Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Je découvre que l'absence a une consistance. Peut-être celle des eaux sombres d'un fleuve, on jurerait du pétrole, en tout cas un liquide gluant, qui salit, dans lequel on se débattrait, on se noierait. Ou alors une épaisseur, celle de la nuit, un espace indéfini, où l'on ne possède pas de repères, où l'on pourrait se cogner, où l'on cherche une lumière, simplement une lueur, quelque chose à quoi se raccrocher, quelque chose pour nous guider. Mais l'absence, c'est d'abord, évidemment, le silence, ce silence enveloppant, qui appuie sur les épaules, dans lequel on sursaute dès que se fait entendre un bruit imprévu, non identifiable, ou la rumeur du dehors. »
Je découvre que l'absence a une consistance. Peut-être celle des eaux sombres d'un fleuve, on jurerait du pétrole, en tout cas un liquide gluant, qui salit, dans lequel on se débattrait, se noierait. Ou alors une épaisseur, celle de la nuit, un espace indéfini, où l'on ne possède pas de repères, où l'on pourrait se cogner, où l'on cher je une lumière, simplement une lueur, quelque chose à quoi se raccrocher, quelque chose pour nous guider. Mais l'absence, c'est d'abord, évidemment, le silence, ce silence enveloppant, qui appuie sur les épaules, dans lequel on sursaute dès que se fait entendre un bruit imprévu, non identifiable, ou la rumeur du dehors.
Intimiste, vibrant et saisissant, Arrête avec tes mensonges est un roman qui nous emporte et nous enroule en son sein. Il émane de cette histoire à la fois brutale et infiniment douce une chaleur envoûtante qui nous berce et nous ramène à ces amours perdues, qui ne sont plus douloureuses, mais qui demeurent inoubliables. C’est un récit qui bouleverse universellement tant il vise, avec pudeur et véracité, nos émotions les plus profondes. Les destins de Philippe et Thomas sont renversants. Arrête avec tes mensonges, c’est avant tout une histoire d’amour silencieuse, qui se fait discrète parce que cachée, mais dont l’impact est retentissant auprès des héros et des lecteurs. Une romance sublimée par ses non-dits qui m’a complètement retourné et qui me restera en tête pendant longtemps.
Les premières pages imposent ce qui sera le point d'honneur de cette histoire : les mots de Philippe Besson se veulent directs mais poignants grâce à leurs envolées lyriques. Je suis instantanément tombé amoureux du style magnifique et maîtrisé de l’auteur. Pendant ma lecture, je me sentais véritablement au creux d’un cocon chaud et invisible duquel je ne voulais sortir sous aucun prétexte. Lire Arrête avec tes mensonges, c’est comme s’emmitoufler sous une couette épaisse un jour de pluie : on se sent emprisonnés de la meilleure des façons possibles dans un univers qui n’appartient qu’à nous. Philippe Besson excelle dans l’art de nous couper le souffle en déversant, noir sur blanc, les passions ardentes qui ont consumé sa jeunesse.
Je suis resté sans voix après ma lecture tant j’ai été ému par ce que je venais de découvrir. Présenté comme un roman, c’est pourtant l’histoire profonde de l’auteur qui est racontée ici avec une maturité et un recul sur lui-même à propos du fameux amour de jeunesse, qui finalement est l’amour de toute une vie. Nous découvrons cette histoire au détour de 3 chapitres, représentant chacun une année marquante pour le récit. Cet amour clandestin est raconté d’une plume agréable à lire et riche en vocabulaire, un vrai plaisir dénué d’artifice.
Nul doute avec ces éloges, c’est un gros coup de cœur inattendu, bouleversant, transperçant, que j’ai pour ce livre. Philippe Besson a su trouver les mots justes pour parler de l’absence, de l’amour, et du temps qui passe. Je vous le recommande, en une lecture il m’a fait ressentir une vague d’émotion en plein cœur.
C'est assez médiocre, autant le dire dès le départ. Il n'y a pas de style, c'est une écriture sans profondeur, sans musicalité, sans âme. Des phrases courtes et plates qui endorment. On dirait juste les entrées d'un journal intime qu'on aurait compilées dans ce livre et le résultat est assez fade.
Il y a des anonymes qu'on peut lire ici et ailleurs qui ont largement plus de talent.
Ajoutons à cela les tentatives répétées de l'auteur de se mettre lui-même sur un piédestal. Je n'ai rien contre ces hommes et ces femmes qui se font des louanges à eux-mêmes, mais encore faut-il qu'ils les méritent.
Et cette façon qu'il a de mépriser les petites gens, ceux du terroir, les franchouillards ... non là c'est clair ce mec est antipathique.
J’ai lu ce roman d’une traite. L’écriture est belle, juste, sincère et mélancolique. L’histoire vraie ou romancée est poignante et nous éclaire sur l’auteur.
Une autofiction qui à le goût de la nostalgie et du chagrin. Le texte est beau, intime, notamment grâce à la sensibilité de l'auteur. Plongé directement dans les années 80, une époque que je n'ai certes pas connu, mais vécue par procuration. Une histoire de premier amour aussi doux que brutal, d'un garçon mystérieux qu'on imagine difficile à comprendre.
C’est une belle histoire d’amour; c’est une quête d’identité, de vérités; ce sont les destins de deux hommes qui ont des origines communes et des destins bien différents, marqués par le choix (ou non) de l’acceptation de soi… c’est beau, c’est simple, c’est universel, et c’est très bien écrit. Un petit livre que j’ai dévoré en 2j et qui me laisse un sentiment de beauté, de poésie et de nostalgie.
Franchement, je n'ai vraiment rien trouvé de transcendant dans ce livre. Il est banal. Il raconte une histoire tout ce qu'il y a de plus normale, et la fin est complètement tirée par les cheveux.. . Ne parlons pas du style;il n'existe pas . Enfin on ne le remarque pas!
Ce livre est banal et n'a vraiment rien d'intéressant. Je regrette vraiment d'avoir suivi les conseils de ONPC. Inutile de l'acheter.
C'est assez médiocre, autant le dire dès le départ. Il n'y a pas de style, c'est une écriture sans profondeur, sans musicalité, sans âme. Des phrases courtes et plates qui endorment. On dirait juste les entrées d'un journal intime qu'on aurait compilées dans ce livre et le résultat est assez fade.
Il y a des anonymes qu'on peut lire ici et ailleurs qui ont largement plus de talent.
Ajoutons à cela les tentatives répétées de l'auteur de se mettre lui-même sur un piédestal. Je n'ai rien contre ces hommes et ces femmes qui se font des louanges à eux-mêmes, mais encore faut-il qu'ils les méritent. Peut-être que ses autres livres sont à la hauteur de la réputation et du talent qu'il s'enorgueillit de posséder au fil des pages.
Et cette façon qu'il a de mépriser de mépriser les petites gens, ceux du terroir, les franchouillards ... non là c'est clair ce mec est antipathique.
Un très beau témoignage reflet d'une époque révolue, si lointaine et pourtant si proche.
L'auteur nous embarque dans une page marquante de son adolescence, la fin de l'enfance, librement interprétée, le début de l'âge adulte et ce faisant il nous montre sans même le dire que nous avons évolué !
Les deuxième et troisième parties du témoignages sont poignantes même si l'auteur nous fait aussi part de ses extrapolations.
Cette histoire aurait pu être intéressante mais je n'ai pas aimé du tout le style de P. Besson. Je l'ai trouvé bien complaisant autour de sa petite personne et assez antipathique.Que l’auteur ait eu envie de parler de son homosexualité peut se comprendre mais c’est beaucoup trop cru à mon goût et je ne trouve pas grand intérêt à lire la description de ses ébats, description souvent vulgaire.
Résumé
Je découvre que l'absence a une consistance. Peut-être celle des eaux sombres d'un fleuve, on jurerait du pétrole, en tout cas un liquide gluant, qui salit, dans lequel on se débattrait, on se noierait. Ou alors une épaisseur, celle de la nuit, un espace indéfini, où l'on ne possède pas de repères, où l'on pourrait se cogner, où l'on cherche une lumière, simplement une lueur, quelque chose à quoi se raccrocher, quelque chose pour nous guider. Mais l'absence, c'est d'abord, évidemment, le silence, ce silence enveloppant, qui appuie sur les épaules, dans lequel on sursaute dès que se fait entendre un bruit imprévu, non identifiable, ou la rumeur du dehors. »
Afficher en entier