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Désormais parents d’une charmante petite tribu, Anne et Gilbert ont quitté le cocon de Four Winds et entament un nouveau chapitre de leur vie dans une maison délicieusement patinée : la chaleureuse Ingleside, couvée d’arbres qu’on ne couperait pour rien au monde et où ne tardent pas à germer les bourgeons de l’affection.
Anne d’Ingleside nous offre un roman qui foisonne d’une poésie démultipliée par les nombreuses sensibilités qui l’habitent. Celle d’Anne, toujours aussi disposée à déceler le beau là où personne ne songerait même à le chercher, et celles de ses enfants, qui ont tous à leur façon hérité de l’imagination et du romantisme de leur mère, nous offrant des descriptions féeriques et merveilleuses.
S'ensuivit une semaine mystérieuse. Une ambiance de cachotteries s'empara d'Ingleside. Tout le monde dut jurer de na pas révéler le secret à Tante Mary Maria. Mais Anne et Susan n'avaient pas pensé aux commérages. La veille de la fête, Tante Mary Maria rentra d'une visite à Glen et les trouva assises, l'air plutôt las, dans la véranda sans lumière.
" On est dans le noir, Annie? Je ne comprends pas comment on peut aimer rester dans le noir. Ca me donne le cafard.
- Il ne fait pas noir, c'est le crépuscule. Il y a eu un mariage d'amour entre le jour et la nuit et de cette union le fruit est d'une extrême beauté, dit Anne, davantage pour elle-même qu'autre chose.
- L'important, c'est que tu te comprennes, Annie. Et donc, tu fais une fête demain?"
Anne se redressa d'un coup. Susan, déjà très droite, ne pouvait se redresser davantage.
" C'est-à-dire… euh… ma tante…
- Il faut toujours que j'apprenne les nouvelles par des inconnus, constata Tante Mary Maria, avec manifestement plus de peine que de colère.
- C'était... c'était une surprise, ma tante...
- Je vois pas pourquoi tu tiens à faire une fête à un moment de l'année où la météo n'est pas fiable."
Anne soupira de soulagement. De toute évidence, Tante Mary Maria savait qu'il y avait une fête, mais ignorait qu'elle la concernait.
Quel plaisir, comme toujours, de retrouver Anne et Gilbert ! Je me suis vraiment attachée à ce couple. J'apprécie également de plus en plus leur fidèle Susan. En revanche, si leurs enfants sont profondément gentils et tiennent beaucoup de l'imagination débordante de leur mère, je dois avouer que je ne me suis pas du tout attachée à eux. Je ne critique pas l'écriture de Montgomery, mon cœur est simplement moins sensible aux aventures des enfants. Mais, même si j'ai préféré le tome précédent, j'ai quand même passé un très bon moment de lecture, comme toujours.
Comme d’habitude, la lecture aupèrs d’Anne est une bouffée d’air frais qui fait du bien au moral. J’ai eu un peu plus de mal a me plonger dedans que les précédents du fait qu’il tourne moins autour d’Anne mais plus de toute sa joyeuse petite famille, mais au fur et a mesure qu’on apprend a les connaître un par un, le chemin se fait de nouveau très bien
Dans ce tome on a la joie de faire connaissance avec les enfants d'Anne comme on peut l'imaginer il ya un peu d'Anne dans chacun de ses petits des enfants bien éduqués avec de la joie de vivre et beaucoup d'imagination et pour certains des petites bêtises c'état une lecture bien agréable.
Je ne me lasse pas de lire les aventures d'Anne. Surtout que maintenant nous avons en plus ses enfants. Dans ce roman nous découvrons la personnalité de chacun. Jem, Walter, les Jumelles Di et Nan, ainsi que Shirley et Rilla. Tous sont unique mais en même temps semblable. Anne est une mère avec ses défauts, mais elle reste la mère que tout le monde veut devenir avec ses enfants, moi la première.
On découvre donc les drames que les enfants Blythe doivent affronté et qui leur semble être un obstacle insurmontable.
On retrouve d'autre personnages que l'on a aimé dans les tomes précédents. Les premier chapitres sont d'ailleurs dédié a Diana et Anne qui revivent une partie de leur enfance et nous font revivre ce qu'on a tant aimé dans les premiers tomes.
Anne aussi n'est donc plus une enfant, ce qui est aussi le cas pour Gilbert. Beaucoup de chose leur arrive et notamment a leur couple. La fin m'a fait un petit pincement au cœur. Il ne reste plus beaucoup de tome et j'avoue que j'ai un peu peur pour certain personnages.
Mais même si ce tomes reste l'un de ceux que j'ai le moins aimé dans la saga, il reste malgré tout en diamant parce qu'Anne est un personnage tellement adorable et unique qu'il y a totalement sa place.
C'est toujours un plaisir de la lire, même après 6 tomes.
Désormais maman d'une jolie petite tribu, Anne est davantage en retrait dans ce tome. Place à la jeunesse et à une mise en avant de ses enfants.
Nous suivons gaiement leurs (més)aventures sous l'œil éternellement bienveillant d'Anne.
J'en admire cette bienveillance !
Toujours à l'écoute, dans l'attention et le pardon, jamais dans le jugement. Les enfants font des erreurs et ils apprennent de ces erreurs sans que l'adulte n'ai besoin ici de les réprimander.
Quel cadre idéal, voire idyllique.
Mais c'est aussi pour cela qu'on aime tant Anne. Elle garde sa poésie et son regard magique sur ce qui l'entoure, quoiqu'il arrive !
Enfin, presque...
Elle reste une femme, en proie au doute et à la jalousie mais elle se reprend très vite sous le regard aimant de son mari, qui malgré le temps qui passe, n'a pas changé !
On s'attache à toute la famille D'Anne. Ce livre est autant un témoignage de son temps qu'une balade poétique à travers la vie d'Anne. Incontournable classique qui mettra du baume au coeur et la sensation nostalgique d'une vie qu'on ne connaîtra pourtant pas.
Cette série, comme m'a dit quelqu'un il n'y a pas longtemps, est une véritable friandise. On se sent mieux après, on voit la vie de manière bien plus positive. Ici, Anne est plus âgée que moi - elle a entre 34 et 40 ans, mais surtout ce qui l'éloigne de moi, est une expérience différente : c'est la mère qui prime. Mais il y a encore des passages (beaucoup moins nombreux), où on la voit dans le rôle d'entremetteuse, d'amie et de femme mariée. Ils m'ont beaucoup plu, car peu nombreux par rapport à ses expériences de mère, où elle rassure toujours sur le même schéma, ses enfants : ils croient quelque chose tellement fort, qu'ils agissent ou pas d'une manière excentrique, ils ne vont pas bien, et Anne les console de leurs (dés)illusions. Rien à faire, le schéma fonctionne, à condition qu'on n'ait pas oublié ce que c'est que d'être enfant, avec des émotions fortes, extrêmes, incontrôlables et... si peu rationnelles. Personnellement, j'ai bien aimé, même si cela peut sembler fort répétitif.
Est-ce qu’il ne serait pas grand temps de parler de ma dernière lecture de 2023 ? Je crois bien que si.
Et comme c’est un peu mon rituel depuis quelques années, j’ai réservé ma dernière semaine de l’année à l’un de mes personnages préférés de tous les temps : Anne, que j’ai cette fois si retrouvée pour le sixième volet de ses aventures, *Anne d’Ingleside*.
—Anne d’Ingleside, entre transmission et tradition—
Ce nouveau tome est imprégné d’une saveur différente des précédents. Le temps a passé, Anne est désormais maman de six enfants qui animent une grande maison et se créent des mondes à partir de petits riens. *Anne d’Ingleside* est le tome de la passation : le point de vue d’Anne se fait de plus en plus rare pour laisser la place au quotidien et aux aventures de ses enfants (Jem, Walter, Nan, Diana, Shirley et Rilla) qui ont tous pris quelque chose de leur mère. Bien sûr, j’ai aimé ce retour à l’enfance qu’opère Lucy Maud Montgomery qui nous rappelle l’ambiance du premier tome, *Anne de Green Gables*, surtout dans les chapitres consacrés à Walter qui est celui des six enfants qui ressemble le plus à Anne pour moi.
Mais je ne vais pas mentir… Anne m’a quand même pas mal manqué dans *Anne d’Ingleside*. Les quelques chapitres de son point de vue sont mes préférés et je les ai chéris comme j’ai très vite compris qu’ils seraient (trop) rares. Le dernier chapitre du roman est d’ailleurs le meilleur selon moi, parce qu’il revient aux essentiels de se qu’est la série *Anne Shirley*. Je ne sais pas si c’est que Lucy Maud Montgomery a eu peur de manquer de matière si elle se concentrait uniquement sur le quotidien d’Anne en tant que maîtresse de maison (pourtant je pense qu’il aurait pu y avoir de quoi faire), ou si c’était simplement une volonté de sa part de transmission de génération… Quoi qu’il en soit, le roman qui en résulte n’est pas moins qualitatif que les précédents : il est simplement différent, l’élément central étant cette fois si remisé au second plan.
Mis à part ça, il va sans dire que l’âme de la série *Anne Shirley* est toujours aussi présente dans *Anne d’Ingleside*. La poésie et l’enchantement ont été inculqués dans les yeux enfants qui savent s’émerveiller. Et la plume de Lucy Maud Montgomery n’a rien perdu de son panache et de sa magie, décrivant à merveille le passage des saisons et la beauté en toute chose. Ça a donc encore une fois été un véritable plaisir de partager cette dernière semaine de 2023 en sa compagnie, pour des instants de douceur et d’espièglerie réussis !
—En bref—
En bref, *Anne d’Ingleside*, le sixième tome de la saga consacrée à Anne Shirley de Lucy Maud Montgomery est une véritable bouffée d’air frais qui nous ramène aux saveurs de l’enfance grâce aux aventures quotidiennes des six enfants d’Anne que je me suis plu à suivre. Même si j’avoue que mon héroïne préférée m’a manqué, et que j’ai donc savouré pleinement les quelques chapitres où elle est au centre du tableau. Mais il n’empêche que l’âme de la série est toujours là, animée par une plume poétique et enchanteresse qui n’a pas fini de m’émerveiller !
Notre héroïne grandit et on sent petit à petit qu'on la perd... une distance s'installe, elle murit, elle change. C'est un choix logique et temporel de l'autrice, qu'on y adhère ou non. Les petits nouveaux personnages compensent par leur douceur, leur poésie, leur candeur et leurs aventures mais peut-être sont-ils trop nombreux pour être tout aussi attachants que notre Anne préférée.
Résumé
Désormais parents d’une charmante petite tribu, Anne et Gilbert ont quitté le cocon de Four Winds et entament un nouveau chapitre de leur vie dans une maison délicieusement patinée : la chaleureuse Ingleside, couvée d’arbres qu’on ne couperait pour rien au monde et où ne tardent pas à germer les bourgeons de l’affection.
Anne d’Ingleside nous offre un roman qui foisonne d’une poésie démultipliée par les nombreuses sensibilités qui l’habitent. Celle d’Anne, toujours aussi disposée à déceler le beau là où personne ne songerait même à le chercher, et celles de ses enfants, qui ont tous à leur façon hérité de l’imagination et du romantisme de leur mère, nous offrant des descriptions féeriques et merveilleuses.
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