, parce que je ne pourrais pas faire grand-chose s'il n'allait pas bien, mais elle est sortie malgré moi. Il grogne.

- J'ai reçu une pierre dans le dos, mais à part ça, je devrais survivre.

- Désolée... Je me sens très mal, mais ça ne servirait à rien de ressasser.

- La prochaine fois qu'on se disputera, j'apprécierais que tu me parles avant de me bombarder de cailloux.

- OK, très bien. Mais franchement, tu fais bien des manières...

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Il me regarde droit dans les yeux pendant un instant. Très intensément.

Je retiens mon souffle.

Je jurerais qu'il est en train de me mémoriser, comme si sa caméra mentale me filmait. Il inspire même profondément comme s'il voulait stocker mon odeur.

Il finit par détourner les yeux au bout d'un moment, me laissant là à me demander si j'ai rêvé.

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- Mes amis m'appellent Colère, répond Raffe. Et mes ennemies m'appellent Prends Pitié de Nous. Et toi, petit soldat ?

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- Alors ?... Je te bande le dos oui ou non ?

- Pour quoi faire ?

- Pour éviter que tes plaies s'infectent, fais-je en fouillant dans mon sac à la recherche du kit de premiers secours.

- L'infection ne devrait pas poser de problème.

- Tu ne peux pas avoir d'infection ?

- Je devrais résister à tes germes.

Les termes "devrais" et "tes" retiennent mon attention.

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