J'ai commencé ce livre 3 fois, et seule la quatrième m'a permis d'aller jusqu'au bout... Les premières lignes sont hésitantes, et même agaçantes, il faut insister et aller au-là de ce pédalage cérébral pour profiter de la suite ...

Lu et relu, puis relu à nouveau. Nadja, cette femme, se livre à travers les mots de Breton, mais si vous disposez d'une édition illustrée, alors vous entrer dans l'intimité de cette muse, dont le mystère me fascine toujours autant !

Mme Taubira assume son style lyrique, ses envolées poétiques, mais avant tout son engagement. Cette femme a passé 45 mois au gouvernement, a fini par en être la seule figure de gauche encore existante et s'en est allée la tête haute, brandissant bien haut l'étendard de ses convictions. Ce livre est un hymne à la France, à sa culture, à son histoire. Mme Taubira, je suis votre éternel partisan !!

Je ne serais surement pas objectif en commentant ce livre ( je l'ai écris...) mais je sais de source sure que pour moi, il a été à la base de nombreuses découvertes, sur la vie, sur moi-même et ce que j'attends de l'avenir. Ce ne sera sans doute pas le meilleur tome du cycle, mais en tout cas, il en pose toutes les bases et j'ai pris un plaisir immense à l'écrire, même si je n'ai pas pu empêcher la douleur de certaines journées d'angoisse.

Les Fleurs du Mal ont été et seront sans doute toujours ma plus grande source d'inspiration. Baudelaire est restera l'un des plus grands "maitres-mot" à travers les siècles, usant de la langue française comme un peintre le ferait avec un pinceau pour sublimer la réalité...

Le fantome du souvenir est l'un des meilleurs du cycle à mon sens. Les évènements du passé resurgissent enfin, Shota, Six, Nicci, Zedd, Anna, bref, tout ce joli petit monde me fascine. L'histoire continu, et nous mène lentement jusqu'au final.

L'histoire est hyper bien ficelée, le scénario se final se met en place, je retrouve Nicci, et j'en suis heureux... Hélas, En quelques 600 pages, Terry Goodkind bachotte !!! Se répète, y va de ses discours américanisé... Bref, si le livre est très bien construit, il n'empêche qu'il a certain défauts... Mais j'aime quand même, pour l'ingéniosité de l'auteur...

Après deux tomes presque parfait, j'ai été déçu par les facilités utilisés pas Goodkind dans ce tome. Si l'histoire en soi est génial, les personnages manquent de saveur et particulièrement Richard, qui depuis un moment me tapait déjà sur les nerfs. Petite mention a Kahlan, chère à mon coeur.

Passez de l'autre côté et découvrez la vie telle que la voie le tout venant, dans ce monde où vous n'avez pour l'instant croisé que des êtres dotés de magie... Si ce livre peut paraitre inutile, il est pourtant essentiel pour la suite, et j'ai adoré découvrir de nouveaux personnages... Un pause bien méritée dans la quête de Richard...

J'ai lu ce tome deux fois de suite tant il m'a passionné... La découverte de Nicci, de sa complexité, de son passé m'a attaché à ce livre de façon presque addictive. J'ai aimé le scénario, la séparation Richard/Kahlan, et surtout l'importance que prend la Mère Inquisitrice... Un bijou, pur et simple qui m'a réconcilié pour un temps avec Goodkind...

Un tome qui commence relativement bien. Kahlan et Richard me plaisent lorsque leur relation est simple. Hélas, on se retrouve vite dans ce pays "apartaidiste" qui tient plus de la leçon de morale que de la création pure. Goodkind a beau être un très bon écrivain, je n'ai pas apprécié ce tome... Richard y est imbuvable, l'intrigue d'Anderith inintéressante au possible et l'histoire des carillons assez capillotractée... Bref, ma première déception depuis le début du cycle...

Ah Le Temple des Vents. Ce n'est pas le meilleur tome du cycle de Terry Goodking, mais il reste essentiel au déroulement de l'intrigue. On découvre enfin le personnage de Cara, Zedd et Anna nous gratifient de quelques moments cacasses... Bref, si l'utilisation de la peste m'a franchement déçu, le reste est convaincant...Découvrir Nathan sous un autre jour aide également...

Ce tome m'a tout d'abord rebuté. Je l'ai lu a reculons, déçu de ne pas retrouver certains éléments qui m'avaient tant plus dans les deux premiers. Puis finalement, je me suis encore attaché à Verna, j'ai appris à apprécier le nouveau Richard, qui se politisait un peu trop à mon gout, et lorsque je l'ai relu, je l'ai finalement dévoré, conscient alors que ce tome est l'un des plus importants dans le fil de l'intrigue de l’Épée de Vérité... Tant de choses se décident, finalement...

Le livre qui a fait naitre chez moi la passion de l'histoire et le respect du passé ...Les livres que l'ont nous impose au collège ont parfois du bon...

10 fois, peut être plus, et je ne m'en lasse pas... Le deuxième livre qui ne me quitte pas...Ce livre est universel, évoque l'air de rien des thèmes qui aujourd'hui encore peuvent être important.... GGM m'a fait voyagé, dans son monde, dans l'Amérique du Sud qu'il aime tant et jamais je n'oublierai que c'est aussi lui qui m'a donné envie d'écrire !

Le plus beau recueil de poésie qu'il m'ait été donné de lire ! Baudelaire est et restera pour moi un maître dans l'art de transcender la beauté de toute chose, d'en extraire le meilleur, à travers des mots pourtant parfois crus, pour ne pas dire violents. Ce livre ne me quitte jamais, et je pense ne jamais finir de m’émerveiller devant la plus sans accrocs de ce génie de la littérature française...

Si La Première Leçon du Sorcier se suffit à lui même, et ne porte pas le discours partisan de l'auteur, La Pierre des Larmes est tout l'inverse. il ouvre clairement le cycle, porté par un premier tome riche en éléments et prêt à soutenir l'intégralité du cycle. Démarre alors une métaphore parfois trop présente, héritage culturel des américains, autour de l'opposition entre les USA et les communistes. Mais en dépit de cela, les personnages se révèlent encore, notamment la Mère Inquisitrice. Je regrette seulement que le voyage jusqu'au Palais des Prophètes soit si long... Petite mention pour Verna qui m'a particulièrement touchée et certains passages absolument parfaits dans le style !

Une révélation pour moi. Je n'ai jamais lu de fantasy avant ce livre et je n'ai pas réussi à m'en défaire ! Il se lit facilement et Kahlan Amnell a été pour une révélation pure et simple, image d'une femme à la fois fragile et forte, humaine et en même temps pas tout fait...
On n'a pas besoin de lire la suite, ce premier tome se suffit à lui même, mais évidemment, je n'ai pas su résister à l'appel de l’Épée de Vérité... Bref un de mes livres de chevet...