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« Je me suis mordu la lèvre pour m'empêcher de pleurer.

_J'aime la pluie, a murmuré ma mère.

Moi aussi, je l'aime. Moi aussi. »

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J'ignorais que j'allais faire ce que j'ai fait.

Je n'avais pas vraiment de plan. Parfois, on fait ce que l'on fait non pas parce qu'on y a pensé mais parce qu'on le sent. Quand on est trop affecté, on ne se contrôle pas toujours. Peut-être la différence entre les garçons et les hommes se traduisait-elle dans ces moments-là. Les hommes pouvaient se contrôler. Cet après-midi-là, je n'étais qu'un garçon. Qui est devenu fou.

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« Je savais que je n’étais plus un enfant, mais j’avais le sentiment d’être encore un petit garçon. En revanche, mes états d’âme devenaient ceux d’un homme. La solitude d’un homme est plus grande que celle d’un enfant.

Étrangement, mon amitié avec Dante accentuait mon sentiment de solitude. Peut-être parce que Dante semblait partout à sa place et que j’avais l’impression de ne jamais l’être. Je n’étais même pas à l’aise dans mon propre corps. Je me transformais en une personne que je ne connaissais pas. Aucune de mes émotions n’avait de sens. »

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« La fièvre était revenue. Je me suis rendormi. Les moineaux tombaient du ciel. Et c’était moi qui les tuais. »

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« Sur le chemin de la maison, j’ai pensé aux oiseaux et à la signification de leur existence. Dante avait une réponse. Pas moi. Je ne m’étais même jamais posé la question.

La réponse de Dante me semblait sensée. En étudiant les oiseaux, peut-être apprenait-on à être libre. Je crois que c’était ce qu’il voulait dire. Je portais un nom de philosophe. Quelle était ma réponse ?

Et pourquoi certains garçons pleurent et pas d’autres ?

Assis sur la terrasse de ma maison, j’ai contemplé le coucher de soleil.

Je me sentais seul. J’aimais ce sentiment de solitude. Peut-être un peu trop.

J’ai pensé à Dante. Son visage était comme la carte d’un monde sans ténèbres.

Un monde sans ténèbres ! Quelle beauté ! »

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- Pourquoi les mexicains aiment les surnoms ?

- Je ne sais pas. Pourquoi tu dis ça ?

- Tu sais comment mes tantes appellent ma mère ? Chole.

- Parce qu'elle s'appelle Soledad ?

- Tu vois ? Même toi tu connais le diminutif de Soledad.

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"I bet you could sometimes find all of the universe in someone's hand"

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"Il avait laissé un superbe dessin de mon rocking-chair. Il avait parfaitement saisi la lumière de l’après-midi et les ombres sur le fauteuil. Il se dégageait de l'ensemble une certaine tristesse, une solitude. Une vérité, également. Je me suis demandé si c'était la façon dont il voyait le monde ou mon monde."

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"J'avais une règle : mieux valait s’ennuyer seul qu'accompagné. Je la respectais scrupuleusement."

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— Écoute. On peut instaurer des règles ?

— Encore des règles ? Comme celle qui interdit de pleurer ?

— Oui.

— On t’a retiré ta morphine ?

— Oui.

— Tu es juste de mauvaise humeur.

— Ça n’a rien à voir avec mon humeur. Je te parle de règles. Tu adores ça, non ?

— Je déteste les règles. Ce que j’aime, c’est les briser.

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