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L’inspecteur Rachel Sheridan était grande et mince, avec des cheveux presque noirs, raides et brillants, qui tombaient sur ses épaules. Elle avait recourbé les extrémités avec un fer à friser, ou peut-être des bigoudis. Mes cheveux sont tellement bouclés que je n'utilise ni l'un ni l'autre, mais, quoi qu'elle ait fait, ça lui allait bien. Elle réussissait à être à la fois pâle et mate, comme quelqu'un qui bronzerait si elle prenait suffisamment le soleil. Son chemisier blanc faisait peut-être paraître son visage plus sombre. Son tailleur-pantalon noir était un peu trop grand pour elle, comme si elle avait perdu du poids récemment.

Elle avait un visage doux et triangulaire, avec une ossature aussi délicate que celle de ses mains. Une elfe, aurais-je dit, même si elle devait me dépasser d'au moins douze centimètres : malgré sa grande taille, elle avait l'air fragile et ravissante. Si elle avait eu un peu plus de courbes, je l'aurais qualifiée de belle. J'aurais bien voulu savoir si sa minceur était naturelle ou si elle s'affamait. Dans le premier cas, on pouvait discuter. Dans le second, je n'ai pas de patience avec les femmes qui mangent de la laitue sans sauce pour conserver une mystérieuse taille parfaite.

Elle nous laissa entrer juste assez pour nous mettre à l'abri de la pluie, puis nous arrêta parce que notre groupe comprenait quatre personnes de plus que ce qu'elle attendait.

— Contente de vous voir, Ted et marshal Blake. Je serai ravie de bénéficier de votre expertise aujourd'hui, mais je ne connais pas ces autres gens.

Nous fîmes des présentations rapides. Sheridan ne put même pas nous serrer la main parce qu'elle portait toujours les gants en latex avec lesquels elle venait de traverser la scène de crime. Elle avait également de petits bottillons en plastique par-dessus ses chaussures. Elle gratifia Ted d'un sourire un peu trop chaleureux, et dédia plus ou moins le même à Nicky et à Dem. Nous avons tous un type et apparemment, celui de Sheridan, c'était les blonds aux yeux bleus. Elle ne manquait pas de professionnalisme, mais je voyais bien qu'ils lui plaisaient plus que Jake et Kaazim.

Je notai cette information dans un coin pour plus tard ; je ne voulais pas qu'elle perde trop de temps à flirter avec des mecs déjà pris. Je me suis attiré l'inimitié d'une inspectrice de St. Louis qui m'en veut toujours d'avoir « prétendu » que Nathaniel n'était pas mon petit ami et de l'avoir laissée se ridiculiser avec lui. Je ne comprendrai jamais les femmes.

Sheridan nous désigna la boîte de gants.

— Même si vous n'avez pas tous le droit de visiter la scène de crime, je ne veux pas perdre de temps à éliminer vos empreintes plus tard.

Aucun de nous ne discuta ; nous nous contentâmes d'enfiler des bottillons en plastique et des gants en latex. Ainsi, nous ne risquerions pas de détruire des preuves, ou encore d'envoyer les techniciens sur une fausse piste en introduisant des éléments extérieurs sur la scène de crime.

Un homme de haute taille, encore plus grand que Dem, entra dans la pièce. Il était presque complètement chauve, avec juste une couronne de cheveux bruns coupés très court. Il portait une veste à carreaux gris discrets, un pantalon gris uni, la chemise blanche standard qu'arborent tous les inspecteurs aux Etats-Unis et qui, ici, était coupée en deux par une cravate presque assortie à sa veste. Autrefois, j'aurais dit assortie tout court, mais je sors avec Jean-Claude et Nathaniel depuis trop longtemps. Je deviens difficile.

— Forrester, c'est bien que vous soyez là. Vous aussi, marshal Blake.

Lui aussi portait des gants, donc lui non plus ne nous serra pas la main. Sheridan nous le présenta : c'était le superintendant Pearson. Il jeta un coup d'œil à la ronde.

— Et qui sont ces messieurs ?

Ce n'était pas leur nom qu'il voulait connaître. Il voulait savoir à quoi ils serviraient sur sa scène de crime. En quoi pourraient-ils aider l'enquête ? Nicky, Dem, Kaazim et Jake gardèrent le silence, nous laissant à Edward et à moi le soin de répondre. Eux non plus ne savaient sans doute pas quoi dire.

— Tout dépend du genre de scène dont il s'agit. Chacun d'eux a sa spécialité, déclara Edward.

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CHAPITRE PREMIER

Je m'étais endormie pelotonnée entre deux des hommes que j'aime le plus, un bras posé en travers du corps de l'un d'eux pour pouvoir toucher le troisième. Ils étaient tous chauds à ce moment-là, mais, quand mon téléphone me réveilla quelques heures plus tard, seuls deux des corps avec lesquels je partageais le lit l'étaient encore. Le vampire parmi nous était mort au moment où le soleil s'était levé un kilomètre et demi à l'aplomb de la caverne dans laquelle se trouve notre chambre. C'est génial pour les vampires, mais, si vous avez peur du noir ou que vous n'aimez pas sentir des tonnes de pierre au-dessus de votre tête, vous ne pourriez pas dormir avec nous.

J'escaladai le corps chaud, presque fiévreux, de Nathaniel pour attraper mon téléphone qui était en train de se recharger sur la table de chevet, mais, quand l'écran s'alluma, je vis que c'était celui de Nathaniel et pas le mien : son fond d'écran est une photo de nous trois, alors que le mien est un gros plan sur nos mains entrelacées avec nos bagues de fiançailles toutes neuves. Je finis par trouver mon téléphone et appuyer sur le bouton pour prendre l'appel, mais il avait déjà basculé sur messagerie.

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I tried to stand up, and I say tried, because my seat belt was still fastened, and I damn near bisected myself trying to stand. It was the little things that kept me humble.

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“I’m also better in an actual physical fight than Belle.”

He turned and smiled at me; whatever emotion he’d been trying to hide, he’d managed. “Belle was powerful enough that she did not resort to fisticuffs.”

“I’m a double threat. I’ll kick your ass with metaphysics and then I’ll just plain kick your ass.”

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Le sourire de Slane s'élargit. Il appréciait le compliment.

- C'est pour ça que je garde mon chapeau à l'intérieur la plupart du temps. Ça aide à maintenir mes cheveux par-dessus, parce que la plupart des femmes ne les trouvent pas... chouettes.

- Tant pis pour elles, dis-je.

Et, face à sa mine étonné, j'ajoutai:

- Si elles ne comprennent pas que les différences son intéressantes plutôt que honteuses, ce sont elles qui perdent quelque chose en renonçant à vous connaître à cause de ça.

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“You don’t have to be nice to us, Blake.” “I’m being nice to everyone else, Logan. You’re just collateral kindness.” “What?”

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