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Extrait ajouté par Loupblanc 2013-07-04T10:59:45+02:00

Chapitre 23:

Tout à coup, j'était invisible et je courais.

May

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Extrait ajouté par jujubridou 2013-05-01T21:08:20+02:00

J'ai toujours détesté l'école. Déjà au CP, je demandais : "On doit rester toute la journée ? Tous les jours ? Pendant douze ans ? Dites-moi que c'est une blague !?"

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Extrait ajouté par Danaaa 2017-08-11T11:22:45+02:00

Je me traînais vers la buanderie avec mon sac dans la main et le paquet de Curly dans l'autre, quand on a sonné à la porte.

J'avais vu assez de films pour imaginer que ça pouvait être le monstre de Scream avec son masque d'Halloween qui venait me déchiqueter. Sauf que moi, je pouvais me rendre invisible. Qu'il essaie un peu de me tuer, ce crétin. Quoi, ça ne vous plait pas, les revirements de situations ?

Mais à la porte, il y avait pire que le type de Scream : Henry.

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Extrait ajouté par Chandrama_257 2015-07-18T16:46:00+02:00

- Bonsoir, a-t-il dit. Vous devez être les filles de Carolyn.

- Non, ai-je répondu. On est des figurantes. C'est l'agence qui nous envoie.

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Extrait ajouté par Gruvioler 2015-05-06T16:23:05+02:00

POV April

Il y a eu un silence. Puis June a balancé :

– Donc, vous ne voulez pas savoir que j’ai lu dans les pensées de maman et qu’elle a un rancard jeudi soir.

– QUOI ?! me suis-je écriée.

May a ouvert la bouche et écarquillé les yeux. Deux secondes plus tard, elle avait disparu.

– Génial, a commenté June. Ça va finir par devenir carrément énervant. Et je sais que tu m’entends, May. Encore une chance qu’il n’y ait pas d’autres clients dans les parages.

J’ai enfoui mon visage dans mes mains.

– C’est pas possible. Maman… un rancard…

– Yes, a confirmé June en hochant la tête. À moins que son cerveau mente.

– … ne fait que quatre mois ! a couiné May en se rematérialisant.

Je n’ai pas pris la peine de la regarder.

– Bienvenue dans notre émission, lui a dit June. Sympa de passer nous voir.

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Extrait ajouté par Gruvioler 2015-05-06T16:12:44+02:00

POV April

– Heu, à ce rythme, on ne va pas y arriver, a fait remarquer June. April a eu une vision de Julian et elle en pleine action. Voilà.

J’ai enfoui mon visage dans mes mains.

– Merci d’avoir annoncé ça avec toute la grâce et la dignité requises. À Médiadiscount.

– À ton service.

May s’est mise à glousser, puis à hennir, pour finir par hurler de rire.

– Ah… ça alors, put…

– Hé ! l’ai-je censurée.

– … rée, c’est trop drôle ! a-t-elle hoqueté. Ah, la vache, c’est dingue ! April, tu décroches la médaille du pire superpouvoir de l’Univers.

J’ai gémi sans relever la tête.

– C’est clairement impossible de mourir de honte, sinon je serais déjà morte.

May m’a secoué l’épaule :

– Oh, allez, au moins tu n’es pas moi. Pense un peu à ça. Imagine qu’un type m’embrasse et là, pouf ! (Elle a frappé dans ses mains.) Qui est-ce qui se volatilise ? Imagine ce qui se passera quand je ferai l’amour avec quelqu’un !

– Je préfère pas, ai-je dit.

– Je serai là, allongée, et tout à coup, pouf !

Elle s’est remise à rire.

– Ça promet d’être intéressant pour toutes les personnes concernées, a-t-elle conclu.

– Je suis jalouse, a déclaré June. J’aimerais bien avoir un superpouvoir avec un effet sonore comme May.

– Arrête de les appeler comme ça, ai-je objecté. Ils n’ont rien de super.

– Ils sont anti-super, a confirmé May.

– Et vous savez ce qui n’est pas super non plus ? a repris June. De pouvoir lire les pensées d’un garçon quand il t’embrasse… ou autre.

– Ou la chose ? ai-je ricané. Pour reprendre ton vocabulaire imagé ?

– Ben, ouais. Et s’il trouve que j’embrasse mal ? Ou que je suis grosse ? (Elle a frissonné.) Je le déteste déjà avant de le connaître.

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Extrait ajouté par Gruvioler 2015-05-06T15:45:00+02:00

POV April

– Hé, m’a dit Julian.

Mais quand je me suis retournée vers lui, je ne l’ai plus vu. J’avais une nouvelle vision. Cent fois pire que la prémonition d’un tremblement de terre.

Je nous voyais en train de nous embrasser. Il tenait mon visage entre ses mains, et ses yeux étaient d’un brun très sombre et profond. Et sa peau avait l’air plus douce de près que de loin. Il sentait super bon, en plus, une odeur de lessive, même si sa chemise avait l’air d’avoir été portée plusieurs jours. Et sa bouche était… et ses mains…

Hé ho ! on se calme.

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Extrait ajouté par Gruvioler 2015-05-06T15:43:05+02:00

POV May

Cet après-midi-là, après le séisme, j’ai été traînée au bureau du principal adjoint. Aucun rapport entre les deux événements ; ils ne m’ont pas accusée d’en être responsable. (N’empêche, ce serait cool, comme superpouvoir.) Ils voulaient juste mettre en place mes cours de soutien.

À choisir, je préférais le séisme.

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Extrait ajouté par Gruvioler 2015-05-06T15:35:59+02:00

POV April

Écoutez, ai-je repris. Essayons déjà d’arriver jusqu’à ce soir sans trop attirer l’attention des médias ni devenir des cobayes de laboratoire. OK ?

– Ouais, comme les grenouilles ou les chats dans les expériences, a ajouté June.

May a levé les yeux au ciel :

– On doit synchroniser nos montres, aussi ? Prendre des noms de code ? Prévoir un lieu de rendez-vous secret au cas où ce serait la fin du monde ?

– Ne plaisante pas avec ça.

– Je veux un nom de code génial ! a répondu June. Dans le style des prénoms que les stars donnent à leurs bébés !

Je me suis massé les tempes dans l’espoir de chasser mon mal de crâne.

– Les parents ne pouvaient pas se contenter d’un enfant, ai-je soupiré. Il a fallu qu’ils en fassent deux de plus.

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Extrait ajouté par Gruvioler 2015-05-06T15:27:12+02:00

POV June

Mais April était trop occupée à décocher un regard noir à May :

– Et toi, tu fumes, maintenant ?! lui a-t-elle demandé du tac au tac.

May s’est frotté le front en soupirant :

– C’est pas vrai…

– Tu sais les dégâts que peut provoquer une cigarette sur… sur ta structure moléculaire ? Hein ?

– April, a dit May. Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, ma structure moléculaire a déjà subi quelques dégâts. Je vais te rafraîchir la mémoire. J’ai disparu en conduisant au milieu d’un carrefour ! Et si on se penchait plutôt sur le fait que tu peux voir l’avenir et que June – au secours ! – peut lire dans nos pensées ?

– Hé ! ai-je protesté. Au moins, je ne suis pas Casper le gentil fantôme qui s’évapore au volant ! À ce propos, t’as totalement fait flipper le mec dans la voiture d’à côté. Il doit encore se demander ce qu’il avait bu.

– À ta place, j’éviterais de lire dans mes pensées dans l’immédiat, a sifflé May entre ses dents. Ça risquerait de t’occasionner des dégâts émotionnels.

– Bon, ça suffit ! a crié April. Arrêtez ! On n’est pas là pour se disputer sur… sur ce qui se passe. Il faut… on doit faire quelque chose.

May a éclaté de rire. Elle était tellement paumée que je n’arrivais pas à identifier une pensée cohérente dans sa tête. Super, voilà que mes deux sœurs allaient devoir être internées, et je me retrouverais à errer sur la Terre, sans personne avec qui partager le secret qui me rendait unique.

Puis, je me suis demandé si quelqu’un allait faire un film sur ma vie, un jour. Ça, ce serait cool.

Pendant ce temps, May continuait à péter les plombs.

– Qu’est-ce que tu veux faire, April ? a-t-elle hoqueté entre deux gloussements. Trouver une vraie ville qui s’appelle Gotham1 pour y habiter ? C’est quoi, ton plan, au juste, Miss Boule de Cristal ?

April s’est énervée :

– Excuse-moi ! J’ai dû égarer mon manuel Quoi faire quand on se retrouve avec des superpouvoirs idiots ? Je l’ai peut-être laissé traîner sous ma brochure Comment tuer vos sœurs et faire disparaître leurs corps en un tournemain ! Bouge pas, je vais vérifier !

– C’est ça, mets-toi à flipper, toi aussi, lui ai-je dit en m’affalant sur son lit. D’abord, tu ne peux pas nous tuer. Je découvrirais ton plan et je me planquerais, et May n’aurait qu’à se rendre invisible…

– Bon Dieu, June, comment tu fais pour rester aussi calme ? m’a-t-elle demandé. T’es totalement zen !

J’ai haussé les épaules.

– Vous seriez peut-être moins surprises si vous m’aviez un peu écoutée depuis dix ans.

Je pourrais vous dire ce que May a pensé à ce moment-là, mais je n’aime pas répéter les grossièretés.

– Bon, soyons claires, a dit April au bout de quelques secondes. Ils sont… ils sont revenus ?

J’ai fait oui de la tête.

April a avalé de travers, agrippé le dossier de sa chaise, et n’a rien ajouté.

– Dites, ai-je conclu en soufflant sur ma frange, c’est bête qu’aucune de nous ne sache voler.

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