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Extrait ajouté par anonyme 2014-04-29T22:31:53+02:00

Il l'aimait à s'en faire éclater les os. L'aimer, c'était comme se retrouver dans un lit d'orties dont seul le contact de sa peau à elle pourrait apaiser les piqûres, tandis que pour elle, il était le bain chaud qu'elle prenait pour dissiper la cascade glacée de l'indifférence de son mari.

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Extrait ajouté par lailasamburu 2014-02-13T12:23:11+01:00

Lorsqu’on a le cœur brisé sans blessure visible, sans aucun signe de maladie, que reste-t-il à faire, sinon continuer à avancer, à agir comme les autres l’attendent de nous, à faire ce qui doit être fait ? Nul besoin de préciser que c’est douloureux.

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Extrait ajouté par Rayathea 2013-03-17T21:29:09+01:00

Sa mère disait qu'il était beaucoup plus facile de dire la vérité, car on n'avait pas à se rappeler ce qu'on avait raconté. Et si quelqu'un reposait la question, on répondait tout naturellement la même chose.

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Extrait ajouté par Rayathea 2013-03-17T21:25:50+01:00

Il y a dans l'impuissance quelque chose qui nous fait mépriser celui qu'elle accable. Il y a dans le désespoir quelque chose qui nous rend incapable d'accepter de l'affection.

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Extrait ajouté par anonyme 2023-12-09T19:06:15+01:00

Mais Charlie Beale avait entendu son nom. Sylvan Glass. Il éclata dans son cœur et dans sa tête comme un pétard du 4 Juillet. Un éblouissement. Un ébahissement.

En somme, dans tout son mystère, quelque chose de totalement merveilleux.

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Extrait ajouté par anonyme 2023-12-09T17:40:02+01:00

Mais Charlie Beale avait entendu son nom. Sylvan Glass. Il éclata dans son cœur et dans sa tête comme un pétard du 4 Juillet. Un éblouissement. Un ébahissement.

En somme, dans tout son mystère, quelque chose de totalement merveilleux.

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Extrait ajouté par clarenceglyndon 2019-03-09T07:12:56+01:00

Les Noirs, une cinquantaine d'adultes et une vingtaine d'enfants, vivaient dans de proprettes maisonnettes en bois, agglutinées pas tout à fait hors de la ville mais pas tout à fait dedans non plus. Ils (...) avaient leur propre église, dans un local désaffecté au bout de la rue principale, et un pasteur qui venait une semaine sur deux animer l'office et diriger les chants, qui duraient de dix heures du matin à six heures du soir, avec une pause pour le déjeuner. Les enfants apprenaient à lire et à compter la maison. Leur connaissance du monde s'arrêtait plus ou moins aux limites de la ville. Personne ne prenait de vacances. l'idée ne leur traversait même pas l'esprit. Les seuls voyages se limitaient aux enterrements, à un mariage de temps à autre et aux réunions de famille.

I. Le pécheur

Chapitre I

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Extrait ajouté par clarenceglyndon 2019-03-07T09:09:55+01:00

Au crépuscule, les pères et les mères de famille s'asseyaient sous la véranda pour discuter d'une voix douce des événements du jour et siroter du thé glacé, pendant que les filles s'installaient sur la pelouse pour faire des guirlandes de pâquerettes et que les garçons arrachaient de longs sifflets solitaires et geignards à des brins d'herbe pincés entre leurs pouces. On écoutait aussi la radio, le soir, mais comme on ne réussissait à capter qu'une seule station, la ville devenait, le temps d'une heure ou deux, une véritable symphonie stéréophonique.

I. Le pécheur

Chapitre I

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Extrait ajouté par clarenceglyndon 2019-03-07T09:04:46+01:00

Les gens d'ici croyaient en Dieu et en la Bible. Pour eux, le Verbe s'était fait chair pour habiter parmi nous, le Verbe était vérité -non, il était réel, tel qu'il a été donné aux prophètes et aux saints. La foi de leurs pères leur était transmise de mère en fils, et de fils en fille et fils, jusqu'à peupler toute la ville qu'ils avaient bâtie.

Ils nourrissaient l'espoir de leur propre salut et craignaient la perdition de leur prochain. Ils ne divorçaient pas. Pas un seul divorce dans toute la ville, jamais depuis le commencement. L'Église le condamnait, et la tradition l'interdisait.

I. Le pécheur

Chapitre I

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Extrait ajouté par clarenceglyndon 2019-03-07T08:58:20+01:00

C'était une ville dans laquelle on n'avait jamais commis aucun crime. Il s'était produit des désastres, bien sûr, au fil du temps : des catastrophes naturelles, des incendies de maisons ou de granges, des inondations, des épidémies effroyables. et tous les charmants jeunes gens, originaires de cette ville, qui n'étaient jamais revenus de la guerre, ou qui étaient rentrés de France ou d'Allemagne mutilés, traumatisés par les crépitements électriques dans le noir. Et le péché, il y en avait oui. D'envie et de gourmandise, de convoitise et d'orgueil. Un orgueil redoutable. Mais pas de crime.

I. Le pécheur

Chapitre I

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