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« Votre âme s’est étourdie aux lumières de Londres, et vous avez oublié que Camelot était le coeur d’Arcadia… »
Londres, 1872.
Dans le monde d’Arcadia, la réalité a les couleurs du rêve : un royaume idéal, baigné de féerie arthurienne, dans lequel les ministres sont poètes et les artistes sont rois, où le futur est tabou et la mort improbable.
Un jour pourtant, d’étranges présages viennent troubler la sérénité de la belle capitale. Neige bleutée, vaisseau fantôme… Le peintre Rossetti et ses amis se sentent mystérieusement concernés. Cent quarante ans plus tard, dans un Paris agonisant plongé sous les eaux, quatre jeunes gens férus d’art victorien entendent le même appel, et s’apprêtent à déchirer le voile qui sépare les deux mondes.
La forêt s'emplit d'un murmure. Portées par les pâles lueurs transperçant la voûte végétale, les ombres se font mouvantes, accompagnent le souffle suave du vent dans les branches. Des feuilles épaisses frémissent, des herbes scintillent sur le chemin, une féerie de bourgeons et de pétales se déploie, des nuages de pollen miroitent, bouquets sauvages, rameaux et ombrages.
Confus, prétentieux, tiré par les cheveux, je suis arrivé péniblement à la fin de ce livre. Je n'ai clairement pas passé un bon moment.
Dystopie, monde parallèles, fin du monde, matière de Bretagne... Un gros gloubiboulga écoeurant.
Il y a des livres que des auteurs font clairement pour se faire plaisir : ils mettent tout ce qu'ils aiment dans un shaker et secouent. Des fois, ça marche et des fois... ça donne Arcadia.
Je peux à la limite vous conseiller ce livre si vous êtes hyper passionné par la poésie et la peinture victorienne, ça peut vous amuser de voir Tennyson se battre à l'épée.
Si comme moi, vous êtes néophyte, vous allez vous sentir largué, parfois même carrément snobé.
Arcadia est une lecture peu commune. Il s'agit plus d'un songe que d'un livre à vrai dire.
Il m'aura fallu m'y reprendre à deux fois avant de réussir à vraiment me plonger dans le récit.
Comme dans un rêve, l'écriture est décousue. Parfois on se trouve pris de l'impression qu'on a raté un passage essentiel à sa compréhension. Exactement comme les rêves.
Il nous emmène dans un monde étrange, poétique, empli de références culturelles et de réflexions.
J'en suis sortie songeuse, un sentiment doux-amer persistant et la délicieuse sensation d'être encore à demi en train de rêver.
Ne vous fiez pas au résumé du livre. Celui-ci ressemble plus à une tentative pour apporter de l'ordre et une logique à un très long rêve... Mais les rêves ne répondent pas aux règles de la logique. Ils sont confus parfois abstraits et sans queue-ni-tête...
L'auteur explique que "Arcadia s'apparente plus à un gigantesque poème tourbillonnant qu'à l’œuvre romanesque aboutie qu'on était en droit d'attendre d'elle". Arcadia n'est donc pas un roman avec une structure narrative classique, c'est un songe où artistes du XIXe siècle se meuvent dans le reflet d'un autre monde alors que la fin de ce monde et de son reflet, menacés par le Mal, approche à grand pas. Les scènes se suivent, parfois confuses, mais elles trouvent leur sens à la fin... tout se rejoint pour former cette œuvre singulière qu'est Arcadia. En un sens, ce livre ressemble à Alice au Pays des Merveilles et il n'est pas étonnant d'y retrouver de nombreuses références (avec le personnage de Charles Dodgson, le Dodo, le Jabberwocky...) comme il est souvent fait référence aux Légendes arthuriennes...
Ce n'est pas vraiment un livre que j'irais recommander mais si jamais il se retrouve entre vos mains, essayez de lui donner sa chance. Installez-vous dans un coin bien calme, loin de toutes distractions et peut-être qu'Arcadia vous enchantera comme ce fut le cas pour moi.
Ce fut une étrange expérience mais belle, légèrement douce et amère à cause des thèmes abordés car il est question de la mort et de la fin de toutes choses mais également du renouveau, de l'espoir qui peut en jaillir et de la survie dans nos mémoires des gens qui ont disparus...
Après avoir lu une bonne centaine de pages, j'ai abandonné.. Pourtant la couverture et le résumé me plaisaient bien.
Impossible d'entrer dans l'histoire, l'écriture est décousue, pour le peu que j'en ai lu, j'ai toujours eu l'impression d'avoir manqué un passage ou plusieurs qui m'auraient aidé à comprendre..
Que dire de cet oeuvre... bien que je n'ai pas aimé lire ce livre, je n'ai pas détesté non plus. L'auteur se base beaucoup sur des légendes et des artistes ayant vécu dans les années 1800 - 1900 et ça, c'est le bon côté. Le mauvais côté est qu'on dirait que l'auteur a fait une oeuvre trop complexe pour ce qu'il en était capableet qu'il s'est emmêlé dedans. C'est une opinion personnelle.
Après avoir lu le résumé, je m'attendais à une toute autre histoire. Certes, on retrouve dans le roman quelques éléments auxquels je m'attendais, mais j'ai trouvé le récit décousu et sans queue ni tête.
J'ai appliqué la règle des 100 pages, et je dois avouer que j'ai même cru apprécier ma lecture après avoir reçu les informations nécessaires pour comprendre l'univers. Mais au final, je me suis retrouvée de plus en plus perdue au fil des pages, sans comprendre ni l'enchaînement des événements, ni les liens entre les différents personnages. C'est dommage, parce que j'adore les légendes arthuriennes, mais là, je n'ai pas accroché du tout...
Beaucoup de mal à la lecture de ce livre. J'ai trouvé que le début du livre nous perdait entre les différents personnages, à peine le temps de comprendre qui est qui que d'autres entrent en scène, Spoiler(cliquez pour révéler)pour se rendre compte au bout d'un moment que les personnages sont les même sous des noms et dans des mondes parallèles
La transition d'un univers à l'autre n'est pas toujours fluide, et si au final le côté référence aux légendes arthuriennes est sympathique je l'ai trouvé pas assez exploité pour être vraiment intéressant.
Le côté très poétique de l'écriture est difficile à lire également de mon point de vue, ce n'est pas vraiment le genre de lecture que j'apprécie.
Au final, je ne m'attendais vraiment pas à ça en lisant le résumé, et ce n'est pas un livre que je relirais
Après facilement deux années, si ce n'est trois à essayer de finir se livre, je déclare forfait.
C'est trop décousu, ça part dans tous les sens. La plume est sympa, mais ça frise trop la poésie pour moi. Je n'ai rien compris. Le premier tome n'est qu'une présentation des personnages, je l'ai trouvé très long.
Peut-être qu'un jour je tenterais de le finir, donc je le laisse dans ma PAL, mais je pense qu'il me faudra un moment pour avoir le courage de recommencer.
Je ne me rappelle pas avoir déjà eu une lecture aussi laborieuse... Je suis complètement passée à coté de ce roman, je n'ai strictement rien compris, et j'avais l'impression que tout n'était qu'un énorme fouillis qui se perdait dans des envolées lyriques... Seule la superbe plume de l'auteur et la volonté de comprendre me l'ont fait lire en entier, mais je n'ai pas du tout apprécié ma lecture.
Je suis très déçue, je m'était quelque chose de totalement différent à la lecture du résumé. J'ai pas trouvé d'intérêt à l'histoire, exploité autrement ça aurait pu être intéressant mais là ça n'a pas pris. Déjà je suis pas fan de légende arthurienne, le premier tome est longuet (pourtant que 186 pages) et sert uniquement à présenter les personnages et introduire à la toute fin un semblant d'intrigue. J'ai mal compris comment été relié les personnages des deux époques, surtout que ceux d'aujourd'hui servent à lancer la quête ensuite au revoir. Le deuxième est mieux mais je suis pas fan de l'exécution, problème avec l'écriture et la narration je pense.
Résumé
« Votre âme s’est étourdie aux lumières de Londres, et vous avez oublié que Camelot était le coeur d’Arcadia… »
Londres, 1872.
Dans le monde d’Arcadia, la réalité a les couleurs du rêve : un royaume idéal, baigné de féerie arthurienne, dans lequel les ministres sont poètes et les artistes sont rois, où le futur est tabou et la mort improbable.
Un jour pourtant, d’étranges présages viennent troubler la sérénité de la belle capitale. Neige bleutée, vaisseau fantôme… Le peintre Rossetti et ses amis se sentent mystérieusement concernés. Cent quarante ans plus tard, dans un Paris agonisant plongé sous les eaux, quatre jeunes gens férus d’art victorien entendent le même appel, et s’apprêtent à déchirer le voile qui sépare les deux mondes.