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Extrait ajouté par ocanlers 2018-12-26T21:51:07+01:00

- Hé les garçons... Y en a un de vous qui se mariera avec moi dans, genre, dix ans ? Parce que je m'inquiète de savoir quel homme me supportera, demande Ophélie dont l'euphorie alcoolisée se transforme petit à petit en sleen de célibataire.

- Moi, je suis déjà engagé ! affirme Zine sans oublier de regarder Avril, qui en rougit.

- Moi, je veux bien

- Très bien, Gabriel. Je signe ! Au fait, pourquoi attendre dix ans ? Ça te dit, maintenant ? On a même notre curé, affirme Ophélie en pointant Avril qui montre les crocs en signe de mécontentement. On a deux enfants de choeur, les demoiselles d'honneur... Qui fait ma mère ?

- Nan merci, lance Solène.

- Merde, c'est pas bon. J'ai pas d'alliances.

-Moi j'en ai, des bagues ! s'écrie Marjolaine.

- Tes merdes de chez Claire's ? Nan merci, je mérite mieux.

- Euh, moi je veux bien épouser Solène, sinon ! tente Ryad.

- Nan merci, mon grand. Faut pas parler mariage ou je vomis. Je veux bien t'offrir du tralala dans mes draps... mais pas de bagues !

- Maintenant ?! panique Ryad. J'ai encore jamais embrassé une fille, alors...

La perche est trop belle : Solène la saisit aussitôt. Elle attrape la tignasse brune, approche le petit visage du sien et l'embrasse à pleine bouche. Le silence s'installe tandis que tous assistent au baiser. En particulier Zine et Gabriel, qui ont une baveuse envie d'être à sa place.

Catapulté par l'excitation, par cette bouche sur la sienne, Ryad vole au-dessus de son innocence tel l'homme sur L'anniversaire de Chagall; alors qu'il plane, Avril se souvient du baiser peint par Francesco Hayez et se jure d'être un jour embrassé ainsi par l'amour de sa vie.

- Et voilà. Tu as embrassé une fille, maintenant ! déclare Avril quand les bouches se décollent.

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Extrait ajouté par ocanlers 2018-12-23T22:50:32+01:00

- Tu t'imagines quoi, mémé ? Qu'on va manger et trinquer à ta santé ? Que je vais cogner ma petite cuillère sur le verre et porter un toast à ta mort ? Quand ce jour arrivera, c'est pas toi que j'aurai envie de mettre dans un trou, c'est elle. Ta mort ! La recouvrir de terre, l'étouffer pour te garder toujours près de moi...

Tout ces fichus mots qui restaient coincés. Comme ça fait du bien quand ils jaillissent.

-Te fâche pas, Avril.

- Non, mais je suis triste. Et je le serai éperdument, ce jour-là. Tu vois mémé, ta mort, je l'imagine comme un gros gâteau, sachant que tous ceux qui t'aiment vont devoir s'en servir une part. Et elle sera pour qui, la plus grosse ? Pour moi ! Je vais m'empiffrer de ta mort.

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