Commentaire de Lusylila

Enfin la reprise après une pause trèèèès trèèèès longue. Et qu’est-ce qu’Anita m’avait manqué !!! Bordel, toute cette adrénaline, ces rebondissements, ce sarcasme et cet humour noir…

Franchement, ça fait du bien de retrouver cette saga de fou, même si j’ai trouvé ce tome-ci un peu long sur les bords. Beaucoup de passages n’étaient pas nécessaires selon moi et n’ont fait qu’alourdir le récit, en coupant un peu l’élan général de l’enquête, qui n’était pas ouf non plus, d’ailleurs. (Je ne parle même pas de tous les personnages qui n’étaient pas présent, même si je sais bien qu’il est impossible qu’ils soient tous là, puisqu’ils sont maintenant tellement nombreux, vu qu’il s’agit quand même du tome 17…)

Aussi, j’ai bien évidemment retrouvé les petits « trucs » qui m’ont déplu dans les autres tomes et qui ont fait que je lâche un peu la saga, au risque de m’en dégoûter pour de bon, mais le récit en lui-même m’a à nouveau convaincu de m’accrocher aux basques d’Anita. (Surtout parce qu’EDWARD était à nouveau là, grrr, mmmhh, youhou !!!!! Bon, Olaf aussi était à nouveau là, hein, donc je ne suis qu’à moitié enchantée, parce qu’encore une fois, ce psychopathe m’a fait faire des cauchemars !! D’ailleurs, faudrait vraiment que quelqu’un me dise si Anita va le tuer bientôt, histoire de me rassurer, siouplait… ^^’)

Point plus que positif : le fait qu’Anita ne s’envoie en l’air qu’une fois passé les 500 pages. C’était particulièrement bienvenue, car pour une fois, elle était à nouveau dans le rôle de l’enquêtrice badass et non de la serial baiseuse qu’elle est devenue au fil des tomes. (Même si elle s’est rattrapée après, bien évidemment.)

Du reste, il faut le dire, toutes ses connexions métaphysiques, l’ardeur et tous les pouvoirs qu’elle amasse au fil du temps, commencent à trop se mélanger et à devenir tiré par les cheveux et c’est dommage, parce que nous non plus, on n’arrive pas à comprendre ce qui cloche chez elle et ça devient lourd et redondant. (Entre Marmée noire et Belle morte, j'avoue que je me perds et c'est dur de s'accrocher...)

Ensuite, pour évoquer le gros point négatif de ce tome, c’est la fin. Plus de 700 pages, pour que tout se termine en 1 chapitre à peine. C’est dommage, décevant, bref, « tout ça pour ça », donc je suis, pas déçue, mais disons, désappointée et carrément frustrée.

Au tome 18 donc, et j’espère vraiment qu’il redresse la barre (sans vouloir faire de jeu de mot, bande de petits coquins!! :P)