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Il pigeait que j'avais pigé qu'il avait pigé. Pour en arriver là, il ne nous fallu qu'une phrase, deux regards et un signe du menton - avec une autre femme, ça aurait pris au moins cinq minutes de bla-bla. Heureusement pour moi, je parlais le mec couramment.

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Les rideaux s'écartèrent, et Jean-Claude entra. Il était toujours aussi parfait avec son pantalon de cuir noir et sa veste assortie, portée par-dessus une chemise blanche en dentelle comme il les affectionne. Il continue à s'habiller à la mode de son siècle d'origine, même si je partage suffisamment ses souvenirs de cette époque pour savoir que la chemise aurait dû être ample et flottante plutôt que près du corps et taillée dans des matériaux modernes. Elle paraissait vintage mais elle ne l'était pas. Comme la plupart des autres fringues de Jean-Claude, d'ailleurs : en apparence, antiques ; en réalité, conçues pour avoir l'air sexy en boîte, ou même dans la vie de tous les jours. Je n'ai jamais vu Jean-Claude avec une tenue ordinaire.

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— Que votre capacité à relever les zombies vous donne une ascendance sur tous les morts-vivants, vampires y compris. Qu'en étant une métamorphe qui ne se transforme pas, vous bénéficiez des avantages de la lycanthropie sans les inconvénients. Que la raison pour laquelle vous nous surpassez tous, c'est qu'aucun véritable humain ne pourrait être aussi bon que vous ne l'êtes.

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C'est marrant, les trucs qui peuvent bien perturber les gens. Impossible de deviner à l'avance. Des choses qui vous paraissent complètement anodines leur font péter les plombs. Pour une raison qui m'échappait, ça embêtait beaucoup Shelby que je découpe la chemise du vampire mort au lieu de la déboutonner. Allez comprendre.

D'habitude, je fais ça très vite, mais cette fois, je pris tout mon temps pour mettre Shelby aussi mal à l'aise que possible et la faire gamberger un maximum.

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Et je l'embrassai la première. Puis sa main serra ma nuque, et comme il l'avait annoncé, il m'embrassa si profondément, si fort que je ne pus plus rien dire, pas même non. Son bras pareil à de l'acier musclé plaquait le haut de mon corps contre lui et mes bras le long de mes flancs. J'étais bien plus prisonnière de son étreinte que de celle d'Asher un peu plus tôt. J'avais choisi de ne pas faire de mal au vampire, mais Nicky... Nicky m'en empêchait. Même si je l'avais voulu, je n'aurais pas pu le blesser.

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« À la télévision, les salles d'interrogatoire sont spacieuses et disposent de grandes fenêtres afin que vous puissiez regarder tout. En réalité, les chambres sont assez petites, et il n'y a presque jamais de grandes baies vitrées, c'est pourquoi séquences policiers réel est granuleuse et en noir et blanc, plutôt que Technicolor magnifique. La salle d'interrogatoire a été peint beige pâle, ou peut-être était taupe, j'avais toujours été un peu flou sur la différence entre eux.

De toute façon il était d'une couleur fade décrite par les agents immobiliers comme neutre chaud, ils ont menti. C'était une couleur impersonnel froid. La petite table était tout métal brillant, et qu'il était donc la présidence. L'idée était que les prisonniers ne pouvaient pas rayer leurs noms, ou des messages, dans le métal comme ils pourraient avoir dans le bois, mais celui qui pensait que n'avait jamais vu ce qu'est un vampire ou un were animal, pouvaient faire pour métal. Il y avait beaucoup de rayures sur la table brillant, plus fait avec les ongles seulement, force surhumaine, et l'ennui des heures de séance.

Le vampire assis à la petite table ne cherche pas à se tailler ses initiales sur rien. Il pleurait, si fort que ses frêles épaules tremblaient. Il avait lissés son dos de cheveux noirs de son visage dans le pic de veuve que j'étais paris a été une coupe de cheveux et pas plus naturel que la couleur d'encre noire.

Il marmonnait à voix déchirure étranglée: «Tu me détestes parce que je suis un vampire. »

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—L'Eglise de la Vie Éternelle ; ils pensent que Malcolm les a trahis en les forçant à prêter allégeance à Jean-Claude. Les établissements de Jean-Claude. Jean-Claude et vous. Beaucoup d'entre eux pensaient qu'ils seraient libres s'ils vous éliminaient tous les deux. Nous leur avons bien dit qu'ils se trompaient, que vous étiez le meilleur et le plus progressiste des princes qui ait jamais existé. Que vous nous aviez donné de l'espoir.

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J'aperçus un mouvement derrière le colosse, entrevis une main pâle et sus qu'un vampire se tenait dans son dos. Dans un film, Hermès n'aurait pas porté de casque, ce qui m'aurait permis de voir ses yeux et de comprendre qu'il avait été roulé mentalement. Dans la réalité, sa visière les dissimulait. Il tenait son fusil très fermement comme nous tous, mais braqué contre nous tous.

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L'amour n'est pas la seule chose qui me pousse vers les hommes de ma vie. Si je réagissais face à Cynric de la même façon que je réagissais face aux autres, ça signifierait quelque chose. J'ignorais quoi, mais ça signifierait quelque chose.

Le tigre-garou voulut me plaquer contre lui, mais je me raidis pour maintenir une infime distance entre nous. Au lieu d'insister, il me lâcha et s'écarta de vingt centimètres. À présent, on ne se touchait plus du tout.

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Même chez le mâle le plus soumis, il existe quelque chose de primitif qui le pousse à vouloir posséder une femme ne serait-ce que pour une nuit, une heure, une minute. Les femmes ont peut-être leur propre version de ce regard, mais je ne m'examine pas dans un miroir au moment critique, et mon expérience lesbienne très limitée ne m'a pas permis de constater ça chez ma partenaire. Je ne dis pas que ça n'existe pas, je dis juste que je ne l'ai jamais vu.

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