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Commentaire ajouté par Delphine-42 2018-10-04T13:05:40+02:00
Diamant

Apocryphe : On qualifie d’apocryphe une œuvre « dont l'authenticité n'est pas établie. (Source Littérature et Art).

René Manzor annonce la couleur dès le titre, ce roman est une fiction bien que s'appuyant sur des personnages et des faits réels.

Apocryphe est une évasion livresque comme j'en n'ai rarement connue. Dépaysement assuré avec ce suspense biblique et épique où le talent de conteur de René Manzor fait des merveilles.

Beaucoup de personnages comme dans toute fresque historique et biblique, dont les destins vont se croiser et se rejoindre pour un combat, celui de l'idéologie, de la religion, de leur Terre sacrée contre l'envahisseur.

René Manzor ne fait pas de sentimentalisme avec ses personnages, n'hésitant pas à les sacrifier, tel un George R.R. Martin dans Game of Thrones.

Avec Apocryphe, l'auteur s'éloigne de sa zone de confort en quittant les thrillers "classiques" et force est de constater que l'exercice est accompli avec brio.

Apocryphe est violent, épique, émouvant et passionnant. Un véritable dépaysement et une plongée dans une relecture historique.

Un roman noir à découvrir pour vibrer avec les personnages, une réussite à différents niveaux. Un joli coup de cœur pour moi dans lequel je vous invite à plonger :)

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2018-12-09T14:01:20+01:00
Or

"Eli, Eli, lama sabachthani" furent les dernières paroles de Jésus, sur sa croix et non pas "Un clou, vite, je glisse" comme je me plais toujours à dire (oui, à une époque, j’aurais fini sur le bûcher pour hérésie blasphématoire).

Traduction de ses mots ? "Mon dieu, mon dieu, pourquoi m’as-tu abandonné", ce qui prouve bien que même Lui a douté et que la crucifixion est une mise à mort barbare et horrible.

En attendant, avec ça, vous avez de la matière culturelle pour briller pour les fêtes de fin d’années (ou à Pâques, au choix).

Il est bon de savoir que la phrase varie selon la langue utilisée et qu’en Araméen, cela donne : "Élôï, élôï, lama sabacthaneï" et que Dieu est aussi écrit "Eloï" et si avec ça vous n’êtes pas le roi de la culture, je veux bien bouffer une huître !

Mais revenons à nos moutons… Si Yeshua (dit Jésus dans nos contrées), tentait un come-back, m’est avis qu’il serait stoppé à la frontière (ou arrêté après avoir tenté de la franchir), serait enfermé et puis remballé fissa dans son pays d’origine… car il n’a rien à voir avec le style européen qu’on nous matraquait "dans le temps".

Anybref… Ce thriller étiqueté ésotérique ou biblique, je n’y croyais pas de trop, je doutais, comme je fais souvent et puisque je m’interrogeais sur le contenu de ce roman, j’ai fait comme Thomas, l’apôtre, j’ai demandé des preuves et il m’en a été donné par la lecture de ce roman (mais je n’ai pas mis mon doigts dans le trou).

Non, soyez sans crainte, ce thriller historique n’a RIEN à voir avec une resucée (j’adore ce mot) d’un Da Vinci Code ou avec un roman qui voudrait réécrire l’Histoire, vous faire prendre des vessies pour des lanternes ou tout autre chose. On est au-delà de ça, bien au-delà… Ici, on est dans la crème, pas dans la lie !

L’auteur a étudié le sujet avant de le travailler et ce qu’il nous livre, c’est mieux qu’un voyage dans le temps, c’est une véritable plongée dans ce qui fut, après la crucifixion de Yeshua, le début de conversions à un nouveau courant religieux, de baptême et de prêches par les apôtres.

Certains pourraient reprocher que les chapitres courts donnent l’impression de lire un futur film, mais cela ne m’a dérangé aucunement.

Entre nous, j’ai trouvé que ces successions rapides donnaient une vie propre au roman, comme s’il se déroulait devant nos yeux et que nous étions les spectateurs impuissants mais entrainé par les personnages forts, dont certains étaient de vieilles connaissances.

Après lecture, que vous soyez croyant, athée, agnostique ou autre, votre opinion ne sera pas changé car là n’est pas le but de l’auteur, lui, tout ce qu’il veut vous offrir, c’est son travail sur cette époque dont nous savons peu et qui pourtant a eu et a encore une importance énorme dans nos sociétés.

Ce thriller historico-religieux est aussi un roman noir car il nous fait découvrir la vie des Juifs sous l’occupant romain et sa fameuse Pax Romana, l’esclavage, la mendicité, les enjeux politiques, les manipulations de certains, la duplicité et les ronds de jambes des autres, autrement dit « un air de déjà-vu » puisque c’est toujours la même chose partout dans le Monde à toutes les époques.

C’était ma première fois avec René Manzor mais nom de Dieu (oui, j’ose), quelle panard je viens de prendre durant cette lecture passionnante et sans parti pris.

Un coup de cœur en plus pour cette année. J’aimerais vous en dire plus mais j’aurais peur d’en dire trop. De plus, je ne trouve pas mes mots pour vous dire combien j’ai apprécié cette lecture.

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Commentaire ajouté par LeoLabs 2019-03-27T21:08:34+01:00
Argent

Un Peplum-Thriller-Aventure Biblique que j'ai su apprécié malgré quelques situations précipitées et le léger manque d'empathie envers des protagonistes qui auraient pu, à mon humble avis, être plus complexes avec quelques chapitres en plus. Cela-dit, je reconnais que ce roman a dû être un "sacré" défi pour l'auteur. Une écriture fluide et plaisante, et prenante. je réitérerai l'auteur.

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Commentaire ajouté par Julitlesmots 2019-05-17T16:46:32+02:00
Or

Quand on apprend que « Apocryphe », a bien failli ne jamais voir le jour, la lecture prend une dimension différente et sa saveur n’en est que meilleure.

Le Destin était en marche… Peut-être un brin de divin dans cette publication… Mais attention, nous sommes bien dans un roman noir, même si l’auteur s’est inspiré d’une réalité que beaucoup pensent vraie. Une intrigue qui prend sa source dans ce qui aujourd’hui divise encore et surtout par-delà les divisons opposent des millions de personne.

La force de cette intrigue est de se servir d’une trame « historique » qui donne une réalité au récit, au point d’oublier que nous sommes bien dans un récit fictif.

La plume est d’une fluidité saisissante, concise et ciselée. Un vrai travail d’orfèvre dans les mots que l’auteur pose avec justesse, sans jamais perdre son lecteur dans des descriptions futiles.

« Apocryphe » porte bien son nom, puisque l’auteur suggère une réalité possible. Et si… Et si…

Une image peu conventionnelle de Jésus, puisqu’il est beaucoup plus un être humain qu’un être divin. Mais elle ne sert, que pour donner corps à l’histoire de David de Nazareth, fils caché de Jésus.

On se demande pourquoi l’auteur s’est lancé ce défi et comme un devin qui vient éclairer notre chemin, il nous livre une réponse que j’ai trouvé très belle « C’est l’enquête apocryphe d’un croyant de naissance qui fait appel au petit-fils du charpentier pour retrouver la foi ; et ce dans ce qu’il a de plus humain, de plus organique. C’est la perquisition littéraire d’un baptisé qui cherche désespérément à retrouver l’odeur du Jourdain. Ce sont les aveux d’un homme qui doute. Mais… Le doute, n’est-il pas le principe de la foi ? Quand on dit « je crois », c’est bien qu’on n’est pas sûr. »

A elle seule, cette phrase montre toute l’humanité que l’auteur a voulu mettre dans son thriller-historico-biblique où des personnages fictifs côtoient ceux bien réels et connus qui jalonnent nos livres d’Histoire avec un grand « H »

Cela peut soit dérouter le lecteur, soit complètement l’embarquer et se prendre au jeu de cette plume qui nous propose et cela de manière très visuelle (une déformation professionnelle qui sert la plume) de nous plonger dans un roman épique, un péplum que l’on lit comme on regarde ces vieux films en noir très à la mode à un moment donné.

N’allez pas croire que l’auteur s’est lancé tête baissée dans un tel roman ! Bien au contraire, le travail de recherche a duré deux ans avant de pouvoir faire profiter le lecteur de ce thriller.

Les personnages sont empreints de réalité et de réalisme, où les sentiments humains sont d’une description détaillée, mais sans jamais en faire trop, tout en permettant l’imagination du lecteur de se les approprier et de vivre à leurs côtés cette aventure autant humaine qu’historique.

C’est bien de cela que René Manzor nous parle, d’humanité, de doute, d’amour et de foi. La foi autant en Dieu que dans l’humanité qui se cache en chacun de nous, en chaque chose qui définit cet être complexe en perpétuel questionnement et en perpétuel besoin de réponses.

C’est le premier livre de l’auteur que je découvre et ce ne sera, certainement, pas le dernier. Une intrigue dense qui se lit avec avidité grâce à ce réalisme dont use l’auteur, un retour vers le passé qui se fait sans encombre et dont le lecteur devient le spectateur avide de comprendre, mais surtout avide de vivre. Le lecteur vit au rythme de cette intrigue qui a toutes les composantes d’un très bon thriller, servi par une plume très visuelle.

Histoire de vous immerger dans l’ambiance :

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Commentaire ajouté par Nathou-3 2020-02-01T23:51:04+01:00
Argent

On revisite l'histoire de Jésus entre la secte des Nazorééns et les romains, on apprend beaucoup de choses, de cette belle épopée, l'auteur nous as expliquées qu'avant d'écrire ce livre, il a lu les 131 évangiles apocryphes, une chose est certaine cet opus est très documenté sur ces années-là.

Au début, j'ai eu beaucoup du mal, car faut vraiment être plonger dedans pour comprendre le contexte qui est absolument historique, mais ensuite quand j'étais partie dans la trame, on est vraiment happé par cette plongée dans l'ancien temps.

Il y a des guerres de pouvoir, et beaucoup de batailles, des meurtres en cascade, et c'est diffus mais vraiment passionnant.

Personnellement quand j'étais petite, j'adorais aller au catéchisme, je trouvais la vie de Jésus passionnante et réellement fantastique, mais ce livre m'as permis de comprendre que beaucoup de choses sont encore à découvrir, qu'on en sait encore très peu.

Et le livre traite aussi de la foi, de croire ou ne pas croire, et il est aussi intéressant par ce fait.

Oui le fils de Jésus peut avoir des doutes sur la résurrection, et l'auteur en parle très bien, et encore ça nous permet de voir les choses différemment.

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Commentaire ajouté par Pendergast 2021-12-22T20:14:54+01:00
Or

L'auteur réussit à rendre crédible et passionnant ce thriller biblique, on sent un long travail de recherche pour arriver à restituer pleinement la violence et l'âpreté de cette époque tourmentée. La Judée de Jeshua revit sous nos yeux, de même que son peuple opprimé par l'occupant romain, peuple espérant toujours sa libération et la venue d'un messie. Des personnages historiques ressurgissent au fil des pages, Pilate, Caiphe, Judas, Saul/Paul, Mariammne, les Apôtres et bien d'autres, l'auteur se permet des libertés pour mieux servir son histoire, mais vu le peu d'éléments dont nous disposons (il reste beaucoup à découvrir, mais l'archéologie en Terre Sainte est une discipline difficile à mettre en place, tant les passions se déchaînent et tant les trois grandes religions sont étroitement entremêlées, rendant difficile toutes explorations), ces audaces permettent d'humaniser ces hommes et femmes, loin des icônes et images d'Épinal qu'impose la religion. Et l'idée de donner un fils à Jeshua est audacieuse, certes, mais intéressante, on comprend sa colère et son impuissance lors de la mort de son père et plus tard, sa révolte et son amertume face à la disparition de ce père, lui reprochant d'avoir été plus proche des étrangers que de sa propre famille. Au final, où est la vérité? figée dans le marbre de la liturgie, nécessaire pour garder le peuple dans le droit chemin, ou au contraire mouvante au fil de tous ces écrits apocryphes, peut-être plus réalistes et libertaires? A chacun, croyant ou incroyant, de se faire sa propre idée, l'écriture subtile de l'auteur et cette fin ouverte nous permettant d'y réfléchir.

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Commentaire ajouté par Vernon 2022-07-05T17:39:30+02:00
Bronze

dans ce roman, René Manzor nous fait voyager dans le temps. nous remontons dans les débuts de la Chrétienté. Ici, nous suivons David de Nazareth, fils du Messie. Evidemment quand on est ainsi le fils du de Yeshua de Nazareth, notre vie ne peut pas être ordinaire. Et c' est en voulant reprendre la suite de son père que nous assistons à l' aventure de cet adolescent accompagné de son protecteur, le converti Longinus. Un roman fort en émotion. Avec des personnages forts et attachants. L' auteur nous livre une œuvre poignante et très bien documentée. C' est mon premier roman de René Manzor. Mais surement pas mon dernier. J' aime sa plume et sa narration

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Commentaire ajouté par Root 2018-11-08T21:22:55+01:00
Lu aussi

Qmrân, désert de Judée, an 37. Voilà sept ans que Mariamne a fui ses terres pour élever son fils loin de la folie des hommes qui a hissé Yeshua sur la croix. Ainsi grandit David, à l’abri des détracteurs de son père dont il aurait à coup sûr hérité s’ils avaient eu connaissance de son existence. David de Nazareth est une légende, un mythe. Un mythe bien vivant. Un adolescent discipliné mais déterminé, qui s’est mis en tête de revoir la Ville sainte pour la Pâque, au grand dam de Mariamne. Tandis que la conversation s’anime entre David et son parrain Shimon, que le jeune homme tente de convaincre de l’importance de ce voyage, un légionnaire romain se présente à la ferme et demande à voir Mariamne. Ce visage, ce regard, elle ne les a pas oubliés. Sept ans qu’ils nourrissent sa haine. Yeshua savait tout pardonner mais elle ne le peut pas. Malgré ses réticences, elle lui offre le gîte pour la nuit. Mais au matin, David et le soldat ont disparu…

C’est gonflé, le thriller biblique. Gonflé, de revisiter l’Histoire. Je ne suis pas suffisamment calée en théologie pour savoir jusqu’où l’auteur a pris ses libertés avec les versions officielles mais il transparaît, à chaque page, un travail colossal et un véritable respect. René Manzor nous apprend, en fin d’ouvrage, qu’il a passé deux ans en Judée pour l’écriture de ce roman. Évidemment. Il ne suffit pas de dire au lecteur « vous voilà au siècle premier », il faut savoir l’y emmener. Derrière les mots, il y a l’homme d’images, qui nous régale. Les sons, les odeurs, les couleurs, les armes, les vêtements de l’époque, la reconstitution est incroyable. Les décors vous jaillissent sous les doigts, les personnages prennent vie. De Caligula à Barabbas en passant par Saül et Pilate, bien sûr, on (re)découvre des noms connus, qui trouvent chacun leur place, portés par leurs motivations, dans cette aventure extraordinaire. Entre témérité et ténacité, fierté et orgueil, les fois s’affrontent. L’honneur des révoltés, assoiffés de justice, de justesse, plutôt que de pouvoir, touche profondément. L’auteur semble s’effacer pour les laisser s’exprimer sur le pardon, le repentir, et laisser le lecteur décider du chemin qu’il fera avec eux. J’ai vécu quatre jours indescriptibles, uniques, j’ai refermé ce bouquin heureuse, qu’on m’ait conté une telle histoire, avec un tel talent et qu’en plus de l’avoir grandement appréciée, je l’aie bien plus comprise que dans toutes les versions que j’en ai lu à ce jour.

En 1989, René Manzor me traumatisait avec 36 15 code Père Noël. En début d’année, nous nous réconciliions autour de Celui dont le nom n’est plus. Avec Apocryphe, il m’a définitivement conquise.

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Commentaire ajouté par sagweste 2018-12-12T11:40:44+01:00
Or

http://saginlibrio.over-blog.com/2018/12/apocryphe-de-rene-manzor.html

Je découvre l'auteur par ce livre, et l'essai est marqué! Moi qui ne suis pas du tout versée dans le biblique, je me suis prise au jeu de vouloir en savoir plus sur l'itinérance de David de Nazareth. Ce jeune de 14 ans, ressemblant étrangement à son père, est plein de colère et de ressentiments comme tout bon ado qui se respecte. Mais lui, c'est contre son paternel qu'il s'insurge, celui qui l'a délaissé au profit de l'Amour à prodiguer aux autres, à tel point qu'il en est mort sur une croix.

Pour grandir, prendre en maturité, il devra se rendre aux confins de l'Empire romain, en Syrie, et y découvrir sa destinée. Pour cela, il sera accompagné souvent à son corps défendant par Longinus (ancien centurion) et Farah (ancienne esclave égyptienne) . Ses compagnons de route l'aideront plus d'une fois à relativiser, à apaiser cette colère si affleure à chaque pore de sa peau.

Mais en parallèle, c'est toute la dureté et les tortures infligées au peuple qui surgissent par le prisme des Grands de cette époque: Caligula, Ponce Pilate, l'homme armé du Temple (Saül), le Grand Prêtre du Sanhédrin... tous ne voient que par leur puissance, l'intérêt, la concupiscence. La plume ne fait aucune concession à la réalité sanguinolente qui entoure le quotidien des Juifs et des autres peuples sous dominance de Rome.

Cette histoire est addictive, rarement je me suis plongée dans ces atrocités qui font légions, dans ces conflits politiques qui malheureusement sont presque contemporains.

Je referme ce livre en étant chamboulée mais également imprégnée du message livré ici: chacun est maître de son destin, quelque soit la manière pour chacun d'y arriver.

Enjoy!

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Commentaire ajouté par AJCrime 2019-03-18T10:21:50+01:00
Diamant

Juda n’est pas mort. Jésus a eu un fils de sept ans au jour de sa crucifixion. La révolte gronde en terre promise et les Nazaréens subissent les pires répressions, l’épurations, sans pouvoir exterminer ces croyants haïs par les Juifs comme les Romains. Voici une magnifique uchronie historique de l’an quarante, une superbe épopée antique, un voyage initiatique de corps, de pensées, et d’esprit où le soucis du détail et la véracité rende la narration poignante. Ce récit rassemble aussi des éléments des apocryphes bibliques enfantés des apôtres, prêcheur et autres évangélistes.

Ce récit nous raconte essentiellement les aventures d’un jeune homme, fils d’une icône de la génération précédente autosacrifié sur l’autel du péché des Hommes. Les motivations, les attentes, les désirs de vérité et de vengeance d’un adolescent qui nous fait traverser l’époque antique de la domination romaine mise à mal par un crucifié soi-disant ressuscité.

L’auteur nous réserve une fin mystique s’il en est qui vous trainera au fin fond de la foi monothéiste.

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