Commentaires de livres faits par ArkhamAsyluum
Extraits de livres par ArkhamAsyluum
Commentaires de livres appréciés par ArkhamAsyluum
Extraits de livres appréciés par ArkhamAsyluum
Le récit est d'un onirisme fou marqué par son personnage éponyme, un chat qui parle, où se mélangent poésie, philosophie, rhétorique, sociologie et le deuil.
Le chat qui voulait sauver les livres est un livre grandiose.
Un conte philosophique moderne à lire de toute urgence.
Je ne sais pas trop quoi en penser.
J'ai lu ce roman d'une traite, le style était suffisamment fluide pour le permettre; le récit me laisse sans surprise.
Un jeune garçon plutôt perdu, qui se cherche et qui devient un adulte dysfonctionnel; c'est ma foi plutôt commun comme histoire.
Ce qui rend spécial ce récit c'est qu'il soit peut-être celui d'un homme au rang social initialement élevé dans un pays aussi impitoyable que le Japon avant la Seconde guerre mondiale, qui ne pardonne pas pareille déchéance au final.
En ce qui me concerne, ma curiosité de lectrice ne s'éveille qu'au contact de Lisbeth.
J'ai commencé à vraiment lire avec avidité quand Lisbeth commence à reprendre du poil de la bête, ce qui signifie plusieurs centaines de pages.
Le livre se découpe en deux parties une léthargique, qui correspond à la partie où Lisbeth est hors course, et une seconde effervescente et effrénée.
J'ai préféré la seconde partie, bien que la première soit essentielle pour la compréhension des différents enjeux de l'intrigue.
Intrigue qui est magistralement orchestrée malgré quelques longueurs par moment.
Maintenant, j'ai hâte de découvrir l'adaptation !
J'avais ce livre sur mes étagères depuis plusieurs mois et je ne trouvais pas le temps pour le lire, malgré ma curiosité dévorante.
Ambiance noire, meurtre, trafic de drogues, enquête policière... Tous les ingrédients étaient réunis pour me séduire.
La magie a fini par opérer, au bout de 300 pages. L'opiniâtreté a du bon!
Je n'ai pas adhéré, et ce dès le début, au style d'écriture de l'autrice. J'apprécie les styles concis sans fioriture, malheureusement, Jax Miller s'essaie aux exercices de style, qui cassent clairement le rythme de l'intrigue.
Heureusement, l'intrigue est globalement bien ficelée malgré 2-3 twists bien prévisibles; l'autrice réserve tout de même quelques surprises dans ses dernières pages.
En somme, Candyland mérite qu'on lui laisse sa chance pour la qualité de son intrigue.
Pour la gestion du rythme (ferrer le lecteur au bout de 300 pages est une faiblesse majeure du roman) et du style, n'ayez pas de grandes attentes.
Un bijou d'écriture dans un écrin graphique tout à fait somptueux.
Certaines planches sont saisissantes et laissent le lecteur sans voix.
J'ai été absolument subjuguée par les jeux de lumière qui apportent une vraie plus-value aux dessins.
À lire et à contempler absolument.
Raté! Ce livre est une espèce de zoom autobiographique sur la sexualité de l'autrice au cours et à l'achèvement de sa cinquantaine.
J'avais envie de lire les déboires de Carrie Bradshaw et non ceux de sa créatrice, dont les propos peuvent se résumer à: l'eau, ça mouille; le feu, ça brûle.
Ajoutons à cela un prisme social américain très sexiste et exaspérant à lire.
Vraiment, je suis déçue par ce livre. Je l'ai abandonné pendant 6 mois environ après l'avoir commencé, ce n'était pas pour rien.
L'écriture n'est pas désagréable, en revanche le contenu ne mérite pas un vif intérêt de votre part. Ce livre n'est clairement pas un indispensable.
L'écriture est factuelle, tout en étant délicate voire poétique.
Une petite pépite qui mérite d'être lue.
Heureusement que je connais d'autres titres qu'elle a écrits, parce qu'à l'issue de celui-ci, je me suis sincèrement demandée si j'aurais eu la curiosité de lire un autre de ses livres.
Je me suis sentie noyée sous les différentes critiques que dépeint le livre.
Pour autant, le récit était suffisamment accrocheur pour que je le lise rapidement.
Il aurait peut-être fallu épurer la quantité de diatribes, afin de diviser le livre en plusieurs tomes. Ou alors ne se concentrer que sur une ou deux, là, c'était un flot incessant de critiques sociétales que j'ai trouvées intéressantes cependant.
Ajouté à cela, la fin ne m'a pas convaincue.
Ce n'est peut-être pas le livre que je conseillerais pour découvrir l'autrice.
J'écris cet avis quelques jours après avoir achevé le roman.
La lecture de ce livre est tout simplement déroutante, Amélie Nothomb nous leurre dès les premières lignes et ce jusqu'au point final.
Elle nous accompagne tout au long de ce récit autobiographique où elle se livre avec beaucoup de retenue et d'élégance.
J'ai été traversée par plusieurs vagues d'émotions, assez fortes.
J'ai ressenti une urgence, un besoin identitaire dans l'écriture de ce livre; son titre en est la preuve la plus criante.
Déroutant dans son déroulement et terriblement touchant dans ses propos, malgré ces belles qualités, je crains que le livre ne soit adressé qu'à un public suffisamment sensible à la déclaration identitaire que nous offre Amélie Nothomb.
Le style est lapidaire et ne dénature pas la naïveté de l'enfant, le narrateur de cette nouvelle.
Je suis très réceptive à l'humour de Fabcaro, je me suis régalée !
Le tome est beaucoup plus sympa que le précédent.
J'ai bien aimé le nouveau design de César également.
Sex and the city était révolutionnaire en 1996 lors de sa parution. En 2023, je le trouve tout à fait moderne dans ses thématiques que je qualifie volontiers d'immuables.
Pionnier de la chick-lit, je dirais même que ce livre est bien plus riche dans ses différents propos.
J'y vois un livre féministe qui traite majoritairement de la sexualité, mais également du travail, de la place de la femme dans la société relative à son statut conjugal...
On est loin du roman de chick-lit lambda où la carriériste fait un burn-out avant de rencontrer l'homme de sa vie.
J'ai beaucoup aimé ces chapitres, aux titres mordants, découpés en plusieurs chroniques. J'avais l'impression de lire des entrées de journal intime, sans les fioritures associées. Ce découpage du récit apporte un réel dynamisme dans la lecture.
J'avais quelques vagues connaissances de la série: un groupe de copines, du sexe, de la mode et beaucoup d'humour.
Effectivement, vous ne retrouverez pas ces codes; ne passez pas votre chemin pour autant: le livre a bien plus à offrir !
Le livre fait 334 pages, l'intrigue commence réellement vers la 190e page, je me suis demandé quand est-ce que l'histoire allait débuter. Je m'attendais presque à repérer des fusils de Tchekhov; il n'y en a pas.
C'est dommage, le livre n'est pas déplaisant, l'écriture est très agréable et cela se lit plutôt bien et rapidement. En revanche le rythme de l'intrigue est mal dosé.
Là, j'ai eu ce livre dans une box, alors je l'ai lu.
Je ne l'aurais pas lu sous son format de roman, l'adaptation en roman graphique est un bon compromis.
J'ai été hypnotisée par les planches aux crayons de couleur, à tel point que j'en perdais le fil de l'histoire.
Je suis fan depuis très longtemps, j'attendais la sortie du tome avec impatience, quand j'ai vu que la saga se concluait avec cet album, j'ai eu un pincement au cœur.
Je trouve fantastique que la BD et le film soient aussi bien imbriqués, l'histoire a beaucoup plus de profondeur.
Ça me donne envie de faire un marathon film et lecture prochainement.
Je trouve la fin un peu abrupte dans la forme, le fond reste cohérent cependant.
Je conseille vivement cette bande dessinée, dans son intégralité.
J'ai particulièrement aimé la case sur Twilight.
J'ai eu les larmes aux yeux à plusieurs reprises. Le récit est d'une finesse, d'une émotion et d'une justesse assez rares.
Le titre et le résumé sont bien trompeurs, c'est peut-être là, le génie de l'autrice.
Le thème de la discorde familiale ne m'a pas plu, bien qu'il soit bien traité; j'ai moins apprécié ce livre.
Toutefois, ça a été un réel plaisir de le lire: le style de Nothomb est un vrai bijou.
Le premier tome était moins redondant, j'ai eu l'impression de lire exclusivement une histoire en boucle pendant 200 pages. C'est vraiment dommage parce qu'à partir de la 3e partie, avec la disparition littérale de Lisbeth (twist scénaristique que j'ai trouvé fabuleux), l'histoire a enfin de l'intérêt et le suspense ne cesse d'augmenter jusqu'au point final.
Pour autant, je vais continuer la trilogie d'origine et commencer très rapidement le tome suivant.
La couverture? Brillante. Elle fait sens à la fin de la lecture.
L'histoire? Une dinguerie, au propre comme au figuré.
Énorme coup de cœur, je m'en vais commencer le second tome.
Et il s'en passe des choses!
Très agréable à lire, très dynamique.
J'ai beaucoup aimé l'interaction avec internet au fil des jours, j'ai trouvé cela très réaliste.
Mon seul regret est de ne pas savoir ce que Junpei devient, après le titre l'indiquait d'emblée: l'histoire se déroule sur trois jours!
Pédophilie assumée, viols parfois masqués quand il ne concernent pas le personnage de Ray, racisme banalisé, c'était désagréable à lire.
C'est décevant, j'étais contente de retrouver la famille Cortès.
Le rythme des parties est mal géré. Le roman démarre réellement vers la 3e partie, soit à la 425e page. Les deux premières parties traînent en longueur et les évènements de la quatrième s'enchaînent à une vitesse folle, comme si l'auteure avait manqué de temps. Des sous-intrigues bien ancrées qui sont expédiées en deux lignes dans un happy end général, des deus ex-machina grossiers et prévisibles... C'est vraiment dommage car les six premiers livres étaient vraiment sympa, j'avais hâte de lire celui-ci. Ces 850 pages médiocres me laissent un peu amère.
J'espère que Madame Pancol laissera ses personnages mourir, à moins qu'elle n'ait recours à un frère caché de Joséphine pour relancer une intrigue déjà à bout de souffle.
Le récit est émouvant, c'est un bel hommage que l'autrice fait à son père.
Le titre est mensonger, "La vie de lycéenne de Carrie" ou "Carrie avant New York" conviendrait bien mieux.
Les histoires de lycéens, de façon générale cela m'agace profondément; heureusement l'écriture est accrocheuse !
Découvrir l'adolescence de Carrie Bradshaw n'est pas nécessaire, ne perdez pas votre temps.