Après les nuages

L’histoire : nous suivons Jen, une jeune fille passionnée de skate. C’est son exutoire, son moyen de s’évader. Elle cache une maladie peu connue : le psoriasis. C’est tout a fait bénin mais cela se voit et provoque le dégoût dans le regard des autres. Heureusement, pour surmonter cela ainsi que la période de l’adolescence assez difficile, Rayen est là. Son meilleur ami paraplégique et basketteur qui rêve de participer aux JO. De plus, un nouveau arrive au lycée : Eden. Avec lui, la vie va s’illuminer. J’ai passé un super moment. L’histoire est originale et met en avant des pathologies ainsi qu’un sport que l’on connait peu. Les thématiques sont traitées avec justesse et on se replonge rapidement dans la période difficile qu’est l’adolescence. Il m’a manqué peut être un peu plus d’action et moins d’introspection mais ce n’est que mon avis d’adulte. Je pense qu’il y a encore quelques années, ce roman m’aurait fait un bien fou.

Les personnages : Jen m’a énormément touchée. Je me suis retrouvée en elle. Elle est l’incarnation même d’une ado mal dans sa peau qui a besoin de soutien. Quant à sa maladie, le psoriasis, je la vis aussi à des degrés différents et elle ne se manifeste pas de la même façon mais je sais ce que donne le regard des autres. Je trouve ça chouette qu’il ait été traité ici pour en parler aux adolescents. Ensuite, Rayen, son meilleur ami. J’ai aimé la relation qu’ils ont noué tous les deux. Il n’a qu’un rêve, devenir basketteur professionnel et il s’accroche à cela malgré sa paraplégie. Là encore, on a une belle démonstration de force mentale. Enfin, j’aimerais vous parler d’Eden. Ce personnage m’a émue. Il est le garçon que l’on veut dans sa vie à l’adolescence. À la fois doux, rassurant, drôle et attachant. Il n’émet pas de jugements et accepte les choses telles qu’elles sont.

La plume : ce n’est pas le premier roman de l’autrice que je lis mais c’est le premier en Young Adult. Je dois dire qu’elle sait adapter sa plume en fonction du genre qu’elle écrit et c’est tout à son honneur. Cependant, le côté un peu trop introspectif et descriptif m’a un peu freinée dans la lecture. Ce n’est que mon avis personnel, je sais que beaucoup ont adoré et je ne remets pas du tout en cause les talents de l’autrice que je continuerai à lire avec le plus grand plaisir.

En résumé, c’est un super roman pour ados. Comme je le disais, pour moi ça a manqué d’un peu d’action mais sinon tout était génial. L’autrice a maîtrisé les thématiques avec brio, j’ai découvert un sport (que je ne savais pas considéré comme tel au passage) et j’ai apprécié en apprendre plus sur celui-ci. Quant aux personnages, ils sont attachants et touchants, on ne peut pas être indifférents face à eux. C’est une belle histoire qui mérite d’être lue et de gagner en visibilité. À mettre absolument entre les mains des ados !

J'ai découvert une plume simple, moderne et fluide. Je découvre également toute la recherche derrière ce livre que ce soit dans le monde du skate, du handicap, du psoriasis etc. Je connais vaguement l'univers du skateboard et du basket en fauteuil, ce roman m'a permise d'en apprendre plus.

J'ai eu le plaisir de découvrir le personnage principal "Jen", personnage auquel je me suis un peu reconnu.

J'ai adoré cette amitié si forte et intense. Ce meilleur ami qui, malgré son handicap, se reconstruit à travers le sport, ici le Basket et vise les JO paralympiques. Son soutien sans faille et celui de Lalie, la sœur de Jen que j'ai tellement adoré.

Dans ce roman, vous aborderez des sujets sensibles comme le harcèlement scolaire ou la maladie "invisible" qu'est le psoriasis qui accompagne Jen dans son mal-être. Sa place au sein de sa famille, au sein de son lycée ..

Au final, nous avons une magnifique évolution de Jen aux côtés d'Eren, une si belle rencontre.. vous voulez savoir qui est Eren ? Allez le lire et vous le saurez !

"Être fort, c'est se battre pour ce que l'on désire même quand c'est difficile. Continuer, même quand on est prêt à abandonner. Se relever lorsque l'on tombe. La chute, l'erreur , l'incapacité à faire quelque chose ... Ce ne sont pas des signes de faiblesse, c'est ce qu'on fait après tout ça qui dit si on est fort ou pas"

Depuis maintenant 4 ans je ne rate vraiment aucune parution d'Erika Boyer et même si son roman Après les nuages est classé en tant que roman YA, je voulais le lire (juste parce que c'est elle). Cette lecture, comme beaucoup d'autres ces derniers temps m'a été suggérée par une de mes amies surtout que ce roman a été particulièrement écrit dans le cadre des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.

Ici on rencontre Jen, jeune lycéenne passionnée par le skate et ayant pour ambition de concourir aux JO de 2024 tout comme son meilleur ami Rayen, fou de basket qui ne se laisse pas abattre par son handicap et qui rêve également de participer aux Jeux Paralympiques.

Mais Jen a quelques difficultés, à commencer par sa maladie qui lui fait vivre un enfer mais qui n'est pas la seule coupable de son mal-être. Alors quand elle fait la rencontre d'un nouvel élève, Eren, à la rentrée et que celui-ci semble être tout aussi passionné, elle se demande s'il peut vraiment lui faire confiance ou s'il risque de se comporter comme les autres élèves de sa classe.

Ce roman est très court car moins de 300 pages et pour autant, j'ai ressenti tellement d'émotions et j'ai vraiment adoré ma lecture. La passion de Jen pour le skate peut paraitre trop poussive mais me concernant j'ai découvert un univers que je ne connaissais vraiment pas. J'ai adoré la voir murir grâce à sa petite sœur Lalie et à son meilleur ami que seront toujours là pour l'épauler et lui remonter le moral quand ça ne va pas. Quant à Eren, j'ai été transporté par ce personnage toujours dans les nuages, au cœur tendre, rigolo et surtout attendrissant. Cette histoire pour moi, c'est plus qu'une simple histoire sur le skate, c'est aussi une histoire sur les relations familiales, l'amitié, l'amour et le harcèlement. C'est l'une des histoires les plus belles que j'ai pu lire, une qui m'a fait vibrer et aimer encore plus la plume et la personne qu'est Erika Boyer et ce, même en ayant fini ma lecture en larmes hier soir. En tout cas, il n'y a pas à dire, ce roman était vraiment un coup de cœur inespéré et surtout incroyable, une lecture que je ne risque pas d'oublier de sitôt...

J'ai adoré. 🥹 Je sais, je dis ça pour tous les romans de Erika, mais tous ses romans ont quelque chose de spécial à mes yeux et ils abordent tous des sujets qui me touchent particulièrement. Certains me font peur ou me font pleurer quand d'autres me font réfléchir ou espérer. Sourire aussi. Après les nuages est un doux mélange de tout ça.

•

Le skate n'est pas un sport qui m'attire, mais j'aime découvrir de nouvelles choses et lire des romances aussi douces que celle-ci où les personnages sont jeunes et si passionnés. Et c'est le cas de Jen auquel je me suis - étrangement - identifiée, pour la simple raison que je préfère lire et écrire du point de vue masculin. Mais Jen est un personnage si touchant ! Par son caractère et sa personnalité, et aussi par ce qu'elle vit : le harcèlement, la méfiance envers les autres, le manque de confiance… Je me suis identifiée à elle comme c'est rarement le cas et ça m'a touchée. Je l'ai adorée. Quant au personnage masculin… Erika a le don de créer des personnages qui soient aussi touchants, adorables et passionnés. J'ai également adoré Eren, et non je ne dis pas ça car il porte le nom d’un de mes personnages favoris dans SNK - mon anime préféré ahah. Il respire le bonheur tout simplement. Ses mots tendres, sa manière de prendre soin de Jen, ses absences quand il observe les nuages - leur amour commun - et sa façon de voir les choses et la vie en général. Il est touchant. Comme Jen, on ne peut que l'apprécier.

•

J'ai apprécié les divers sujets évoqués, tels que le harcèlement scolaire et le handicap, les Jeux Olympiques et Paralympiques, la passion du skate pour l'un et celle du basket pour l'autre, le dessin et la peinture, sans oublier l'amitié, l'amour et la famille. Le roman est délicat de par les thèmes abordés, mais tout aussi léger et amusant par moments. Comme les personnages. Oui ils sont jeunes et oui ils sont « niais » mais personnellement j'adore ça !

•

J'ai dévoré le roman, alors je ne peux que vous le conseiller si vous aimez le skate ou que cela vous intrigue, que vous aimez les écrits de Erika (dont je suis fan 🫶🏼) ou que vous cherchez une douce romance à lire cet été.

J’ai très peu lu la plume d’Erika, je sais qu’elle a du succès et je ne pouvais donc passer à côté de la lecture de ce roman qui est en partenariat avec les jeux olympiques 2024.

Dans ce roman, l’auteure va aborder des sujets qui nous ferons relativiser notre existence, du moins à ceux qui ne connaissent pas la douleur de la différence, celle du rejet et celui de l’injustice.

Jen est une lycéenne qui ne vit que pour rider, elle est dans la pleine adolescence et surtout elle fait de son future sa passion. Avec son meilleur ami Rayen, qui lui est en fauteuil roulant et qui joue au basket, ils vont s’aider mutuellement à atteindre leurs objectifs d’assister aux jeux olympiques pour elle et aux jeux paralympiques pour lui.

Mais voilà même si elle a le soutien de sa sœur, ses parents ne prennent pas au sérieux ses rêves. Ce qui va la rendre par moment assez rebelle face aux paroles de ses géniteurs.

Cependant ce n’est pas la seule chose qui la rend si particulière, elle souffre de psoriasis, une maladie qui atteint la peau, elle est non contagieuse mais elle se manifeste par l’apparition de plaques rouges recouvertes de lamelles de peau qui se détachent de notre épiderme et forcément pour les parents de Jen ce n’est pas compatible avec le skate et son risque de chute.

Il est toujours compliqué de parler des affres de la cruauté au sein des établissements scolaire et surtout d’en dehors, bien trop souvent banalisé par les adultes. Mais non il faut enfin comprendre que les mots sont encore plus indélébiles que les coups.

En effet la pauvre Jen, subit quasi quotidiennement le mépris de ses camarades du fait de sa maladie, bien trop associé à un « monstre », comment garder confiance en soi avec des mots si lourds de conséquences ?

Ça va être tout le problème de Jen face à l’arrivé de ce nouveau qui semble vouloir passer du temps avec elle.

Comment un garçon comme lui peut la trouver intéressante et attirante ?

Eren est un jeune homme qui débarque dans ce nouveau lycée, il est un rêveur, sa passion c’est de dessiner, notamment des nuages, ce qui lui vaut d’être souvent ailleurs. Même si ses premiers jours ne seront pas parfaits il va se prendre d’affection pour sa voisine de table et très vite un lien va se construire entre eux, il va démontrer que par sa gentillesse et sa largeur d’esprit rien n’est impossible. Pour lui admirer le ciel est d’un apaisement certain mais regarder celle qu’il admire rider est d’autant plus hypnotique.

L’auteure a su nous entrainer dans son monde, celui qu’elle a créé pour nous montrer que dans la vie rien n’est acquis, qu’avec des mots on peut détruire une personne et la faire douter d’un rien. Quand on interprète sans connaitre la vérité est souvent ce qui provoque les quiproquos et peuvent nous amener dans un vrai labyrinthe.

La romance est si belle, elle évolue à son rythme, elle nous enchante car entre Eren et Jen c’est presque d’une évidence, deux belles âmes qui ne trouve leur place que à travers leurs passions, des passions qui vont se rejoindre pour former de beaux instants. La plume de l’auteure est si juste, l’histoire forte en émotions, on est en colère face à ces attitudes méprisables, on se réjouie de cette relation qui naît et on rigole avec les pitreries de Rayen dont j’aurai aimé en apprendre plus.

Et quoi de mieux que cet épilogue qui nous fait fleurir un sourire sur le visage.

Ce livre parle de thèmes importants et pour certains peu connus : handicap, psoriasis, harcèlement scolaire, confiance en soi, relation parents adolescents.

Tout cela dans un méli-mélo de passions pour le basket, le dessin, le skateboard.

L'amitié entre Rayan, Eren, Lalie et Jen est magnifique.

Un roman qui prône l'amitié et l'amour au premier plan, la bienveillance et la solidarité.

Ce roman, c'est l'histoire d'une jeune adolescente qui va devoir être forte face aux épreuves douloureuses que la vie met sur son chemin, et qui va trouver l'amour et l'amitié en chemin. Et plus que tout ça, elle va enfin pouvoir entamé le plus long des travails, et pourtant nécessaire, celui de la confiance en soi. Quelle preuve de courage, cette adolescente nous transmets de part sont ressenti face à tout ce qu'elle traverse, à l'amour qu'elle a pour ses proches, à la passion dévorante qui la dévore celle du skateboard.

L'amour naissant entre Eren et Jen est magnifique, doux. Chaque mot entre eux, est comme un câlin d'un être cher , aussi puissant que l'amour qu'ils se portent.

Cette histoire est emprunte de beaucoup de sujets importants dans notre société actuelle, dont on doit plus parler, afin d'éviter par exemple le harcèlement, car personne ne mérite d'être harcelée, car personne ne doit être rabaissée, car chacun mérite d'être aimé à sa juste valeur en étant lui-même.

Les passions qui s'entremêlent ici, donne au récit une intensité nouvelle dans une romance, et le rapport avec les jeux olympiques est super bien travaillé.

La fin n'est que plus sublime, les messages de cette histoire sont beaux ,et j'espère que beaucoup apprécieront celle-ci.

Une pression qui monte crescendo, avec des sentiments plus forts à chaque pages, et une fin en apothéose.

Un énorme coup de cœur

Chaque fois que je lis un roman signé Erika Boyer, j'y trouve de la magie dans des moments simples du quotidien. C'est ce qui fait que j'aime autant sa plume : la joie de m'émerveiller pour un rien.

Dans ce roman, nous suivons Jen alors qu'elle débute sa vie de lycéenne. Dans cette période parfois cruelle qu'est l'adolescence, l'attention des autres ne l'aide pas à prendre confiance en elle. La seule chose en laquelle elle croit, c'est en son skateboard. Pour l'encourager, elle n'a que Rayen et Lalie. Jusqu'au jour où Eren et ses nuages entrent dans sa vie.

Être passionné.e est une belle chose dont Jen mesure l'importance au contact d'Eren. Elle va aussi apprendre à regarder mieux autour d'elle et peut-être y voir des choses dont elle ne soupçonnait pas l'existence.

Jen grandit. Jen vole sur sa planche, tombe, se relève et repart dans les airs. On se laisse transporter par les émotions avec la plume douce d'Erika Boyer.