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Page 498 Chapitre 39

[...]

Je tirai sur le jean de Jean Claude

-Virez moi ça.

Il défit prudemment sa fermeture éclaire et éplucha le tissu mouillé collé à sa peau. Si il portait des sous vêtements, je n'eus pas l'occasion de les voir. Son jean atterrit sur la moquette, et soudain, Jean Claude se retrouva nu devant moi.

Il était pareil à une statue d'albatre, chaque muscle, chaque courbe de son corps pâle et parfait. (...)

-Vous n'êtes pas circonscris.

-Non ma petite. Ca te pose un problème?

Je pris son membre et le pressai doucement.

-Non ça ne me pose pas de problèmes.

Brusquement il m'attira à lui, pressant nos 2 corps l'un contre l'autre. Le contact de son sexe dur et ferme faillit avoir raison de moi. (...)

Il s'accroupit en glissant le long de mon corps, les bras verouillés dans mon dos, me plaquant contre lui tandis qu'il se dérobait à mon étreinte et me laissait debout, les yeux baissés vers lui.

Il me lécha le ventre à petits coups de langue rapides et humides. Ses mains se promemées sur mes fesses comme pour magaçer. S alangue continuait à aller et venir là où mon ventre prenait fin et où commencer quelque chose d'autre.Ses doigts se faufilèrent entre mes jambes, je hoquetai.

- Que faites vous?

Il leva les yeux vers moi, la bouche toujours collée à mon bas de ventre, et redressa la tête juste assez pour parler.

- Devine ma petie, chuchota t-il.

Il posa une main sur chacunes de mes cuisses, me forçant à écrater les jambes. Sa main glissa en moi, m'explorant.

Soudain ma bouche était complètement sèche, j'umectai mes lèvres et dis:

- Je crois que mes jambes ne me porterons plus très longtemps.

Il fit courrir sa langue sur ma hanche.

Le moment venu ma petite, je te tiendrai.

Il descendit le long de ma cuise, la piquetant de baisers. Un de ses doigts glissa à l'interieur de moi. Je laissai échaper un long soupir.

Il embrassa l'interieur de mes cuisses, faisant courir sa langue et ses lèvres le long de ma peau. J'éprouvai les prémices de quelque chose de monstrueux, de renversant.

Jean Claude se releva un main toujours glissée entre mes jambes et m'embrassa. Le mouvement de sa main reproduisait celui de sa langue. Je criai et frisonnai contre lui

(...)

Il passa ses mains à l'arrière de mes cuisses et me souleva. Il se pressa sur moi sans me pénétrer.

-Pitié, chucotai-je

Il écarta mes jambes et se coula en moi. Il me devisagea, son expression était boulversante: tendresse, triomphe, désir...

-J'ai attendue ce moment depuis si longtemps ma petite, si longtemps...

Il allait et venait, doucement, d'un mouvement presque hésitant.

J'en voulais plus.

- Je ne m'échaperais pas.

Je pressai mes lèvres sur les siennes, assez fort pour sentir ses cros.

(...) Du sang cuivré envait ma bouche et la sienne, il plongea à l'interieur de moi, plus fort, plus vite. Je regardais le miroir. Je regardais son corps entrer et sortir du mein.

Quelqu'un émaittait un gémissement aigu, c'était moi.

A SUIVRE...

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Jean-Claude me caressa la joue et me prit par le menton pour que je relève la tête vers lui.

- J'ai vécu plus de trois siècles. Pendant ce temps, les canons de beauté ont changé à plusieurs reprises. Petits seins, forte poitrine, silhouette androgyne ou voluptueuse, grande ou petite : tous ces critères ont constitué un idéal à un moment ou à un autre. Mais pendant tout ce temps, ma petite, je n'ai jamais désiré quelqu'un comme je te désire.

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[...]

- Si j'étais tombée dans vos bras lors de notre première rencontre, ou même de la douzième, vous m'auriez baisée, saignée et plaquée immédiatement après.

Je regardai la véracité de mes paroles emplir son visage. Jusque-là, je n'avais pas réalisé à quel point il contrôlait ses expressions faciales, combien c'était son absence de réaction qui le faisait paraître plus surnaturel qu'il ne l'était.

- Tu as raison, admit-il enfin. Si tu t'étais mise à glousser et à te pâmer devant moi, je ne t'aurais pas accordé un second regard. Ton immunité partiale à mes pouvoirs, c'est ce qui m'a d'abord attiré vers toi. Mais c'est ton obstination qui a retenu mon attention par la suite. Ton refus clair et net de me céder.

- Je représentais un défi pour vous.

- Oui.

Je scrutai son visage tout à coup si ouvert. Pour la première fois, il me semblait pouvoir lire la vérité dans ses yeux.

- C'est une bonne chose que j'aie résisté. Je n'aime pas qu'on se serve de moi et qu'on me jette comme un vieux Kleenex.

- Au début, tu n'étais qu'un défi, un objet à conquérir. Puis tes pouvoirs croissants m'ont intrigué. J'ai entrevu la possibilité de t'utiliser pour renforcer ma position, si seulement tu voulais bien te joindre à moi.

Quelque chose qui ressemblait à de la douleur passa sur ses traits, et je voulus lui demander si c'était réel ou si ce n'était qu'un de ses numéros d'acteurs. J'avais confiance en Jean-Claude pour faire le nécessaire afin de survivre. Je n'aurais pas eu confiance en lui pour dire la vérité s'il avait prêté serment sur tout un entrepôt de Bibles.

- Je vous ai sauvé la mise une quantité de fois. Je suis votre servante humaine, et reconnue comme telle par tous. Que voulez-vous de plus?

- Toi, ma petite. (Il se leva, mais ne s'approcha pas.) Ce n'est plus le défi ou la promesse de pouvoir qui me pousse à te regarder.

Soudain, j'avais le coeur dans la gorge, et il n'avait pas fait le moindre geste.

- Je t'aime, Anita.

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Il se glissa devant moi, en se déhanchant un peu plus que nécessaire comme l'avait fait Jason dans l'escalier. De la part de Jason, j'avais trouvé ça comique. De la part de Jean-Claude, je trouvais ça foutrement séduisant.

- Vous vouliez juste passer devant pour que je sois forcée de mater votre cul.

Sans se retourner, il me lança :

- Personne ne te force à me mater, ma petite. Même pas moi.

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Il passa son autre bras autour de ma taille et fit pivoter mon torse vers lui. J'avais toujours le flingue à la main, mais je commençais à me sentir idiote …

Sans lâcher mon flingue, je glissai mon bras dans le dos de Jean-Claude.

- Si vous m'embrassez, il faudra que je me remette du rouge à lèvres.

Il inclina la tête vers moi et, sa bouche à un cheveu de la mienne, souffla :

- Je serai très prudent.

Il déposa un baiser sur ma joue et fit courir ses lèvres le long de ma mâchoire. Du canon de mon flingue, je le forçai à relever la tête. À présent, ses yeux étaient d'un bleu liquide.

- Pas de suçon dans le cou, dis-je sévèrement.

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Stephen se releva, recula pour avoir une meilleure vue d'ensemble et hocha la tête.

- Tu es renversante.

- Je ressemble à une pute pour motards de l'enfer croisée avec une pin-up mercenaire.

- Un peu oui.

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[...]

Ma colère s'évanouit face à la certitude de ma propre hypocrisie. J'ignore si cela se lut sur mon visage, mais Jean-Claude pencha la tête sur le côté.

- Des tas de pensées défilent dans tes yeux, ma petite, mais lesquelles?

Je le fixai.

- Je crois que je vous dois des excuses.

Il haussa les sourcils.

- ça, c'est un événement historique. Pourquoi?

Je ne savais pas trop comment le formuler.

- Parce que vous avez raison et j'ai tort.

Il porta une main à sa poitrine en un geste de surprise feinte.

- Tu admets que tu m'as traité comme un secret honteux. Que tu m'as caché dans un coin sombre, exilé de ton coeur pendant que tu câlinais Richard et sa chair vivante.

Je me rembrunis.

- N'en rajoutez pas, ou ce sera la première et la dernière fois que je m'excuserai de quoi que ce soit auprès de vous.

- Une danse me suffirait.

- Je ne danse pas. Vous le savez bien.

- C'est la soirée inaugurale de ma boîte de nuit, ma petite. Et tu es ma cavalière. Vas-tu vraiment me refuser une misérable petite danse?

Présenté de cette façon, ça paraissait mesquin.

- Une seule.

Il eut un sourire charmeur. Le sourire que le serpent avait dû adresser à Eve.

- Je suis certain que nous ferons un couple magnifique sur la piste, ma petite.

- J'en doute.

- Je suis certain que nous ferions un couple magnifique dans des tas d'endroits.

- Je vous accorde une danse, et vous voulez la totale. Vous êtes vraiment incroyable.

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Je m'accrochai à Jean-Claude comme si il était la dernière chose normale en ce monde. Je me recroquevillai contre lui et pleurai. C'était comme si quelque chose en moi s'était brisé et que mes glandes lacrymales évacuaient ses débris sur lui.

Sa voix me parvint, vague et distante comme s'il parlait depuis un bon moment mais que je ne l'avais pas entendu. Il parlait en français, doucement, chuchotait dans mes cheveux, me caressait le dos, me berçait.

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La chemise bleu foncé de Jean-Claude était collée à sa poitrine, couverte de glu de loup-garou et de larmes.

- Maintenant, nous avons besoin d'un bain tous les deux, fis-je remarquer.

- Ça peut facilement s'arranger.

- Je vous en prie, Jean-Claude, pas de sous-entendus sexuels, au moins jusqu'à ce que je sois propre.

- Bien entendu, ma petite. C'était grossier de ma part. Je m'excuse.

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_Viens, ma petite. Profite bien de ta conquête.

Je raidis le cou pour éviter qu'il m'embrasse.

_Vous n'êtes pas conquis.

_Toi non plus, ma petite. (Je sentis ses mains remonter le long de mon dos.) Je commence à réaliser que tu ne seras jamais conquise, et c'est le meilleur aphrodisiaque de tous.

_Un défi éternel.

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