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 Pourquoi ne vous êtes-vous pas contenté de m’appeler pour me le dire ? Je connaissais déjà la réponse – ou du moins, une partie de la réponse. Jean-Claude semble aussi dingue de mon corps que je le suis du sien. L’alchimie sexuelle, ça fonctionne dans les deux sens. C’est une arme à double tranchant. Il glissa vers moi. — J’ai pensé que c’était le genre de nouvelle qui s’annonce en face

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En fait, je mourais d’envie de me suspendre à son cou, de m’agripper à lui comme un petit singe pendant qu’il me prendrait dans ses bras pour me faire franchir le seuil ainsi qu’à une jeune mariée. Mais je me retins. D’abord, parce que ça aurait manqué de dignité ; ensuite, parce que la force et la fréquence du désir que j’éprouve pour lui m’effraient un peu

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-14T21:10:25+01:00

Très peu de gens considèrent leurs propres actions comme vraiment maléfiques, fit remarquer Marianne. C'est à leurs victimes qu'il appartient de décider ce qui est maléfique et ce qui ne l'est pas.

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Extrait ajouté par Liotha 2013-08-23T18:44:59+02:00

Il y avait trois personnes dans mon lit, et aucunes d'entres elles n'était moi.

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Le frère de Mel me saisit le bras gauche. J'ouvris la main et laissai tomber mon couteau avant qu'il la soulève hors des feuilles. Je ne pouvais pas essayer de poignarder Chuck alors que son copain tenait Jason en joue. Avec un peu de chance, j'aurais une autre occasion de m'en servir. Sinon... Mon fantôme reviendrait hanter Jamil.

Chuck avait de grosse mains pareilles à des battoirs. Ses doigts épais s'enfonçaient dans la chair de mon bras. Si je survivais j'allais avoir des bleus.

- Si tu ne fais pas exactement ce que je te dis, ta copine morfle, menaça-t-il.

J'eus envie de demander(Qui vous écrit vos dialogues?), mais je me retins. Le canon du fusil à pompe se trouvait à trois centimètres de ma joue, indiquant clairement de quelle façon je morflerais.(...)

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Jean-Claude se tenait sur le seuil de la maison telle une apparition. J’eus l’impression d’être un magicien qui vient d’écarter le rideau pour révéler au public ébahi sa ravissante assistante. À sa vue, ma gorge se noua. Sa chemise était d’une coupe plutôt stricte, avec des manchettes boutonnées et un col tout simple. Les manchettes et le col étaient taillés dans un tissu satiné presque écarlate ; le reste, dans un tissu rouge transparent – une sorte de voile qui ne masquait pas grand-chose de ses bras, de sa poitrine et de son ventre

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J'étais en train de rêver de chair froide et de draps couleur de sang frais. La sonnerie du téléphone fit voler mon rêve en éclat, n'en épargnant que quelques fragments : une paire d'yeux bleu nuit, des mains qui glissaient le long de mon corps, des cheveux noirs qui enveloppaient mon visage tel un nuage au parfum douceâtre.

Je m'éveillai dans ma chambre, à des kilomètres de Jean-Claude, avec la sensation de son corps plaqué contre le mien.

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Je secouai la tête et projetai mes chemisiers dans la direction générale de ma valise. Puis je cognai ses genoux avec les miens jusqu’à ce qu’il écarte les jambes. Pressant mon corps contre le sien, je posai mes mains sur ses épaules. Le tissu rouge transparent était synthétique, beaucoup moins doux qu’il en avait l’air

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 Je ne pouvais pas te laisser partir sans te toucher une dernière fois. Sans que nous dansions à l’horizontale une dernière fois. J’éclatai d’un rire nerveux, tendu. Soudain, ma bouche était toute sèche, et j’avais du mal à ne pas fixer des yeux sa poitrine. « Danser à l’horizontale », c’était son euphémisme préféré pour « faire l’amour ». Moi aussi, j’avais envie de le toucher, mais si je me laissais aller, je doutais de réussir à m’arrêter. Richard avait des ennuis. Je l’avais déjà trahi une fois avec Jean-Claude ; je ne pouvais pas recommencer

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PAGE 598

J'ai vaincu un démon avec ma foi et mes prière. cela signifie t il que dieu ma pardonner mes pèchés? je l'ignore.si c'estb le cas. Il est plus généreux que moi.

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