Commentaires

Dès que j'ai vu la couverture et lu le résumé de ce livre, je me suis dit qu'il fallait que je le lise, et je ne le regrette pas !

Ce livre d'Urban Fantasy fait preuve d'originalité car l'héroïne n'est autre qu'un des quatre cavaliers de l'apocalypse, et bien entendu on y côtoie aussi des vampires et des sorciers !

Le rythme de ce premier tome est soutenu, avec un cocktail de suspense, d'humour, de révélation, d'action et un brin de tension sexuelle, et ce qui ne gâche rien, les personnages sont tout aussi touchants, qu'intéressant et énigmatiques.

Stéphane Soutoul ne laisse rien au hasard, ce qui rend le tout très crédible, et il ne lésine pas sur les détails, parfois c'est trop au risque de trouver ça redondant ... j'ai tendance à dire que trop de détail tue le détail !

Bref, encore un auteur français qui n'a rien à envier aux auteurs étrangers d'Urban Fantasy, car il nous offre une histoire bien travaillé, bien écrite, et adulte, alors attention pas adulte dans le sens "sexe" , mais adulte dans la façon qu'ont les personnages de s'exprimer.

UNE BELLE DÉCOUVERTE QUE VOILÀ !

Au Salon du Livre, avec ma petite liste de "peut-être", j'ai succombé à l'attrait indéniable de ce livre : couverture qui parle, résumé qui intrigue et accroche... Sans parler de la French Touch qui attire de plus en plus de nombreux lecteurs -à raison.

Ce roman comporte une fantasy urbaine qui n'a rien à envier à celle des écrits anglo-saxons, mais la plume qui a servi à l'écrire semble plus riche et intrigante que celles qui oublient le style au profit de la rapidité commerciale. Certes, cela rend ce roman un peu plus difficile à lire, mais il en vaut la peine. L'auteur ne nous prend pas pour des idiots et l'histoire est admirablement orchestrée. J'attends une suite !!

À TENTER (allez, sautez du plongeoir, c'est pas Splash !)

En un mot — Excellent !

Je ne m'y attendais pas. Je dois dire que la couverture est sublime et a immédiatement attisé ma convoitise mais je suis de celle qui se méfie de ce qui est trop beau, comme de ce qui est trop laid également. Ouai, y'a pas que l'intérieur qui compte. Le synopsis n'était pas pour me déplaire, 2 corps (une blonde trentenaire VS une adolescente brunette), une âme séculaire qui n'est autre qu'un des cavaliers de l'Apocalypse : Famine. Avec un topo pareil, je n'allais pas longtemps résister.

Dès les premières lignes, tout nous est expliqué de façon fluide, avec humour et surtout pas mal de sarcasme. Ce qu'on peut dire quand on commence à rencontrer Syldia, c'est qu'elle n'a pas sa langue dans sa poche. C'est aussi peut-être pour ça qu'elle attire autant la poisse et qu'elle s'est retrouvée avec cette malédiction de merdeuh. Après, c'est au tour de Samantha de se dévoiler en journée, jeune lycéenne et fille unique d'une famille aimante, elle endosse son rôle finalement avec plaisir. Syldia — Samantha ne sont en réalité que l'âme de Famine qui change de corps à chaque coucher de soleil. Elle ne connait pas le repos et quand la nuit tombe, une faim s'empare d'elle.

On mettra pas mal de temps avant de voir arriver l'action, il nous faudra plus de la moitié du roman. Pour autant, le début permet surtout de prendre conscience de la différence de "caractère" entre Syldia & Sam, étrangement, le corps dans lequel se retrouve ce "Cher Ange" influence sa manière de réfléchir et d'agir. En effet, elle est "toute" puissante quand elle est dans son vrai corps alors qu'en étant dans le corps de la lycéenne, elle n'est plus qu'une petite humaine sans défense.

La grande force de ce roman est la complexité des personnages, rares sont les personnages tous noirs ou tous blancs, on se posera pas mal de questions sur leurs véritables intentions. En fin de compte, même notre héroïne (enfin peut-on utiliser ce mot pour la définir ? ) a sa part de douceur alors qu'elle ne voit que sa noirceur. Les personnages qui l'entourent sont tous bien exploités, sauf peut-être ses soeurs, les trois autres cavaliers de l'apocalypse. J'ai trouvé ça un peu en deçà de ce que ça devrait être, sachant qu'il s'agit de la seule vraie famille de Syldia, il n'y a pas assez de moments complices pour réellement qu'on s'attache à ces autres membres. On cherche plus à savoir sur "les hommes de sa vie" : Nathan, Desmond et même Nolhan !

L'histoire est originale et plutôt bien amenée, j'espère que le tome 2 sera un peu plus dynamique parce que j'ai apprécié son dénouement. En tout cas, c'est un univers riche et détaillé qui se déroule à Toronto au Canada. Ce qui n'est pas pour me déplaire et j'ai ainsi pu découvrir un nouvel auteur, Stephane Soutoul aux Editions Rebelle. Et ouai, sachant qu'il s'agit d'un homme, c'est encore plus impressionnant dans le genre d'Urban Fantasy et pour camper une nana et ses émotions. On y voit que du feu.

Un roman fantastique passionnant, bourré d'humour, d'action, de rebondissements ! A ne pas louper !

Un premier tome génial qui nous donne une envie folle de vite découvrir la suite. En effet, dès les premières pages, la qualité de l'écriture est au rendez-vous, tout comme l'intrigue qui se met de suite en place.

Syldia, tout comme ses trois autres sœurs, sont les quatre cavaliers de l'Apocalypse. Lassées de faire le mal, elles ont décidé d'essayer de se ranger et se racheter, bien que ce ne soit pas facile tous les jours, loin de là. Syldia est « Famine » . La nuit, elle est garde du corps et la journée, elle se retrouve coincée dans le corps d'une jeune humaine, Samantha, à cause du sort de l'un de ses-ex amants, sorcier. Dans ce premier tome de la saga, elle se retrouve chargée de la mission de protéger le Lord des sorciers de Toronto, menacé par des vampires dissidents, qui veulent empêcher le traité de paix entre leurs deux races.

Confiée à la surveillance du beau Desmond, sexy en diable, l'affaire va se montrer bien plus ardue que ce qu'elle imaginait...

Alors, comme vous le voyez, il y a de quoi faire ! J'ai adoré la différence de personnalité entre Samantha et Syldia. L'une est toute douce, la petite jeunette qui tombe amoureuse du beau gosse isolé du lycée et l'autre, brute de pomme, jure comme un charretier et titillée par ses pulsions sexuelles non stop. J'ai ri très souvent en lisant ses répliques, elle est trop drôle.

Les hommes ne sont pas en reste, il y a beaucoup de beaux gosses dans ce livre, ce qui ne gâche rien à l'histoire, au contraire. Le beau Desmond, le magnifique Nolhan etc... ;)

L'intrigue est vraiment riche et étayée et la fin nous donne vraiment envie de connaître la suite des aventures de Syldia et Samantha, mais aussi des personnages secondaires. Alors vivement que je reçoive le tome 2 pour m'y plonger !! Un beau coup de cœur pour moi !:)

J'attendais énormément de choses de cette série... et j'ai été énormément déçue.

Déjà, l'idée de prendre les Quatre Cavaliers comme personnages était osée, mais super-intéressante ! On se retrouvait projeté dans la tête de Famine, qui mène une sorte de double-vie à la Hannah Montana et tente de tout concilier... bon, étrange mais d'accord. Mais alors l'héroïne que l'auteur a concoctée à partir de ça est très loin de ce que j'espérais. Elle se dit une "âme ancienne" mais agit comme une gamine têtue, arrogante, prude et totalement dépourvue d'humour. Elle n'a pas du tout la sagesse et la maturité qu'elle devrait avoir... ni le côté sombre qu'on est en droit d'attendre de sa part. Bref, le mythe est totalement déconstruit pour moi, merci bien.

Ensuite, le récit en lui-même est bizarrement construit. Les dialogues ne sont pas naturels, les personnages parlent comme s'ils lisaient un script et ils racontent des événements passés... au passé simple. Du passé simple à l'oral ! Et ça choque que moi ? Donc ouais, je vais m'arrêter là et ressasser ma déception dans mon coin. Tant pis.

Ce livre m'a bloqué comme ça m'arrive rarement. Je n'ai pas pu finir.

Au départ, ça partait plutôt pas mal, je trouvais le concept assez chouette, et l'introduction à l'univers, avec ces histoires des 4 cavaliers de l'Apocalypse qui sont des soeurs et qui se sont rangées.. Ca me disait bien.

Et puis, plus ça avançait, plus j'avais du mal avec le style de l'auteur.

Arrivée à la page 150, il ne s'était toujours pas passé grand chose, entre deux discussion à rallonge, une petite bagarre plutôt ennuyeuse... Et un nombre incalculable de réflexion de l'héroïne.

Parce que oui, le reste, aller, passe encore... Mais Syldia/Samantha m'a plutôt horripilé. Entre sa façon de se jeter à la gorge de chaque personne qui a l'outrecuidance de lui adresser la parole, plus toute les petites réflexions qu'elle a pendant la narration... Trop c'est trop.

J'ai donc fait quelque chose que je ne fait que très exceptionnellement, et j'ai abandonné ma lecture.

Dommage.

Syldia, Raven, Jillian et Ève sont des soeurs âgées de 6 siècles à qui il ne vaut mieux pas chercher de noises même si elles ont mis au placard les fléaux qu'elles répandaient sur l'humanité en tant que cavaliers de l'apocalypse Famine, Guerre, Pestilence et Mort. Pas facile pour elles de se racheter une conduite en essayant de vivre en paix avec le monde lorsqu'il faut sans cesse juguler sa propre nature. Depuis une cinquantaine d'années, Syldia subit de plus, la malédiction d'un sorcier possessif en prenant possession du corps d'une jeune mortelle du lever au coucher du soleil, actuellement Samantha MacDermott une ado de 16 ans. La nuit, elle est la partenaire de Darion, un nécromancien avec lequel elle tente de faire rouler une agence de gardes du corps presque au bord du gouffre, côtoyant vampires, garous, sorciers et autres Surnaturels.

Après l'échec cuisant de sa dernière mission, Syldia se voit dans l'impossibilité de refuser un contrat juteux qui sauvera son agence de la ruine et se retrouve parachutée garde du corps du lord des sorciers de Toronto lors de la semaine de signatures de traités de paix avec les clans vampires. Alistard Vorlock possède sa propre garde rapprochée, les Dark Breakers, sous l'égide de la détestable Dominika grande prêtresse de Séléné, mais en raison de la singularité de Famine qui la rapproche des vampires, Syldia fait office d'élément neutre. Parallèlement Sam se met en tête de découvrir ce qui se cache derrière le comportement étrange de Nathan, un jeune lycéen dont elle s'est prise d'affection au grand dam de celui-ci qui lui réserve plus d'une surprise.

L'alternance des chapitres du point de vue de Syldia et de Sam est rafraichissant, ne souffre d'aucun temps mort puisque leur vie s'enchaine l'une derrière l'autre, sans rupture de rythme ni déstabilisation du lecteur face à ces deux identités, Sam n'étant qu'une enveloppe corporelle différente évoluant dans un cadre totalement autre. Une double vie dont Syldia préserve jalousement le secret, évitant ainsi une quelconque connexion entre ses deux univers, d'autant qu'elle s'humanise et semble plus sereine et posée dans le corps de Sam, mais aussi plus vulnérable puisque privée de ses pouvoirs. J'ai d'ailleurs trouvé dommage que l'auteur ne cesse de nous infliger des piqures de rappel tout au long de ce premier tome, comme si nous ne pouvions assimiler les caractéristiques ou mode de fonctionnement de cette héroïne double, comme si nous ne pouvions, non plus, imaginer la beauté fulgurante, la sexy attitude des mâles qu'elles côtoient... (Stéphane, on a l'habitude de ces canons outranciers dans ce genre littéraire, on ne nous la fait plus...)

Un premier tome qui pose les bases d'un cadre assez basique autour duquel gravitent pas mal de personnages secondaires, certains touchants, d'autres horripilants ou détestables, la quantité mettant sans doute un frein à la profondeur de certaines personnalités??? Sylvia, stigmatisée par un passé que l'on aimerait plus explicite, tient le devant de la scène avec son caractère tantôt brut de pomme, versatile et égocentrique, tantôt plus pondérée par le corps et les relations familiales de Sam. Ses soeurs semblent toutes aussi fascinantes qu'elle voire plus attachantes, certaines pourraient même lui voler la vedette, il est d'ailleurs dommage qu'elles n'entrent en jeu que bien trop tard. L'action ne manque pas, Desmond, le Dark Breakers qui va coatcher Syldia et tenter de canaliser ses humeurs nous met l'eau à la bouche en évoquant les différentes castes des sorciers, une débauche de pouvoirs fascinants qu'on ne verra malheureusement pas suffisamment à l'oeuvre. L'ensemble est fort sympathique et j'espère que le potentiel qui s'en dégage sera exploité au

Bof, je n'ai pas vraiment apprécié et je l'ai même trouvé parfois ennuyant... je ne recommande pas.

Je n'ai pas aimé ce livre, je n'ai pas réussis à me mettre dans la peau du personnages principal à la fois adolescente et guerrière...

Je viens de finir de lire ce tome 1 de "Anges d'Apocalypse " de Stephane Soutoul et j'avoue que je suis extrêmement déçue malgré un résumé qui avait l'air époustouflant.

je n'ai pas été séduite par l'ecriture Lourde de l'auteur. J'ai eu du mal avec les dialogues, le style littéraire emprunté par l'auteur. Il a voulu donner de la légèreté dans les réparties mais le résultat n'a pas été satisfaisant .Aucune fluidité, les réparties sont trop faciles, trop ou pas assez"et pourtant on a a faire à une héroïne vieille de de plus 1000 ans quoi.

Je n'ai pas réussi à m'immerger dans l'intrique qui pourtant est assez originale avec la dualité du personnage principal.

De plus j'ai été confrontée à une difficulté au niveau de la cohérence de certaines scènes, de la facilité à laquelle l'auteur passait sur certaines scènes qui à mon avis devraient être plus approfondies.

je verrais si je me risquerais à lire le tome 2, peut une j'y trouverais une agréable surprise?