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_Je t'aime, ma petite. Autant que j'en suis capable.

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_Vous êtes vraiment un fils de pute! grognais-je.

_Ah, ma petite, comment pourrais-je te résister quand ta voix est comme du miel, et que tu me murmures d'aussi doux surnoms?

Je le foudroyais du regard. Son sourire s'élargit, révélant la pointe de ses canines.

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- Offrir des réponses de votre plein gré ne vous ressemble pas, dis-je.

- Je me sens d'humeur généreuse, ce soir.

Sa voix était alourdie par l'approche du sommeil.

- Si vous n'étiez pas nu dans un bain de mousse, me feriez-vous le même proposition ?

- Peut-être pas. Mais si je dois satisfaire ta curiosité dévorante, n'est-ce pas plus amusant ainsi ?

- Amusant pour qui ?

- Pour nous deux, si seulement tu voulais l'admettre.

Malgré moi, je souris. Je n'en avais pas eu l'intention, ne désirant pas me délecter de le voir tout mouillé et couvert de savon. Je voulais avoir peur de lui – et j'avais peur de lui, mais ça ne m'empêchait pas de le désirer. De brûler d'envie de laisser mes mains courir le long de sa chair nue et de toucher ce que les bulles dissimulaient.

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_ Il y a un problème?

_ Je ne m'attendais pas à une personne comme vous, mademoiselle Blake.

_ Et en quoi suis-je différente de l'image que vous vous faisiez d'une réanimatrice?

_ Pour commencer, vous êtes jolie.

Je le sentais bien : dans sa bouche, ça n'était pas un compliment.

_ Et... ?

_ Vous n'êtes pas vêtue convenablement pour ce travail.

_ Votre secrétaire porte des escarpins, dis-je.

_ La tenue de Mlle Harrison ne vous regarde pas.

_ Et la mienne ne vous concerne en rien non plus.

_ Certes, mais vous allez avoir du mal à gravir cette montagne avec vos chaussures.

_ J'ai une combinaison et des Nike dans ma valise.

_ Je crois que je n'aime pas beaucoup votre attitude, mademoiselle Blake.

_ Et je suis certaine de détester la vôtre.

Derrière Stirling, le contremaître avait de plus en plus de mal à réprimer un sourire. L'effort faisait briller ses yeux. Mlle Harrison semblait de plus en plus effrayée. Bayard s'était déplacé sur le côté pour se rapprocher de son patron, histoire de montrer dans quel camp il se rangeait. Espèce de lâche, va! Avec un nom pareil c'est une honte.

_ Mademoiselle Blake voulez-vous ce travail?

_ Pas assez pour me laisser marcher dessus.

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-Chaque fois que j'essaie de te séduire, tu me coupes l'herbe sous le pied, gemit-il. Une très vilaine habitude.

-Hourra pour moi! repliquai-je. Maintenant, on peut se mettre au travail?

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- Tu as des jambes magnifiques.

Un murmure dans le noir qui planait autour de moi comme un voile caressant... Sa voix a toujours été ainsi, presque palpable. Je n'en ai jamais entendu de plus bouleversante.

- Arrêtez, Jean-Claude. Je suis trop petite pour avoir des jambes magnifiques.

- Je ne comprends vraiment pas l'engouement moderne pour les girafes.

Il laissa courrir ses mains à quelques millimètres de mes collants, si près que je perçus le déplacement d'air contre ma peau.

- Arrêtez, répétai-je.

- Arrêtez quoi? fit-il sur un ton innocent.

Je secouai la tête. Demander à Jean-Claude de ne pas être pénible, c'était comme supplier la pluie de ne pas mouiller. Pourquoi gaspiller ma salive?

- D'accord, flirtez autant que vous voudrez, mais n'oubliez pas que vous êtes ici pour sauver la vie d'un jeune garçon qu'un monstre est peut-être en train de violer pendant que nous nous chamaillons.

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"Je levais mon visage vers celui de Jean Claude. Ses bras glisserent derriere mon dos et me presserent contre la longue ligne humide de son corps. Sa serviette était dangereusement prés de se détacher.

Ses levres caresserent les miennes. Doucement d'abord puis avec de plus en plus d'avidité..."

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-Tu étais sérieuse à propos de l'éléphant.

Je fronçai les sourcils. Que pouvais-je répliquer?

-D'accord, mais une segonde seulement. Je n'irais pas jusqu'à égorger Dumbo. C'est la pure vérité.

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Jean-Claude observait mes jambes. Il leva la tête et, d'un seul regard, balaya tout mon corps. Ses yeux bleus semblaient encore plus sombres que d'habitude. Ni lui ni moi ne comprenions comment j'arrivais à soutenir son regard sans être affectée.

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Comme il rirait si il savait que je m'étais enfin ouvert les veines pour lui!

Pour l'instant, il ne réagissait toujours pas. Et merde! Je lui soufflai dans la bouche, goûtant mon propre sang, et sa poitrine se souleva. "Vivez, vivez, vivez" lui ordonnais-je en silence.

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